Ferrari doit-elle être sanctionnée ? - Réponse le 8/09

houfty a écrit:
Et personnellement ils ne m'ont rien volé.

houfty a écrit:
T'as qu'à t'imaginer que RedBull fasse la même chose avec un de leurs pilotes, qu'ils avantagent celui qui a le plus de chance de remporter le titre et tu comprendras peut-être.

Badboy a écrit:

YouYou a écrit:

houfty a écrit:
Et personnellement ils ne m'ont rien volé.

Si l'HONNEUR de Massa, et Alonso aussi.................

C'est tellement beau de te voir défendre comme ça l'honneur bafoué du pauvre Massa. Avec le quinquagénaire, vous êtes vraiment mignons tous les deux. J'ai presque envie de verser une larme tellement vous défendez bien la veuve et l'orphelin.

C'est limite mieux que l'opération pièces jaunes et le téléthon réunis votre truc. Un grand bravo.

Largo a écrit:La mauvaise foi est de dédouaner la faute commise par ferrari en l'opposant a une faute commise par un autre team. Mais mon argument lui est tout a fait valable a moins que tu lui oppose vraiment quelques chose.

MacEugene a écrit:Swede je parie.

superswede a écrit:

MacEugene a écrit:Swede je parie.

çà me plairait un max, parcequ'en fait, j'ai eu mes 60 balais en juin.
mais si ce trouduc venait à m'interpeler direct, je l'enverrais chier en live. je ne suis pas du genre à me laisser emmerder par n'importe qui.

superswede a écrit:

MacEugene a écrit:Swede je parie.

çà me plairait un max, parcequ'en fait, j'ai eu mes 60 balais en juin.
mais si ce trouduc venait à m'interpeler direct, je l'enverrais chier en live. je ne suis pas du genre à me laisser emmerder par n'importe qui.

superswede a écrit:

MacEugene a écrit:Swede je parie.

çà me plairait un max, parcequ'en fait, j'ai eu mes 60 balais en juin.
mais si ce trouduc venait à m'interpeler direct, je l'enverrais chier en live. je ne suis pas du genre à me laisser emmerder par n'importe qui.

FFFF a écrit:
Ceci ne vaut pas mieux

L’Espagnol a bien mis la pression pour que Massa le laisse passer. Des conversations radiophoniques révèlent le mensonge.
On ne pouvait s’empêcher, hier dans le paddock de Budapest, de reparler de l’affaire d’Hockenheim et de cette fameuse consigne.

Bernie Ecclestone y est même allé de son petit couplet, suggérant que "les consignes de team ne devraient plus être interdites". "C’est d’une incroyable hypocrisie, ce genre de manœuvre existe depuis Nuvalori", a rajouté le président de Ferrari Luca Di Montezemolo.

Nous partageons leur avis. Tout ou presque a déjà été dit et écrit sur la question. Enfin presque

Alors qu’il avait pourtant déclaré ne rien savoir et faisait l’innocent après la course, Fernando Alonso a bien commandité la manœuvre. A la question "Avez-vous demandé au team que Massa vous laisse passer ?" le double champion du monde a catégoriquement répondu : "Non".

Le relevé complet des conversations radiophoniques (désormais publiques) entre le pilote et son équipe effectué par le magazine allemand "Auto Motor und Sport" révèle qu’il a menti.

Après avoir tenté de passer Massa au 21e tour, Alonso a d’abord déclaré à son équipe : "C’est regrettable ce qu’il fait. Je suis plus vite que lui " Réponse du team : "On ne peut rien faire".

Alonso a dès lors subitement levé le pied, perdant trois secondes en trois tours : "Que se passe-t-il ? Vettel risque de revenir", l’a alors prévenu son ingénieur. "Pas de problème, je contrôle", lui a laconiquement répondu le "Matador" avant de remettre les gaz à fond et de revenir en quelques boucles dans le sillage du Brésilien histoire de démontrer que c’était bien lui le plus rapide. Le team a alors répondu à sa demande en envoyant le fameux : "Fernando est plus rapide que toi. As-tu compris le message ?"

Massa a fait la sourde oreille lors des deux premiers appels, puis a exécuté, malgré lui, l’ordre mal dissimulé.

Arrivé en Hongrie, Alonso a déclaré qu’il ne voulait pas "perdre 1 % de son énergie pour reparler de cette histoire".

De son côté, Felipe Massa a dit que "le jour où je me considérerais comme un n°2, j’arrêterais de courir", ajoutant tout de même : "Je cours pour l’équipe".

Les patrons d’équipes se sont réunis hier soir et ont demandé à la FIA d’éclaircir, voire de supprimer la règle sur les consignes d’équipe. Martin Whitmarsh, président de la FOTA et contre les consignes dans son équipe McLaren, souhaite que la liberté soit désormais donnée dans ce domaine. Aux équipes de décider comment elles veulent agir, sans contrainte règlementaire.

"Ce que les équipes font avec leurs pilotes, c’est à elles de le décider. Vous ne voulez certainement pas une répétition de ce qui s’est passé lors du dernier Grand Prix. Ce n’est pas bon pour le sport ou pour les fans, personne ne sait vraiment comment chaque équipe agit. Ce serait bien que tout cela soit clair une fois pour toutes," déclare Whitmarsh.

"Nous avons peut-être instauré une règle qui va à l’encontre de l’histoire de la F1. Il y a des intérêts d’équipe, il y a un championnat constructeurs. Inévitablement, lorsque vous demandez à un pilote de ne pas avoir d’accident avec son équipier, c’est déjà un ordre d’équipe. Alors il vaut peut-être mieux clarifier tout cela. Les équipes ne voient pas toutes les choses de la même manière, ce serait à elles de décider," ajoute-t-il.

Ross Brawn, le patron de Mercedes GP, souligne le dilemme que cette règle interdisant les consignes d’équipe impose à la Formule 1. "Tout le monde a pu voir que c’est très difficile de le gérer de manière honnête d’un côté, et de le gérer avec l’intégrité que les fans espèrent de l’autre. Il faut savoir ce qu’est un ordre d’équipe au final, le définir et aussi voir ce que l’équipe veut faire. C’est très facile d’appliquer un ordre qui déçoit.

"Il faut régler ce problème car il est très hypocrite de dire qu’il n’y a pas d’ordre d’équipe. La situation est compliquée et le cas Ferrari a mis cela en lumière. La priorité est de faire comprendre au public notre sport et qu’ils ne se sentent pas trompés par ce qui est arrivé. La Formule 1 doit clairement choisir la direction qu’elle veut prendre mais aussi penser à ce que les fans veulent," ajoute Brawn.

Largo a écrit:Ouais, bof, il a pas ouvertement demandé a ce que massa la laisse passer. Il a juste dit "putain, c'est trop con, je suis plus rapide que lui.".

On y lit ce que l'on veut y lire.

Largo a écrit:Ouais, bof, il a pas ouvertement demandé a ce que massa la laisse passer. Il a juste dit "putain, c'est trop con, je suis plus rapide que lui.".

On y lit ce que l'on veut y lire.

ytreza a écrit:

Largo a écrit:Ouais, bof, il a pas ouvertement demandé a ce que massa la laisse passer. Il a juste dit "putain, c'est trop con, je suis plus rapide que lui.".

On y lit ce que l'on veut y lire.

Pitoyable de mauvaise foi

Effectivement, on lit ce que l'on veut lire.

Arkeod a écrit:Voici encore de quoi alimenter le debat :
Source : http://www.lalibre.be/sports/formule-1/article/599700/grand-prix-de-hongrie-alonso-a-force-le-passage.html

L’Espagnol a bien mis la pression pour que Massa le laisse passer. Des conversations radiophoniques révèlent le mensonge.
On ne pouvait s’empêcher, hier dans le paddock de Budapest, de reparler de l’affaire d’Hockenheim et de cette fameuse consigne.

Bernie Ecclestone y est même allé de son petit couplet, suggérant que "les consignes de team ne devraient plus être interdites". "C’est d’une incroyable hypocrisie, ce genre de manœuvre existe depuis Nuvalori", a rajouté le président de Ferrari Luca Di Montezemolo.

Nous partageons leur avis. Tout ou presque a déjà été dit et écrit sur la question. Enfin presque

Alors qu’il avait pourtant déclaré ne rien savoir et faisait l’innocent après la course, Fernando Alonso a bien commandité la manœuvre. A la question "Avez-vous demandé au team que Massa vous laisse passer ?" le double champion du monde a catégoriquement répondu : "Non".

Le relevé complet des conversations radiophoniques (désormais publiques) entre le pilote et son équipe effectué par le magazine allemand "Auto Motor und Sport" révèle qu’il a menti.

Après avoir tenté de passer Massa au 21e tour, Alonso a d’abord déclaré à son équipe : "C’est regrettable ce qu’il fait. Je suis plus vite que lui " Réponse du team : "On ne peut rien faire".

Alonso a dès lors subitement levé le pied, perdant trois secondes en trois tours : "Que se passe-t-il ? Vettel risque de revenir", l’a alors prévenu son ingénieur. "Pas de problème, je contrôle", lui a laconiquement répondu le "Matador" avant de remettre les gaz à fond et de revenir en quelques boucles dans le sillage du Brésilien histoire de démontrer que c’était bien lui le plus rapide. Le team a alors répondu à sa demande en envoyant le fameux : "Fernando est plus rapide que toi. As-tu compris le message ?"

Massa a fait la sourde oreille lors des deux premiers appels, puis a exécuté, malgré lui, l’ordre mal dissimulé.

Arrivé en Hongrie, Alonso a déclaré qu’il ne voulait pas "perdre 1 % de son énergie pour reparler de cette histoire".

De son côté, Felipe Massa a dit que "le jour où je me considérerais comme un n°2, j’arrêterais de courir", ajoutant tout de même : "Je cours pour l’équipe".