Actualités et ébats poétiques ( Les européennes ça sera le 25 mai 2014)

Valls dévisse dans toutes les enquêtes d'opinions.

Chiffres sur la délinquance moyens.

Gestion de l'affaire Dieudonné désastreuse car il s'est mis trop en avant.

Il restait la vague d'opinion-way et elle vient de sortir.

Une perte de 12% de sa côte de popularité à 45% et il passe de la 1ère à la 5ème place.

"Le ministre de l'Intérieur tire la couverture à lui, pour des ambitions, on le sait tous, (...) il occupe décidément trop l'avant-scène."

Citation de Manuels Valls en janvier 2004 à propos de Sarkozy.

Les conseilleurs sont les mauvais payeurs.

http://fr.news.yahoo.com/popularit%C3%A9-valls-d%C3%A9visse-12-points-164443546.html

oxythan a écrit:Il y a plein de "petites" raisons qui font que les femmes se retrouvent avec un salaire inférieur a celui d'un homme pour le même boulot.

Je vous donne un exemple, c'est du vécu puisque c'est le cas à la maison.

Madame à initialement un salaire bien inférieur au mien, mais dans le même ordre de grandeur que ses collègues masculins au même niveau de qualification.

La petite née, elle prend les 3 ans de congé parental (on a préféré perdre son salaire que le mien.. l'écart de revenu étant conséquent si on avait perdu le mien... et était supportable en perdant le sien et en économisant trajets, nounou...etc..).

Elle revient au boulot au bout de 3 ans, et elle à été "logiquement" oubliée pour les augmentations (et les primes) de son équipe, elle revient avec exactement le même salaire que 3 ans plus tôt alors que plusieurs de ses collègues ont progressé.

Donc, ça a accru notre écart de revenu, et ça a accru son écart de revenu par rapport a ses collègues.

Dans ma boîte, une femme qui revient après un congé maternité voit son salaire ré-évalué à la hausse.

Seb a écrit:

oxythan a écrit:Elle revient au boulot au bout de 3 ans, et elle à été "logiquement" oubliée pour les augmentations (et les primes) de son équipe, elle revient avec exactement le même salaire que 3 ans plus tôt alors que plusieurs de ses collègues ont progressé.

Dans ma boîte, une femme qui revient après un congé maternité voit son salaire ré-évalué à la hausse.

Ca me parait normal pour tenir compte de l'inflation au minimum.

oui c'est normal, chez nous le salaire est calculé selon le nombre de points de qualification, pour une absence de trois ans, elles obtiennent le nombre de points correspondant à une augmentation.

Souti a écrit:

Seb a écrit:

oxythan a écrit:Elle revient au boulot au bout de 3 ans, et elle à été "logiquement" oubliée pour les augmentations (et les primes) de son équipe, elle revient avec exactement le même salaire que 3 ans plus tôt alors que plusieurs de ses collègues ont progressé.

Dans ma boîte, une femme qui revient après un congé maternité voit son salaire ré-évalué à la hausse.

Ca me parait normal pour tenir compte de l'inflation au minimum.

Ils ne réévaluent plus a l'inflation depuis 7 ans la ou ma femme bosse, elle est a peine au dessus de son salaire d'embauche (de 2004).
Pour des raisons que je ne peux pas détailler ici.

Je suis en train de me demander si un des candidats aux municipales de Montpellier ne serait pas sponsorisé par Monoprix   
Je ne sais pas qui a validé la charte graphique, mais on sait où celui qui l'a créé fait ses courses.

RV1 a écrit:


Mais je considère comme nous tous qu'être vivant est une chance absolument inestimable et irremplaçable qui dépasse de très loin le plus gros lot qu'on puisse jamais espérer si bien qu'il est quand même bien triste d'en priver qui était appelé à  la goûter. Mais la vie fait de ces choses...

Pas d'accord.

Quitte a créer la vie et l'existence qui va avec, autant qu'elle ne parte pas sur des bases pourries, avec des parents qui ne nous désirai pas .

Je sais, vol 414 à destination du pays des bisounours.

Tien donc, sur le sujet ultra explosif des taxis cette fois-ci on entend plus Valls, celui qui se mêle de tout ?!
Au labo, hôpital Bichat, Porte de Clignancourt/Saint Ouen je suis vraiment aux premières loges pour assister au calvaire et je me pose des questions.

Là tout de même on a une guerre VTC vs Taxi où les taxi veulent la mort des VTC avec un des arguments dit : Les taxis payent une licence à 200'000 euros, une maison quoi, et les VTC juste 100€.

Là le climat est planté. Mais après m'être renseigné, j'ai appris une chose que je ne savais pas : La licence de taxi est "donnée" par l'Etat et la profession est gérée par un numerus clausus. A partir de là un gros problème donc se pose : Etant donné ce numerus clausus, les professionnel de taxi se revendent la licence de taxi. Comme ceci a un coût de 200'000 euros, pour rembourser les dettes les artisans taxis sont obligé de revendre leur licence une fois à la retraite. Or avec l'arrivée d'une concurrence type VTC, moins de personne souhaite s'investir lourdement dans la profession ce qui fait que le prix de la licence aura tendance à baisser et faire donc à la fin de l'année une perte nette.

Je suis resté volontairement assez brouillon dans la description et mon constat risque de ne pas être très apprécié s'il y a d'éventuels professionnels taxi ici. Mais on remarque en fait qu'un système s'est donc créé autour de cette profession et que c'est la défense de leur gagne pain qui entraîne ce système. En fait une des solutions envisagée pour faire face à la pénurie de taxi parisien c'est l'augmentation du numérus clausus : Effet premier = Diminution du prix de la licence car l'Etat donne gratuitement la licence mais ça entraîne des crispations . En somme les conducteurs veulent "à tout prix" revendre leur licence, ce qui lie donc les nouveaux acquéreur, mais toute solution qui pourrait facilité l'entrée de nouveaux taxis se ferait au détriment du prix des licences actuelles et donc n'aurait pas l'accord des conducteurs de taxis. Un système qui s'auto-entretient

Par là on comprends donc que le problème de cette profession ce n'est pas le numerus clausus, mais la vente de la licence qui entretient le prix de celle-ci, prix au cœur de la colère des taxis lorsqu'ils pointent la concurrence déloyale des VTC. Etant donné que les conducteurs de taxi se revendent entre eux leurs licence, le nombre de licence en circulation est toujours à la limite, ce qui empêche l'Etat donc d'offrir gratuitement ce nouveau sésame puisque la population de taxi est au niveau du numérus clausus.
Si les licences n'étaient pas revendus entre conducteur, chaque année donc le nombre de taxi et de licence diminuerait avec les départs à la retraite détruisant de facto des licences et donc l'Etat pourrait mettre beaucoup plus de licence gratuite sur le marché pour les nouveaux entrant !

Mais Est-ce que les conducteurs doivent accepter sans broncher donc la perte de 200'000 euros issue de l'impossibilité de vendre ?


Au final la seule solution à ce problème pour moi est la suivante :
1) L'Etat doit interdire toute vente des licences de taxi autre qu'à lui même à partir du 1er janvier 2015
2) A compter du 1er janvier 2015 création d'une licence nominative obligatoire
3) L'Etat s'engage à racheter la licence distribuée avant le 31 janvier 2014 des conducteurs de taxi en âge de partir à la retraite 200'000€ - les droits de mutation
4) Dans un horizon de 5-10 ans, faire en sorte que toutes les professions incluant le transport individuel de personne (Taxi, VTC, covoiturage rémunéré etc...) doivent être soumis à cette licence nouvellement créé
5) L'Etat augmente progressivement le numerus clausus jusqu'à sa suppression dans 10 ans.

--> Coût 150'000 x 17'000 licences = 2.6 milliards d'euros sur 40 ans
Bon j'imagine que les classes d'âge dans la profession ne sont pas parfaitement représentées dans la profession et donc le coût devrait être plus grand les premières années que les dernières. Mais ça voudrait tout de même dire que ce sont aux français de payer pour en finir avec un système créé par l'Etat (permettre la vente de licence) et entretenu par les taxis (qui refusent toute baisse du prix de leur licence), dans le contexte de diminution de la dette d'ailleurs ça ne fait pas bon ménage.
Et évidemment ça ferait râler les conducteur de taxi au noir qui ne déclarent pas leur revenu, ne cotisent pas pour leur retraite, mais comptent sur la vente de la licence pour avoir ce "petit" pécule une fois leur activité finie.


Mais moi je trouve que l'état actuel des choses est pourrie par un système qui s'auto-entretient, refuse toute évolution, souffre d'une mauvaise image, et ne veut pas voir que le succès des VTC vient avant tout.... d'un choix des consommateurs ! Un changement d'attitude de certains conducteurs, des prix plus clairs, ça serait un pas énorme pour l'image de la profession

Tu est dans le vrai.
Il y a 4 ou 5 ans Altali avait aussi pointé le système corporatiste des taxis et avait proposé son "évolution".

http://tempsreel.nouvelobs.com/social/20080206.OBS9165/les-propositions-de-la-commission-attali-concernant-les-taxis.html

Si le gouvernement est très prudent et "sert la soupe" aux taxis c'est surtout car il sait qu'une évolution de ce "système" entrainerait pour eux une perte de capital énorme (la valeur de leur licence sur le marché), et qui dit perte énorme dit aussi réaction violente et démesurée.

Il faudra bien qu'un jour ou l'autre un gouvernement règle ce problème, de préférence avec une transition en douceur (les propositions Attali étaient assez progressives). Il est évident que le gouvernement actuel ne veut pas y mettre la main, et ils se retrouvent embarqués malgré eux sur ce sujet... avec le développement des VTC.

L'interview surréaliste sur France 3 de Caroline Bartoli, candidate aux élections municipales.

Elle est l'épouse du maire déclaré inéligible mais comme elle ne connait rien à la politique, l'interview est incroyable.

Elle ne répond aux questions qu'après avoir trouvé dans ses fiches la bonne réponse, elle répond parfois une réponse qui n'avait aucun rapport avec la question, bref une image détestable de ce que peut être la politique.

Elle ne s'en cache pas, elle se présente pour démissionner plus tard quand son mari deviendra de nouveau éligible!
Suit alors une interview surréaliste où cette candidate particulière se contente de lire ce qui est écrit sur ses fiches. Quelle que soit la question posée, elle se plonge dans ses notes et les lit. Comme si les questions lui avaient été transmises à l'avance ! Parfois elle tombe juste, et souvent complètement à côté.  

Par exemple, quand le journaliste lui demande si elle conduira une politique différente de l'autre mandature, Caroline Bartoli dégaîne après un (long) temps de réflexion une réponse qui n'a rien à voir avec la question posée :

"Naturellement, nous respecterons le code électoral des collectivités territoriales et nous rendrons la parole au peuple souverain qui est seul notre juge". Quand elle est mise en difficulté, Caroline Bartoli lâche une seule et même réponse : "Je continuerai ce qu'a commencé mon époux". Il sera impossible pour le journaliste d'en savoir plus sur son réel programme.

Cinq minutes interminables pour Jean-Vitus Albertini qui a tenté tant bien que mal de mener cette "interview" comme si de rien n'était. "Ce qu'il faut retenir, c'est la continuité de la politique suivie", tente-t-il de conclure après cet entretien mascarade sur France 3 Corse. puremedias.com vous propose de voir l'interview dans son intégralité.

Voici la vidéo de cette interview unique au monde :

C'est tellement insupportable que je n'ai pas pu aller jusqu'au bout.

Il est bien gentil le journaliste.

Gus a écrit:Il est bien gentil le journaliste.

Comment a t'il pu faire pour ne pas éclater de rire avant la fin de l'interview?

La consternation l'en a sans doute empêché...

http://www.nouvelledonne.fr/

Il y a quand même un problème de taille avec ce mouvement.
Les solutions politiques qu'ils proposent, sont tout a fait positives et réalistes... mais dans un environnement économique qui aurait sa propre devise (flottante).
C'est juste totalement irréaliste, et même catastrophique dans une France liée à la monnaie européenne.

Donc on a la un mouvement politique qui propose une "solution" parfaitement irréaliste car incomplète.

dans le cas général, il y a un tabou en France à parler de la sortie de l'euro, celui qui le fait est rangé immédiatement dans la case "populiste, fasciste, violent...", au point ou seul le FN (ce qui me dépite particulièrement) s'exprime (mal) sur cette question.

Il suffit de voir comme Sapir (qui est pourtant un expert des problèmes monétaires) c'est fait cataloguer ( http://russeurope.hypotheses.org/1940 ) pour comprendre la merde dans laquelle on est.

Pour se faire une idée d'ou on en est, même les PC et le FDG, qui prônent une politique "sociale" ne sont pas partisans d'une sortie de l'euro, c'est à se demander si ils croient ne serait ce que, au moins un petit peu, a leur idéologie officielle.

L'euro a beau être une erreur (plus ou moins volontaire) , il reste présenté comme une un "progrès" et ceux qui mettent en doute sa pertinence sont décrit comme des "réactionnaires".

Même en matière de monnaie on a fabriqué une "bienpensance".

http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/interview/0203303714652-arnaud-montebourg-nous-devons-faire-baisser-l-euro-648970.php

Il a raison Montebourg, l'euro est notre problème.
Par contre, le faire baisser est juste impensable avec l'Allemagne dans la partie.

Si il veut une monnaie plus faible, soit on devra repasser au Franc, soit on devra sortir (au moins) l'Allemagne, de la zone euro.

Il est normal que l'euro soit fort, vu que la zone euro à un excédent commercial.

Il va sans dire que son autre ambition qui est de promouvoir les gaz de shistes va a l'encontre d'une monnaie faible, l'indépendance énergétique fait progresser la monnaie, et si l’Europe importait moins d'énergie l'euro serait encore plus fort.

Ou compter sur la procédure en infraction de l'UE contre l'Allemagne contre ces excédents trop forts. Car là l'Allemagne devient un problème planétaire car avec sa demande intérieure maintenue bas et ses excedants colossaux ils déstabilisent l'échiquier mondial.

Je ne sais pas si la position allemande pourrait souffrir d'un regain du japon, principal concurrent de l'Allemagne

FFFF a écrit:...

Je ne sais pas si la position allemande pourrait souffrir d'un regain du japon, principal concurrent de l'Allemagne

ça va aggraver notre cas.
le Japon a massacré sa monnaie pour doper sa compétitivité prix.
le Japon est le principal concurrent de l'Allemagne au niveau de la "gamme de production".
Si en réponse l'Allemagne va encore plus loin dans sa politique "de l'offre" pour contrer le Japon, ça va être encore pire pour nous.

Ouais mais il en demeure que les excédants commerciaux de l'Allemagne iront à la baisse (surtout avec cette histoire de salaire minimum en prime) et donc ça aura un point positif (tout dépend du point de vue) sur l'euro.

http://www.20minutes.fr/societe/1296366-20140211-taxi-greve-reconductible-jusqu-a-l-arret-immatriculations-vtc

Ils vont forcement ne pas lâcher le truc, tellement leur intérêt en "capital" et en limitation de concurrence est important.
Dans l'absolu je ne vois pas ce que le gouvernement pourrais faire pour les aider, du moins en restant dans la légalité.
Ce qui "tue" les taxis classique c'est la technologie, leur avantage "emplacement" n'étant plus prépondérant à l'aire de la mobilité, et du coup la concurrence des VTC devient réelle.
Il faudra qu'il s'y fassent, la technologie détruit un modèle pour en imposer un nouveau. Et encore c'est loin d'être fini, les VTC se ferons eux aussi bouffer par le progrès technique quant les voitures conduites par une intelligence artificielle ferons leur boulot. Et ça, c'est dans pas si longtemps que ça.

a mon avis c'est foutu pour eux .....
Question bete en vendant une licence 200000€ combien leur reste t'il net   

riverdou a écrit:a mon avis c'est foutu pour eux .....
Question bete   en vendant une licence 200000€ combien leur reste t'il net   

Bonne question.
Si ils vendent le "fond de commerce", ou leur entreprise, c'est très peu imposé.
Mais je ne sais pas si c'est le cas.

http://www.boursorama.com/actualites/hollande-prone-la-rapidite-pour-l-accord-de-libre-echange-usa-ue-0ff725664412ed30aa576fe4826172e3

WASHINGTON (Reuters) - Les Etats-Unis et l'Union européenne ont tout intérêt à aller vite pour conclure un accord de libre-échange transatlantique, sous peine de voir les crispations et les peurs prendre le dessus, a déclaré mardi François Hollande.

Ce que ça m'inspire va bien au delà du rejet, c'est à la fois un sentiment de dégout et la sensation d'avoir été trahi.
Magouiller dans le dos des peuples pour le seul bénéfices des multinationales, en accélérant la cadence avant que "ça se sache" est  au moins méprisable, sinon abject.
Il faut se faire à l'évidence, non seulement notre classe politique prend bien soin de défendre ses propres intérêts, mais elle accorde bien peu d'importance a ceux de leur peuple.

Pour ceux qui connaissent mal la question : http://www.contrelacour.fr/propriete-intellectuelle-ttip-commission-outrepasse-mandat/

Le plus gros problème que je vois, est qu'ils verrouillent tellement le libre échange qu'on ne pourra pas revenir "pacifiquement" en arrière. Si un point de rupture est atteint, il ne pourra pas y avoir de retraite ordonnée, et ça se finira mal, forcement.

oxythan a écrit:

dans le cas général, il y a un tabou en France à parler de la sortie de l'euro, celui qui le fait est rangé immédiatement dans la case "populiste, fasciste, violent...", au point ou seul le FN (ce qui me dépite particulièrement) s'exprime (mal) sur cette question.

Il suffit de voir comme Sapir (qui est pourtant un expert des problèmes monétaires) c'est fait cataloguer ( http://russeurope.hypotheses.org/1940 ) pour comprendre la merde dans laquelle on est.

Il y a également Dupont-Aignan, lui aussi catalogué extrème-droite par certains, alors que son positionnement droite-sociale, combiné au souverainisme, est ce qui sur l'échiquier politique, correspond le plus au gaullisme.

Et à gauche, il y a Chevènement.

Cette croyance presque religieuse en les vertus de l'Euro (que personne n'est capable d'expliquer, si ce n'est en assénant des contre-vérités et des phrases vides de sens du style "l'union fait la force") devient effectivement assez flippante. Surtout quand on sait où ça nous mène.

oxythan a écrit:

riverdou a écrit:a mon avis c'est foutu pour eux .....
Question bete   en vendant une licence 200000€ combien leur reste t'il net   

Bonne question.
Si ils vendent le "fond de commerce", ou leur entreprise, c'est très peu imposé.
Mais je ne sais pas si c'est le cas.

le licence gratuite puisque elle est offerte par l'etat OK
tu mets en place un systeme ou a la fin tu vends cette licence 200 000€ voir plus , donc y'a magouille si'l le taxi ne dclare pas cette somme