[2014] Grand Prix des USA === > La course
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[2014] Grand Prix des USA === > La course
Welcome to Texas
Je sais que j'avais dit que je passais la main jusqu'à la fin de la saison, mais j'ai fini par replonger. Comme c'est une décision prise sur le tard, je ferai plus light que d'habitude sur l'historique (et ce sera probablement moins bon).
Alors que la saison touche à la fin, la F1 se rend au Texas, lieu cliché parfait pour le règlement de comptes entre Lewis Hamilton et Nico Rosberg (si ce dernier ne coupe pas de chicane dès que son coéquipier va plus vite que lui bien sûr).
Le Texas c'est bien entendu avant tout l'état qui exécute le plus aux Etats-Unis avec 517 exécutés depuis 1976, un état dont le gouverneur croit bon de déclarer que la perspective que des innocents puissent être exécutés ne l'empêche pas de dormir (oui j'ai le don de parler de sujets qui plombent bien l'ambiance )
Mais le Texas c'est aussi ça alors je ne vais pas trop faire chier :
Historique :
- Petite histoire de la F1 aux USA:
- Pour cet historique plus léger, je vais aborder plus par circuit que par année. La F1 a connu pas moins de 10 hôtes aux Etats-Unis, pas toujours avec grand succès.
Le premier lien entre F1 et Etats-Unis n'en est pas vraiment un, la F1 a besoin d'une manche hors-Europe pour légitimer le caractère mondial de la couronne des pilotes, et plutôt que de contraindre tout ce petit monde à une périlleuse virée, le choix est fait d'inscrire les mythiques 500 miles d'Indianapolis au calendrier de la F1. Peu de pilotes réguliers de F1 s'essaieront à cet exercice jusqu'à sa disparation du calendrier en 1961, le plus célèbre d'entre eux à avoir tenté sa chance est le futur double champion du monde Alberto Ascari en 1952 sur Ferrari pour une modeste 25e place sur la grille et un abandon après 40 tours.
Pendant cette période, la mort n'épargne pas Indianapolis. Que ce soit en course où Carl Scarborough est terrassé par la chaleur, Pat O'Connor est la victime d'un terrible accident au départ et où le double vainqueur Bill Vukovich montre encore une fois que la mort n'épargne pas les meilleurs. Ou en essais où Chet Miller, Manuel Ayulo, Keith Andrews Jerry Unser et Bob Cortner subiront le même sort. Une bien triste époque.
La vraie rencontre entre F1 et USA se fait en 1959 à Sebring en Floride. Le scepticisme est encore de mise, la grille est faiblement peuplée (19 concurrents dont 6 locaux) et cela se ressent sur l'affluence, la course est un désastre économique même si elle fut intéressante sportivement parlant. Le match à trois entre Brabham, Moss et Brooks tourna court, Moss trahi par sa mécanique dès le 6e tour alors qu'il menait et Brooks largement distancé par le trio Cooper Brabham / McLaren / Trintignant alors qu'il a besoin d'une victoire.
L'australien verra toutefois la victoire lui échapper, la faute à un choix trop présomptueux en matière de consommation d'essence, il doit alors céder la victoire à son coéquipier à son coéquipier Bruce McLaren qui en profite pour obtenir un premier succès en F1 en plus d'être contraint à pousser sa voiture jusqu'à la ligne pour être classé conformément aux règles de l'époque.
En 1960, une autre édition unique à Riverside en Californie, et malgré un plateau plus riche (grâce à des primes particulièrement élevées) que la saison précédente, un nouvel échec commercial qui souligne déjà le choc culturel entre F1 et Etats-Unis. Sur le plan sportif, c'est une domination de Stirling Moss.
(pas d'images disponibles pour ce seul Grand Prix à Riverside, je remplace par un tour du circuit)
De 1961 à 1980, la F1 se trouve enfin une résidence permanente aux Etats-Unis à Watkins Glen dans l'Etat de New York.
Ce n'était pourtant pas gagné, la première course fut marquée par l'absence des Ferrari championnes du monde suite à l'accident de Wolfgang von Trips à Monza. Mais le reste du plateau fit le déplacement et le public est enfin au rendez-vous.
Dans ses premières années, l’événement est un des favoris du paddock avec son atmosphère festive de fin de saison, la qualité du tracé, le calme régnant autour du circuit par l'éloignement des grandes villes et aussi les larges primes accordées par les organisateurs en un temps où la F1 n'était pas encore guidée par Bernie Ecclestone.
Mais au fil du temps la qualité de l'asphalte se détériore et pire encore, deux tragédies secouent le Glen, d'abord en 1973 avec la mort de François Cevert en essais libres, la vue de cette atrocité est si sinistre que Jody Scheckter, premier arrivé sur les lieux dans l'espoir de porter assistance au pilote français, avisera les autres pilotes de ne surtout pas regarder, une tragédie qui poussera la femme de Jackie Stewart a suggérer fortement à celui-ci de ne pas prendre part à ce qui aurait dû être sa dernière course. Puis en 1974 où Helmuth Koinigg se tue en course de la même manière, mais comme le voulait l'usage de l'époque la course ira au bout malgré tout, et à l'époque cet accident ne semble pas émouvoir outre mesure la FIA et la CSI.
Suite à ces terribles accidents, le circuit est légèrement modifié mais cela ne suffira pas à la FISA, désormais plus rigoureuse, qui réclamera à partir de 1978 des investissements pour la sécurité sur le circuit, ce qui finira par mettre le circuit en mauvaise situation financière, et faute d'aide gouvernementale, l'édition 1981 est annulée et le Glen ne verra plus jamais la F1.
En 20 éditions, le Glen aura été 3 fois décisif. Deux fois pour le pire, avec le seul sacre posthume de l'histoire de la F1 (Rindt en 1970) et avec la course endeuillée de 1974 qui attribua la couronne à Emerson Fittipaldi. Et une fois pour le meilleur, avec le sacré du miraculé Niki Lauda en 1977 malgré la désaffection de son équipe.
Alors que le Glen commence à décliner, la F1 regarde à l'ouest et ajoute une 2e course étasunienne au calendrier à Long Beach.
La sécurité est encore défaillante, pour preuve la course de 1980. Avec tout d'abord un carambolage provoqué au 4e tour par Giacomelli qui implique pas moins de 6 voitures. Les commissaires réclament le drapeau rouge pour pouvoir évacuer les véhicules accidentées, mais la direction de course resta sourde à leurs revendications. Puis de manière encore plus grave le terrible accident de Clay Regazzoni victime d'un problème de freins à 280 km/h, le choc et l'échec de l'opération successive à celui-ci lui feront perdre l'usage de ses jambes.
Sur une note plus positive, la dernière course à Long Beach, en 1983 sur un circuit remanié, fut le théâtre d'une remontée miraculeuse des McLaren, la plus grande remontée victorieuse de l'histoire de la F1. John Watson et Niki Lauda, qualifiés 22e et 23e n'auront besoin que de 44 des 75 tours pour prendre la tête de la course et remporteront le doublé le plus inattendu de l'histoire de la F1.
Malgré la beauté de cette dernière course à Long Beach, le promoteur se retire encore une fois pour raisons financières, Long Beach rejoint donc le championnat CART et tourne le dos à la F1. Des rumeurs de retour ont circulé récemment, mais la prolongation du contrat entre Long Beach et l'IndyCar jusqu'en 2018 les rendent totalement improbables.
A l'effondrement du Glen, les courses se multiplient aux USA. En 1981, Las Vegas rejoint Long Beach et hérite qui plus est de la dernière manche de la saison qui sera de plus deux fois décisive pour le titre. Hélas, l'écrin ne sera pas à la hauteur de telles courses, le circuit est en effet tracé sur le parking du Caesars Palace.
Le célèbre casino portera chance à Nelson Piquet en 1981 (face à Carlos Reutemann et Jacques Laffite) et à Keke Rosberg (face à John Watson) qui remportent chacun leur première couronne mondiale. Mais après seulement 2 courses, la faible affluence a raison de la course.
Après Las Vegas, c'est Detroit, haut lieu de la production automobile, qui s'offre la F1 en 1982, faisant des Etats-Unis le premier pays à accueillir 3 courses de F1 en une saison. Une nouvelle fois, c'est un circuit urbain qui accueille la F1 et l'organisation est assez rustique, la journée du vendredi est annulée pour l'édition 1982, les barrières de sécurité n'étant pas encore prêtes, les réjouissances continuent lors de la course avec un drapeau rouge de plus d'une heure suite à l'accident de Riccardo Patrese en raison de la lenteur des commissaires locaux, fort mal préparés.
Ce coup-ci ce n'est ni le manque d'argent, ni le manque d'enthousiasme du public qui plombe la course, mais les exigences de la FISA sur la voie des stands, inadaptée à une course de F1. Une décision qui arrange tout le monde tant le circuit était peu apprécié tant l'asphalte se dégradait facilement sur ce tracé qui n'aura pas laissé de grands souvenirs à la catégorie reine du sport automobile.
Les soucis d'asphalte ne sont pas une spécialité du Michigan, le Texas qui accueille pour la première fois la F1 en 1984 à Dallas fait particulièrement fort en la matière. En effet la course se déroulant en plein mois de juillet se distingue par sa très forte chaleur et la forte dégradation de la piste. Malgré de nombreuses rumeurs d'annulation (Niki Lauda et Alain Prost tentant de mener une fronde des pilotes), la course débute bien à 11 h 00 locales (avec un warm-up prévu à 7 h 45 qui vaudra une moquerie de Jacques Laffite venu en pyjama sur le circuit, warm-up qui sera annulé en raison de travaux sur la piste) malgré une température de 38°C.
Dans ces conditions qui feraient passer le circuit de Singapour pour le Club Med, pas moins de 12 des 26 partants abandonneront sur sortie de piste (sans compter la violente sortie de Martin Brundle en qualifications), en plus des éliminés sur problème mécanique comme Alain Prost, leader de la course et du championnat. C'est Keke Rosberg qui aura le dernier mot, alors que Nigel Mansell offrira l'image de la course en s'évanouissant en tentant de pousser sa Lotus jusqu'à la ligne. Devant un tel fiasco, inutile de dire que ce Grand Prix de Dallas n'aura vécu que le temps d'une édition.
De 1989 à 1991, le Grand Prix des Etats-Unis cherche à se stabiliser autour du circuit de Phoenix selon ses recettes habituelles (circuit urbain, fortes chaleurs, très faibles affluences, désastre financier et intérêt sportif discutable). Seul bon souvenir le duel entre le prometteur Jean Alesi et Magic Senna lors de l'édition 1990.
Après 9 ans d'absence, la F1 revient aux Etats-Unis. Comble du bonheur, ce n'est pas un énième circuit urbain écœurant qui remporte la mise mais le mythique tracé d'Indianapolis, spécialement configuré pour la Formule 1, l'ovale n'étant que partiellement utilisé. Malheureusement, malgré la très belle affluence de 2000 (plus de 225 000 spectateurs, probablement un record), le succès populaire ne sera pas de mise, et la F1 quittera Indianapolis après l'édition 2007, les responsables du circuit ne la jugeant rentable qu'en présence d'un sponsor titre.
Malgré le caractère "Mickey Mouse" du circuit largement moqué par certains passionnés, Indianapolis laissa quelques bons souvenirs. 2003 est le plus notable d'entre eux avec une course sous la pluie qui ouvrit à Michael Schumacher, pourtant malmené en début de course par les McLaren, les Williams et Alonso, la voie vers un 6e sacre, bien aidé par les pneus pluie Bridgestone, supérieurs aux Michelin ce jour là. Dans le même temps, Raikkonen est le dernier à s'accrocher, 2e malgré des Michelin inférieurs, et Montoya sombre, piégé par la mauvaise stratégie de Williams et achevé par une pénalité des plus discutables.
2004 nous offrit à la fois une déplaisante surprise avec la lourde sortie de route de Ralf Schumacher qui sera éloigné pour 3 mois des circuits suite à un problème de pneumatiques (et encore une fois on pourra blâmer la direction de course pour ne pas avoir brandi le drapeau rouge lors de l'évacuation du pilote allemand qui a par ailleurs attendu deux minutes pour être enfin approché par un médecin) et deux belles surprises avec le premier et unique podium de Takuma Sato et le seul et unique point de Zsolt Baumgartner.
En 2005, le pauvre Ralf Schumacher est encore victime d'une lourde sortie de route, encore une fois en cause ses pneus Michelin inadaptés au nouveau revêtement de l'ovale, malgré de nombreuses tentatives de tractation par la FOM, les équipes Michelin, Jordan et Minardi pour la mise en place d'une chicane temporaire, la FIA et Ferrari restent inflexibles et offrent à la F1 une des pires farces de son histoire avec un départ à 6 voitures, qui ne manquera pas de faire entrer le public local dans une furie largement compréhensible.
L'édition 2007 ne fut pas particulièrement spectaculaire, mais cette dernière renforça l'animosité naissante entre Lewis Hamilton et Fernando Alonso, l'espagnol ne trouvant pas l'ouverture sur le britannique malgré plusieurs tentatives à mi-course.
Après de multiples incertitudes (comme c'est étonnant), la F1 revient en 2012 aux Etats-Unis sur le Circuit des Amériques à Austin. Le circuit est assez rapidement apprécié du point de vue du pilotage, et la première reste un bon souvenir avec un duel Vettel/Hamilton des plus serrés pour la victoire, pour un succès du britannique. Notons aussi la belle initiative de Pirelli qui a troqué les caquettes traditionnelles du vainqueur par des chapeaux de cow-boys pour fêter le retour de la F1 aux Etats-Unis.
La course de l'an dernier fut assez quelconque avec un succès facile de Sebastian Vettel. Le seul fait notable de la journée fut la superbe résistance de Romain Grosjean sur l'autre Red Bull, celle de Mark Webber, pour égaler son meilleur résultat en carrière (2e).
Le circuit :
Nombre de tours : 56
Longueur d'un tour : 5.513 km
Distance totale de la course : 308.405 km
Record du tour : 1:39.347 - Sebastian Vettel (2012, Red Bull)
La météo :
http://www.myweather2.com/Motor-Racing/United-States-Of-America/Circuit-Of-The-Americas/14-Day-Forecast.aspx
Sec tout le week-end.
Les pneus :
Pneus prime : Medium - Marquage blanc
Pneus option : Soft - Marquage jaune
Les horaires :
Comme toujours, les horaires sont en heure d'Europe centrale (Belgique, France, Suisse...) pour l'heure locale faire - 6 vendredi et samedi et - 7 dimanche (le changement d'heure n'a pas lieu aux mêmes dates aux USA et en Europe).
Essais Libres 1 : Vendredi à 16 h 00
Essais Libres 2 : Vendredi à 20 h 00
Essais Libres 3 : Samedi à 16 h 00
Qualifications : Samedi à 19 h 00
Course : Dimanche à 21 h 00
Programme TV :
F1 :
Essais Libres 1 - Vendredi à 15 h 50 sur C+ Décalé
Essais Libres 2 - Vendredi à 19 h 50 sur C+ Décalé - rediffusion à 23 h 30 et samedi à 10 h 00 sur C+ Sport
Essais Libres 3 - Samedi à 17 h 55 sur C+ Décalé (diffusion en différé)
Qualifications - Samedi à 18 h 40 sur C+ Sport - rediffusion dimanche à 18 h 45 sur C+ Sport
La grille - Dimanche à 20 h 15 sur C+ Sport
Grand Prix des Etats-Unis - Dimanche à 21 h 00 sur C+ Sport (rediffusion lundi à 10 h 10 et à 18 h 55 sur C+ Sport)
Formula One - Dimanche à 23 h 05 sur C+ Sport (rediffusion lundi à 11 h 55 sur C+ Sport)
Autres sports :
NASCAR - Nationwide (Texas) : Samedi à 20 h 30 sur Motors TV
WEC - 6 heures de Shanghai : Dimanche à 3 h 30 sur Motors TV et à 8 h 30 sur Eurosport
Porsche Super Cup - 2e course à Austin : Dimanche à 18 h 15 sur Eurosport
NASCAR - AAA Texas 500 : Dimanche à 21 h 00 sur AB Moteurs (conflit avec le GP des Etats-Unis)
(bien entendu, s'il manque un événement vous pouvez le signaler)
Stat à la con :
9. Cela fait 9 ans qu'on n'avait pas vu de course avec seulement 18 partants (Monaco 2005).
Informations complémentaires :
Marussia et Caterham ne participeront pas à ce week-end. La FIA n'a toujours pas communiqué sur un éventuel changement du format des qualifications.
Sebastian Vettel a prévu de changer l'ensemble de son power unit, il partira de la ligne des stands.
Mercedes peut s'assurer du titre pilotes dans les cas suivants :
- Hamilton termine dans les 6 premiers
- Rosberg gagne la course
- Ricciardo ne termine pas dans les 2 premiers
- Ricciardo termine 2e et Hamilton inscrit au moins un point
Pour finir, bien entendu, une énorme pensée pour Jules Bianchi. Réveille-toi champion.
(merci à schumi0203 pour avoir posté cette vidéo dans le topic sur l'accident)
Dernière édition par gavroche le Dim 2 Nov - 20:57:10, édité 1 fois
gavroche- Messages : 7053
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Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
elles sont belles ces images, elles sont de toi?
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Crouzz- Messages : 37936
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Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Non, c'est la pub officielle :
http://circuitoftheamericas.com/
http://circuitoftheamericas.com/
Invité- Invité
Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
C'est confirmé : 18 voitures à Austin.
SUTIL- Messages : 13175
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Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Il doit y avoir une malédiction pour la F1 au USA.
Invité- Invité
Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Chuis pas sur, mais la dernière fois c'était pas en 2005, quand les BAR furent exclues 2 courses ?
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Treize fois vainqueur moral du FMWC, depuis 2008 !
Docky- Messages : 42181
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Localisation : Paris
Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Docky a écrit:Chuis pas sur, mais la dernière fois c'était pas en 2005, quand les BAR furent exclues 2 courses ?
en 2005, 6 voitures sur la grille de départ
(retrait michelin)
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les iphones, c'est comme les bmw d'occase et les hémorroïdes, tous les trous du cul finissent par en avoir. (ceci est un joke, il y a trois iphones à la maison)
superswede- Messages : 15413
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Date d'inscription : 24/11/2009
Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Oui 2005 il y avait que 6 voitures en piste à Indianapolis après le retrait de toutes les équipes Michelin à la fin du tour de chauffe.
Là on parle d'un week-end complet. Donc c'est bien à Monaco 2005 où il y avait le moins de voiture...
Là on parle d'un week-end complet. Donc c'est bien à Monaco 2005 où il y avait le moins de voiture...
Mr.Proper- Messages : 366
Points : 1334
Date d'inscription : 30/11/2009
Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
tcli a écrit:Il doit y avoir une malédiction pour la F1 au USA.
En même temps Caterham et Marussia, ce n'est pas comme si c'était des top teams.
Ça m'inquiète plus pour le personnel qui risque de se retrouver dans la merde que pour le spectacle.
gavroche- Messages : 7053
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Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Enfin, c'est la première fois que la F1 n'a que 9 équipes capable d'être sur la grille depuis des lustres. Peut être depuis les années 50.
En 2005, tout le monde était techniquement capable d'y être. C'est juste 2/3 faits exceptionnels qui ont fait que...
En 2005, tout le monde était techniquement capable d'y être. C'est juste 2/3 faits exceptionnels qui ont fait que...
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Docky- Messages : 42181
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Localisation : Paris
Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Sinon ils peuvent faire comme lors de certaines courses des années 50/60 et mettre des GP2 pour compléter...
Par les temps qui courent on verra à peine la différence
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Gautier- Messages : 7549
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Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Je profite qu'on est encore loin du GP pour diffuser ces deux photos.
Pourquoi ce genre là de communion et de rigolade ne se voit pratiquement jamais en F1 entre adversaires après une course?
Pourquoi ce genre là de communion et de rigolade ne se voit pratiquement jamais en F1 entre adversaires après une course?
moumou- Messages : 20160
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Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Le championnat est déjà joué, Rossi a fini sa carrière tandis que Marquez la commence, facile d'être plus détendus.
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Pochelon- Messages : 2561
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Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Parce que Rossi et Marquez ne sont pas en F1?
Iceman- Messages : 2993
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Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
toi t'as pas vu les photos après suzuka 2004 !moumou a écrit:Je profite qu'on est encore loin du GP pour diffuser ces deux photos.
Pourquoi ce genre là de communion et de rigolade ne se voit pratiquement jamais en F1 entre adversaires après une course?
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Crouzz- Messages : 37936
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Azur- Messages : 27037
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Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Pochelon a écrit:Le championnat est déjà joué, Rossi a fini sa carrière tandis que Marquez la commence, facile d'être plus détendus.
Oui il y a cela mais sauf rares exceptions, la F1 donne quand même une image bien plus glaciale que la Moto Gp.
moumou- Messages : 20160
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Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Mouais ça dépend surtout des bonhommes je crois. Quand Rossi était chez Ducati et qu'on avait des podiums Stoner Lorenzo Pedrosa, c'était pas vraiment la grosse déconne.
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Vainqueur du prix Marco Simoncelli 2011 (fan de MotoGP)
Stephen- Messages : 9229
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Localisation : Paris
Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Un horaire parfait pour dormir !
Pour les 18 voitures, rien de bien gênant, on en avait 20 l'année passée non ? Ou il y a 2 ans.
Pour les 18 voitures, rien de bien gênant, on en avait 20 l'année passée non ? Ou il y a 2 ans.
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SinseRemi- Messages : 7663
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Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Mais ce sera la première fois que plus de la moitié des participants marqueront des points.
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Azur- Messages : 27037
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Localisation : Var
Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
SinseRemi a écrit:Un horaire parfait pour dormir !
Pour les 18 voitures, rien de bien gênant, on en avait 20 l'année passée non ? Ou il y a 2 ans.
Dernière fois qu'on en a eu 20 c'était fin 2008 + toute la saison 2009.
Pour 18, ça remonte à la suspension de BAR en 2005.
gavroche- Messages : 7053
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Age : 33
Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
d'ailleurs, en supposant que Marussia ne puisse pas s'aligner en 2015, Sauber pourra toucher l'argent de la 9 eme place, ou cette somme non méritée sera bloquée?
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Crouzz- Messages : 37936
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Date d'inscription : 24/11/2009
Re: [2014] Grand Prix des USA === > La course
Elle sera bloquée je pense.
Iceman- Messages : 2993
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