[2014] Grand Prix du Japon.
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[2014] Grand Prix du Japon.
日本へようこそ
La lutte fratricide pour le titre pilotes 2014 bat son plein avec seulement 3 points d'écart entre Lewis Hamilton et Nico Rosberg avant d'arriver sur le circuit mythique de Suzuka qui aura fait basculer tant de championnats.
Comme je suis un peu malade (vous allez me dire que ça doit être la 4e ou 5e fois que j'utilise cette excuse, mais j'ai vraiment une santé en mousse), j'ai commencé ma présentation assez tard et je me suis donc concentré uniquement sur l'historique du Grand Prix du Japon en enrichissant ma présentation de l'an dernier, donc rien sur la culture locale (ceci dit, c'est peut être un mal pour un bien comme je sens que par exemple le test du jeu RapeLay aurait eu du mal à passer, c'est un peu ça le problème du choc culturel).
Historique :
- Historique du Grand Prix du Japon:
- Comme beaucoup de courses établies de longue durée, le Grand Prix du Japon a débuté en tant que course hors championnat du monde. La première fut en 1963, déjà à Suzuka, pour une victoire du britannique Peter Warr sur Lotus. La course ne resta que deux ans à Suzuka avant de déménager au Mont Fuji, sur un circuit plus rapide mais aussi beaucoup plus dangereux, comme souvent sur les courses lointaines hors-championnat, les locaux régalent et les stars de la F1 ne se bousculent pas au portillon, mais il faut noter les victoires de John Surtees en 1972 et Jacques Laffite en 1976.
Le Japon accueille enfin le championnat du monde de Formule 1 en 1976, pour une course qui ne portait alors même pas officiellement le nom de Grand Prix du Japon (déjà utilisé par une autre course dans l'année), marque d'un amateurisme d'un autre temps (quoique...). Amateurisme ou non, cette course rentrera dans la légende de la Formule 1
Le contexte de cette première est particulièrement agité, avec l'attribution du titre mondial. Niki Lauda qui avait compté jusqu'à 35 points d'avance (à une époque ou la victoire en valait 9) peu après la mi-saison a vu James Hunt revenir à 3 petits points, en grande partie en raison de son terrifiant accident sur le Nürburgring. La dernière manche s'annonce indécise avec Niki Lauda affaibli par ses blessures et Ferrari qui n'arrive plus à être aussi dominatrice qu'en début de saison face à un James Hunt en pleine confiance qui de plus est maître de son destin puisque le sacre lui est assuré s'il remporte la course. De quoi allécher les chaines de télévision du monde entier.
Une pression médiatique qui permettra de lancer cette course (avec 1 h 30 de retard), en dépit de l'opposition de la majorité des pilotes et des équipes, d'une contre-proposition de Bernie Ecclestone (lancer la course avec uniquement les pilotes et équipes volontaires en la considérant comme hors championnat) ainsi que de tout bon sens tant les conditions météo sont désastreuses sur le circuit du Mont Fuji (brume épaisse et pluie torrentielle).
Dès le départ, la bataille pour le championnat semble tourner en faveur de James Hunt, 2e sur la grille, il prend le meilleur envol et dépasse Mario Andretti alors que Niki Lauda, extrêmement prudent se retrouve en milieu de paquet (contrairement à ce qui est montré dans le film Rush, qui bien que bourré de petits arrangements historiques reste un excellent film). A la fin de la 2e boucle, la situation s'améliore encore plus pour les chances de sacre du britannique étant donné que Niki Lauda marqué par son accident du Nürburgring préfère se retirer vu les conditions exécrables (il ne sera d’ailleurs pas le seul, Larry Perkins, Carlos Pace et Emerson Fittipaldi se retireront également dans les dix premiers tours).
James Hunt semble alors s'envoler vers un sacre facile, mais en fin de course ses pneus fort usés sur une piste séchante commencent à lui jouer de vilains tours. Au 62e des 73 tours de course, Depailler et Andretti déposent le britannique, qui reste serein étant donné qu'une 4e place (et non une 3e comme c'est parfois dit) lui suffit à ceindre une première couronne.
Mais au 69e tour, le calvaire pneumatique semble coûter cher à James Hunt qui rentre aux stands, pneu avant gauche dégonflé, il repart en 5e place, insuffisant pour être titré. Dans l'avant-dernier tour Hunt déborde Regazzoni et Jones, se retrouvant ainsi 3e et champion du monde, mais dans la confusion (Andretti ayant collé un tour à tout le monde), il croit être toujours 5e et manque de frapper son directeur d'équipe, Teddy Mayer, qui venait le féliciter.
L'année suivante, le Japon conclut de nouveau la saison, plus marquée par les intrigues politiques que par le suspens au championnat puisque Niki Lauda a déjà été titré une deuxième fois et a déjà quitté Ferrari. La course tourne au fiasco le plus intégral avec de nombreuses équipes de milieu de grille qui renoncent au coûteux déplacement en terre nippone, même si des pilotes locaux combleront les vides sur la grille, avec un terrifiant accident entre Ronnie Peterson et Gilles Villeneuve qui coûtera la vie à deux spectateurs, certes peu inspirés de se placer devant les protections. Et sur une note plus légère, le podium est lui aussi un fiasco avec l'absence de James Hunt, vainqueur et de Carlos Reutemann, deuxième. Après ce raté monumental, la F1 quitte le Japon pour 10 ans.
En 1987, la F1 revient au Japon, ce coup-ci sur le circuit de Suzuka, bien aidé pour son affiliation à Honda, et ce au grand complet, comme en 1976, le titre sera attribué au Japon mais ce coup-ci ce sera de manière frustrante, puisque le duel prend fin dès les essais libres, suite à un accident dans les "S", Nigel Mansell est blessé au dos et doit laisser les lauriers à son coéquipier et rival Nelson Piquet. Le week-end sera frustrant pour Honda à domicile avec les Williams dominatrices mises à terre (Mansell en essais libres, Piquet trahi par son moteur après une course fade) et la Lotus d'Ayrton Senna qui ne peut faire mieux que 2e, laissant les lauriers à Ferrari et Gerhard Berger.
En 1988, le titre se joue de nouveau à Suzuka, mais ce coup-ci les circonstances sont bien plus glorieuses. Senna ayant calé au départ, il se retrouve 14e, s'en suit une remontée fantastique sur son coéquipier et meilleur ennemi Alain Prost, bien aidée par l'arrivée de la pluie qu'affectionne particulièrement le champion brésilien. Au 27e tour, toutes les circonstances sont du côté de Senna, la pluie, la boite défectueuse de Prost et beaucoup d'opportunités dans le trafic, le brésilien ne manque pas cette opportunité de saisir sa chance et prend la tête qu'il ne lâchera pas jusqu'au terme de la course, synonyme de première couronne mondiale.
En 1989, se produit un des plus célèbres accrochages de la Formule 1, Alain Prost et Ayrton Senna, seuls au monde en tête du Grand Prix, s'accrochent lors d'une tentative de dépassement initiée par le brésilien au 47e des 52 tours de course. Un double abandon sacrerait automatiquement Prost, mais le brésilien parvient à repartir, à revenir sur Alessandro Nannini en tête de la course puis à l'avaler à trois tours du but. Malheureusement, il sera bien vite disqualifié par la FISA de façon litigieuse, offrant le titre à Prost et la seule victoire de sa carrière à Alessandro Nannini.
En 1990, Ayrton Senna prend sa revanche sur Alain Prost d'une bien triste manière, le brésilien pestant contre le placement bizarre de la pole position hors trajectoire qu'il assimile à une manœuvre de Jean-Marie Balestre pour favoriser Alain Prost et ruminant sa désillusion de l'an passé, applique la loi du Talion en éjectant son rival dès le premier virage et coiffe sa deuxième couronne par la même occasion.
Sur une note plus joyeuse, la sensation de la course vient de la 3e place inespérée d'Aguri Suzuki sur Lola devant le public japonais, profitant des abandons des McLaren et Ferrari et exploitant à la perfection une stratégie sans arrêt pour conquérir la dernière marche du podium derrière le duo brésilien Piquet-Moreno de Benetton.
En 1991, le championnat se joue pour la cinquième fois de suite au Japon, et comme en 1987 Nigel Mansell le perd sur une sortie de route, ce coup-ci au premier virage dans le 10e tour de course. Ayrton Senna remporte son troisième et dernier titre de champion du monde et s'offre le luxe de céder la victoire à son coéquipier Gerhard Berger qui remporte enfin son premier succès chez McLaren après 2 saisons d'attente. La course sera également marquée par le règlement de comptes d'Ayrton Senna en conférence de presse qui ne manque pas d'exprimer son ressenti sur Jean-Marie Balestre, récemment évincé de la FISA et d'avouer l’intentionnalité de sa manœuvre de l'an passé.
En 1994, la F1 prend une double ration japonaise avec l'inscription au calendrier d'Okayama pour le Grand Prix du Pacifique. La course perdra en grande partie de son intérêt avec l'élimination dès le départ de la Williams d'Ayrton Senna en pole, laissant le champ libre à Michael Schumacher pour un succès facile.
Cette même année à Suzuka, pas de décision finale, mais une course exceptionnelle sous une pluie torrentielle (mêlée de grêle au plus fort de l'averse) avec de nombreux accidents et une longue interruption suite à la blessure de commissaires de piste mal placés suite à l'accident de Martin Brundle , mais aussi un superbe duel entre Alesi et Mansell et une victoire de grande classe de Damon Hill au terme d'un palpitant duel à distance avec Michael Schumacher (en raison de l'application de la règle du cumul des temps), qui profite certes de la mauvaise stratégie de Benetton. L'avantage du pilote allemand n'est ainsi plus que d'un point avant le duel final à Adélaïde.
En 1995, les deux courses japonaises se disputent à la suite, conséquence du terrifiant séisme de Kobe qui tua plus de 6 000 personnes.
La manche d'Okayama, pour sa seconde et dernière apparition, s'offre l'attribution du titre mondial à Michael Schumacher (comme tout circuit japonais qui se respecte), grandement aidé par son équipe, qui le fait ressortir en tête d'un triple ravitaillement face à Jean Alesi et Damon Hill au 18e tour. Il a ensuite le champ libre pour démontrer tout son talent dans un sprint fou à distance face à David Coulthard pour amortir son troisième arrêt.
A Suzuka, Jean Alesi au sommet de son art est le héros malheureux du GP du Japon débuté dans des conditions humides, pénalisé pour un départ anticipé, il remonte grâce à un passage en slics anticipé et à une prestation exceptionnelle dans des conditions difficiles, il sera contraint à l'abandon alors qu'il était tout près du leader, Michael Schumacher.
En 1996, pour la première fois depuis 1991, le titre se joue à Suzuka. Ce coup-ci, pas de grand suspens, Damon Hill (a qui une 6e place aurait suffi) domine la course alors que son rival Jacques Villeneuve, auteur d'une terne prestation abandonne au 37e tour suite à la perte d'une roue, offrant officiellement le titre à son coéquipier.
En 1998, le duel Mika Häkkinen / Michael Schumacher tourne court, le champion allemand calant au moment du deuxième départ (bien "aidé" par le rythme délibérément très bas du finlandais lors du deuxième tour de formation), il initiera alors une belle remontée (bien que la seule résistance marquante viendra de Damon Hill et Jacques Villeneuve, ses anciens rivaux pour la couronne mondiale) qui prendra fin au 32e tour suite à une crevaison sur les débris de l'accident impliquant Toranosuke Takagi et Esteban Tuero (merci à l'inconscience des commissaires de ne pas sortir de Safety Car dans cette situation).
En 1999, Mika Häkkinen double la mise, reprenant facilement la tête du championnat à Eddie Irvine, seul Michael Schumacher, écarté de la lutte pour le titre par son accident de Silverstone, parvient à soutenir le rythme du finlandais foudroyant dès le départ alors que son coéquipier termine humilié à plus d'une minute et 30 secondes et incapable de reprendre la 3e place à la loyale à Olivier Panis, auteur d'un départ de grande qualité sur sa modeste Prost.
En 2000, nouvel acte du duel Schumacher/Häkkinen encore une fois les deux champions au sommet de leur art (Coulthard rejeté à 1'09, Barrichello à 1'19), la séance de qualifications est à la hauteur de l’événement, neuf millièmes seulement séparent les deux champions, à l'avantage de l'allemand. Dans un premier temps, Mika Häkkinen croit rééditer sa prestation de 1999 en prenant les commandes dès le départ, mais à mi-course sous une fine bruine, Schumacher force le destin et prend le dessus au prix d'un tour de rentrée aux stands exceptionnel. C'est la fin d'une disette de 21 ans pour Ferrari et le début d'une longue série de succès pour l'association Schumacher/Ferrari.
En 2003, Michael Schumacher remporte son 6e titre sur le circuit de Suzuka, battant ainsi le record de Juan Manuel Fangio, mais ce fut au terme d'une course brouillonne achevée à la 8e place, remportée par son coéquipier Rubens Barrichello.
En 2005, pas de titre pilote à décider, Fernando Alonso est alors déjà couronné, mais la lutte entre Renault et McLaren fait rage au championnat constructeurs. L'accident de Juan Pablo Montoya met McLaren en difficulté, mais les gris se consolent avec le plus grand exploit de Kimi Räikkönen, remonté de la 17e place vers la victoire, cherchée dans le dernier tour. Autre grand moment de la course, le dépassement de Fernando Alonso (lui aussi auteur d'une superbe remontée de la 16e à la 3e place) sur Michael Schumacher dans le 130R.
En 2006, si le titre pilote ne se décide pas officiellement à Suzuka, c'est bien sur le tracé japonais que le duel Alonso / Schumacher change d'âme, l'allemand étant victime de sa première casse moteur depuis 6 ans alors qu'il menait la course. Mettons tout de même à l'actif de l'espagnol l'explosion du bouchon Toyota et un rythme effréné qui lui a permis de revenir à moins de 5 secondes du septuple champion du monde.
En 2007, la F1 part au Mont Fuji en raison des pressions de Toyota au plus grand mécontentement de beaucoup dans le paddock, on parle alors même de faire revivre le Grand Prix du Pacifique pour faire revenir le circuit de Suzuka au calendrier. Si l'organisation n'est pas optimale avec un biais pro-Toyota dans le public (les symboles des autres équipes étant implicitement prohibés), la course est mémorable, Fuji revenant à la F1 comme à son premier jour, sous la pluie.
Une pluie telle que la voiture de sécurité restera 40 minutes devant la meute, un temps suffisant pour Ferrari pour gâcher les courses de Räikkönen et Massa en les faisant partir en pneus intermédiaires (un choix plus qu'optimiste vu les conditions atroces) alors que la FIA exige des pneus pluie pour les départs sous voiture de sécurité. Les McLaren semblent s'envoler, mais se décident à un arrêt rapide pour éviter tout problème avec une éventuelle voiture de sécurité, mauvaise pioche, Hamilton perd du temps dans une incartade avec Robert Kubica et Alonso commet plusieurs maladresses avant de commettre l'irréparable et de sortir de la course au 41e des 67 tours.
Menacé par Webber et Vettel, Hamilton se retrouve alors bien heureux de la maladresse du jeune allemand qui percute l'australien sous voiture de sécurité, éjectant les deux pilotes de la course. Heikki Kovalainen, bien servi par la stratégie citerne de Renault, en profite pour prendre la 2e place, il ne pourra jamais menacer Hamilton mais contiendra la remontée de Kimi Räikkönen. Le dernier tour est marqué par un somptueux duel Massa/Kubica pour la 6e place.
En 2008, toujours à Fuji, les deux prétendants au titre mondial se trouent complètement, Hamilton poussant plusieurs pilotes hors trajectoire au départ et Massa, mal qualifié, sera pénalisé après avoir percuté son rival britannique. Dans ce contexte, Robert Kubica et Fernando Alonso fleurent la belle occasion de remporter leur deuxième victoire de la saison, au final l'espagnol profitera de la stratégie optimale de Renault pour prendre le dessus et remporter un succès indiscutable, deux semaines après la fameuse course singapourienne.
http://vimeo.com/27941406
Après deux saisons au Mont Fuji, la Formule 1 revient à Suzuka en 2009 (officiellement en alternance, mais les difficultés financières de Toyota laisseront vite Suzuka comme seul hôte), si le circuit a perdu de son caractère décisif par l'élargissement du calendrier, il n'a pas perdu sa sélectivité, comme le prouve la séance de qualifications particulièrement agitée (3 drapeaux rouges, de multiples pénalités suite au non respect des drapeaux jaunes en Q2) et marquée par l'accident de Timo Glock qui écartera le pilote Toyota de la fin de saison 2009. La course sera plus fade et verra la première victoire de Sebastian Vettel à Suzuka.
En 2010, la qualification est décalée au dimanche en raison des fortes pluies du samedi, occasion manquée de débarrasser la course d'une domination Red Bull, le Grand Prix, amputé d'une partie de son intérêt après l'abandon rapide de Robert Kubica sur un problème de roue, sera principalement marqué par les manoeuvres viriles de Kamui Kobayashi devant son public.
http://www.wat.tv/video/2010-formula-japanese-grand-5imcv_5i2o1_.html
En 2011, Suzuka renoue avec sa tradition de sacres, certes sans grand suspens, Sebastian Vettel (qui n'avait besoin que d'un petit point) obtient le titre en terminant 3e d'une course dominée par Jenson Button au terme d'une belle lutte à 3 pour la victoire impliquant Alonso en plus des deux prétendants au titre, comme dans toute bonne course de 2011, on peut se délecter d'un accident Massa/Hamilton.
En 2012, Fernando Alonso perd la tête du championnat du monde en sortant dès le départ suite à un contact avec Kimi Räikkönen. Une nouvelle fois Sebastian Vettel se fait dominant à Suzuka même si le public n'a d'yeux que pour le podium de Kamui Kobayashi sur Sauber (qui profite bien du strike de Romain Grosjean sur Mark Webber).
L'an dernier, Romain Grosjean se rachète de sa bévue de 2012 en prenant l'envol parfait (de la 4e place à la tête de la course), malheureusement pour lui, la Lotus est moins véloce en gommes dures et il ne peut maintenir un écart satisfaisant pour se mettre à l'abri de la stratégie décalée des deux Red Bull (Vettel sur deux arrêts avec un deuxième relais très long, Webber sur trois arrêts), une fois de plus, le pilote allemand a le dernier mot.
http://vimeo.com/77328951
Le circuit :
Nombre de tours: 53
Longueur d'un tour: 5.807 km
Longueur de la course: 307.471 km
Record du tour: 1:31.540 - Kimi Räikkönen (McLaren, 2005)
Les horaires :
Tous les horaires sont donnés en heure d'été d'Europe centrale (Belgique, France, Suisse...), pour l'heure locale faire + 7
Essais Libres 1 : Vendredi de 3 h 00 à 4 h 30
Essais Libres 2 : Vendredi de 7 h 00 à 8 h 30
Essais Libres 3 : Samedi de 4 h 00 à 5 h 00
Qualifications : Samedi à partir de 7 h 00
Course : Dimanche à partir de 8 h 00
La météo :
http://www.myweather2.com/Motor-Racing/Japan/Suzuka-Circuit.aspx
Tant que je présenterai, je crois qu'on n'aura pas une seule course sur le mouillé.
Les pneus :
Pneus prime : Hard (marquage orange)
Pneus option : Medium (marquage blanc)
Merci pour la sieste
Programme TV :
F1 - Essais Libres 1 : Vendredi à 2 h 50 sur C+ Sport
F1 - Essais Libres 2 : Vendredi à 6 h 50 sur C+ Sport (rediffusion à 15 h 45 sur C+ Sport)
F1 - Essais Libres 3 : Samedi à 3 h 50 sur C+ Sport
F1 - Qualifications : Samedi à 6 h 45 sur C+ Sport (rediffusion à 14 h 05 et à 0 h 05 sur C+ Sport et à 5 h 45 sur Canal +)
NASCAR - Nationwide Series au Kansas : Samedi à 21 h 30 sur Motors TV
F1 - La grille : Dimanche à 7 h 15 sur Canal +
F1 - Grand Prix du Japon : Dimanche à 8 h 00 sur Canal + (rediffusion à 20 h 35 sur C+ Sport)
WTCC - Race of Beijing : Dimanche à 8 h 30 sur Eurosport, deux courses à la suite (rediffusion à 14 h 00 sur Eurosport 2 et à 17 h 00 sur Eurosport)
Sports mécaniques - Dimanche Meca : Dimanche à 12 h 15 sur Eurosport
F1 - Formula One : Dimanche à 18 h 10 sur Canal + (rediffusion à 22 h 20 sur C+ Sport)
NASCAR - Sprint Cup : Hollywood Casino 400 - Dimanche à 20 h 00 sur AB Moteurs
F1 - On Board : Mercredi à 19 h 00 sur C+ Sport (rediffusion à 22 h 30 sur C+ Sport
F1 - Les spécialistes : Mercredi à 19 h 40 sur C+ Sport (rediffusion à 23 h 00 et jeudi à 7 h 35 et 12 h 05 sur C+ Sport)
(comme toujours avec cette rubrique, s'il manque quelque chose, n'hésitez pas à le signaler)
La stat à la con :
5. Sebastian Vettel a terminé 5 fois sur le podium à Suzuka en 5 tentatives dont 4 victoires. Un petit espoir pour le quadruple champion du monde ?
Infos supplémentaires :
Mercedes remportera le titre des constructeurs si Lewis Hamilton et Nico Rosberg réalisent un doublé et si Red Bull ne marque pas plus de 2 points.
Dernière édition par gavroche le Dim Oct 05, 2014 12:10 am, édité 3 fois
gavroche- Messages : 7053
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
gavroche a écrit:La stat à la con :
5. Sebastian Vettel a terminé 5 fois sur le podium à Suzuka en 5 tentatives dont 4 victoires. Un petit espoir pour le quadruple champion du monde ?
Naaaaaaaaaan !
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Largo- Messages : 18518
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
La dernière qu'il a plus en course sur ce circuit c'était quand?
De mémoire, moi aussi depuis le temps que je regarde avec assiduité la F1 (96/97)
Aucune course sous la pluie il me semble
De mémoire, moi aussi depuis le temps que je regarde avec assiduité la F1 (96/97)
Aucune course sous la pluie il me semble
kimi.raikkonen- Messages : 1832
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
Comme les Mercedes gagnent souvent à chacun leur tour, je verrais bien un petit souci technique pour Hamilton et victoire de Rosberg
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albertascari- Messages : 20790
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
albertascari a écrit:Comme les Mercedes gagnent souvent à chacun leur tour, je verrais bien un petit souci technique pour Hamilton et victoire de Rosberg
Les mécanos de Nico ne vont pas vouloir en rester là.
moumou- Messages : 20160
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
kimi.raikkonen a écrit:La dernière qu'il a plus en course sur ce circuit c'était quand?
De mémoire, moi aussi depuis le temps que je regarde avec assiduité la F1 (96/97)
Aucune course sous la pluie il me semble
Un peu de pluie en 1988 et le gros déluge en 1994. Depuis, j'ai pas trop de souvenirs précis non plus.
Nexus6- Messages : 6129
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
kimi.raikkonen a écrit:La dernière qu'il a plus en course sur ce circuit c'était quand?
De mémoire, moi aussi depuis le temps que je regarde avec assiduité la F1 (96/97)
Aucune course sous la pluie il me semble
Il y a eu un peu de bruine en 2000, mais pas de quoi passer aux pneus pluie.
Le dernier usage des pneus pluie en course c'est le début de course 1995, la dernière course totalement sous la pluie c'est 1994.
gavroche- Messages : 7053
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
gavroche a écrit:kimi.raikkonen a écrit:La dernière qu'il a plus en course sur ce circuit c'était quand?
De mémoire, moi aussi depuis le temps que je regarde avec assiduité la F1 (96/97)
Aucune course sous la pluie il me semble
Il y a eu un peu de bruine en 2000, mais pas de quoi passer aux pneus pluie.
Le dernier usage des pneus pluie en course c'est le début de course 1995, la dernière course totalement sous la pluie c'est 1994.
Surprenant.
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Largo- Messages : 18518
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
En 2003 pluie pendant les qualifs, et je ne trouve d'info nulle part là-dessus, mais il me semble que la fin de la course avait été un peu humide, non? Avec Ralph Schumacher qui a fait 3 tête-à-queues...
Merci Wikipedia
Wikipedia Suzuka 2003 a écrit:Notes
Takuma Sato finished 6th in his one and only race of the season.
Ralf Schumacher spun 3 times in this race, once with his brother Michael.
This was the last time to date that the Japanese Grand Prix was the final round of the season.
Last race for Heinz-Harald Frentzen, Jos Verstappen, Justin Wilson, Nicolas Kiesa and Ralph Firman.
Merci Wikipedia
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labou- Messages : 766
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
La fiche de la course de 2003 marque bien "sec". Mais bon, j'avoue n'avoir aucun souvenir de cette course, donc ce ne serait pas étonnant que je me plante.
Il a aussi plu en qualifs en 2005 (et en 2010 la séance a été décalée pour cause de fortes pluies).
Il a aussi plu en qualifs en 2005 (et en 2010 la séance a été décalée pour cause de fortes pluies).
gavroche- Messages : 7053
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
gavroche a écrit:La fiche de la course de 2003 marque bien "sec". Mais bon, j'avoue n'avoir aucun souvenir de cette course
Elle a été remportée par Barrichello, une de ses 11 victoires, comment ne pas s'en souvenir ?
Quefi- Messages : 258
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
Bah la même année Barrichello avait gagné une course de fou à Silverstone, c'était quand même bien plus mémorable
gavroche- Messages : 7053
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
Qui ?
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Largo- Messages : 18518
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
2003 c'était une belle course avec la remontée de Schumacher, Montoya poisseux et le pseudo suspens pour voir si Raikkonen pouvait gagner la course avec sa stratégie décalée en 2 arrêts. Sans oublier le moteur d'Alonso qui explose alors qu'il pouvait gagner
masahiro- Messages : 11791
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
Max Verstappen roulera en EL1 à la place de Vergne.
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Nexus6- Messages : 6129
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
On prévoit des pluies torrentielles pour ce dimanche...un typhon je crois.Prévisions: 100%
Invité- Invité
Re: [2014] Grand Prix du Japon.
Jaco a écrit:On prévoit des pluies torrentielles pour ce dimanche...un typhon je crois.Prévisions: 100%
pluie, mais pas "typhon"
http://www.tameteo.com/graphiques_meteo-Nagoya-12751-7.html
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les iphones, c'est comme les bmw d'occase et les hémorroïdes, tous les trous du cul finissent par en avoir. (ceci est un joke, il y a trois iphones à la maison)
superswede- Messages : 15413
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
L'expert météo de la BBC parle en effet d'une tempête tropicale, mais il estime qu'il est beaucoup trop tôt pour affirmer quoi que ce soit pour la course.
https://twitter.com/fergieweather/status/516665358997258240
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gavroche- Messages : 7053
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
Ca reste de la météo, ca peut évoluer, mais ça sent quand même bien le caca:
Invité- Invité
Re: [2014] Grand Prix du Japon.
Pastor Maldonado aime ça !
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Docky- Messages : 42172
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
Jaco a écrit:Ca reste de la météo, ca peut évoluer, mais ça sent quand même bien le caca:
Je me demande si la FIA a un plan B (genre faire la course samedi ou lundi) vu que là les experts semblent plutôt confiants sur la trajectoire.
gavroche- Messages : 7053
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
Et au niveau du volcan ça donne quoi ? Il est loin par rapport à Suzuka ?
Supermario- Messages : 7267
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Re: [2014] Grand Prix du Japon.
Avec le DRS + vent dans le dos, ça peut être spectaculaire :run3:
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albertascari- Messages : 20790
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