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il est demain soir à Brest, j'vais peut être aller le voir.

Autant je n'aime pas Ben Affleck en tant qu'acteur, mais niveau réalisateur c'est autre chose. Je viens de voir Gone baby gone sur HD1, j'ai adoré. J'ai été cueilli par le final.

Myllou a écrit:Je reviens de l'avant-première du film "9 mois ferme" de et avec Albert Dupontel. Je suis fan de Dupontel, mais alors là, ça dépasse tout ! C'est à mon sens un film exceptionnel. Sandrine Kiberlain y est juste magistrale.
Ce film est fou, déjanté, très drôle, et parfois bien gore tout en étant drôle.
Il sort le 16 octobre. Je vous le recommande très fortement !

Ca tombe bien, voilà un film que j'ai vraiment envie d'aller voir, tout fan de Dupontel que je suis.  

Du grand Dupontel ! Et si vous aimez Terry Giliam, vous allez être surpris (ou pas) par son apparition et surtout par de véritables clins d’œil au film Brazil notamment au niveau de quelques plans.

Seb a écrit:il est demain soir à Brest, j'vais peut être aller le voir.

Autant je n'aime pas Ben Affleck en tant qu'acteur, mais niveau réalisateur c'est autre chose. Je viens de voir Gone baby gone sur HD1, j'ai adoré. J'ai été cueilli par le final.

C'est sur il est bien tourné, et Casey Affleck est très bon. Mais j'ai trouvé ça un peu cul cul cette histoire de "justiciers" qui sauvent des enfants, et la fin où Casey et sa copine se sépare à cause du choix qu'il fait, c'est pas vraiment crédible.

Argo est super aussi de et avec Affleck.

Vu "Dark City" hier soir, super film de science fiction. Un Matrix avant l'heure qui est passé inaperçu à l'époque alors qu'il aborde exactement les mêmes thèmes (une humanité asservie, une réalité "virtuelle", un élu ...).

moi j'ai regardé "le jour d'après", eta c'était bien pourri  

Crouzz a écrit:moi j'ai regardé "le jour d'après", eta c'était bien pourri  

Ah non pas d'accord. C'est une des rares américonneries qui trouve grâce à mes yeux.
C'est bien fait, le scénario n'est pas complétement farfelu, même si les événements arrivent en un jour, ça finit pas si bien que ça, les américains ne sauvent pas tellement le monde et la morale est assez originale tout de même.

Je suis allé voir White House Down du même réalisateur... ben là par contre on retombe dans les travers d'un scénario qui tient pas la route, de séquences involontairement comiques, des gentils beaux et forts qui gagnent contre des méchants très cons et à la fin l’Amérique ressort grandie et Obama le président jeune, noir et cool sauve le monde.

oui, bon, c'était un peu moins caricatural, mais quand même pas mal.
tous les plans de la mise en scène sont clichés au possible, pas la moindre originalité par rapport aux autres films du genre, j'ai trouvé.

En fait, je connais trop peu de films de ce genre pour avoir été blasé.

Stephen a écrit:Vu "Dark City" hier soir, super film de science fiction. Un Matrix avant l'heure qui est passé inaperçu à l'époque alors qu'il aborde exactement les mêmes thèmes (une humanité asservie, une réalité "virtuelle", un élu ...).

Un excellent film devenu culte d'ailleurs car assez méconnu

Crouzz a écrit:moi j'ai regardé "le jour d'après", eta c'était bien pourri  

Pourtant je le trouve moins naze que les autres films catastrophes !

Pareil, "Le Jour d'Après", je le trouve globalement bien divertissant moi.

C'est un film catastrophe, un blockbuster pour se détendre. A ce titre , il est bien foutu. On en prends les mirettes pendant 1h, et la seconde partie est plus sympa, moins what the fuck que 2012 par exemple.

Dans le style "film catastrophe", je trouve que "Le Jour d'Après", est un des meilleurs des années 2000....
Après, c'est du Emmerich. C'est un mec qui dans le fond n'a pas de si mauvaises idées, et met bien en scène les catastrophes.
Mais parcontre, il lui manque un scénariste et il ne prends pas assez son temps pour developper ses films.
Toujours le même arc : 2/3 premières minutes sur un evenement étrange + 10 minutes de presentation des personnages + Premiere "petite catastrophe" + LA Grosse Catastrophe puis les héros essaient de se réunir puis "survie", et enfin le final qui est la redemption du monde grâce à nos héros face à la catastrophe.

C'est le défaut de Emmerich.
Mais sinon, même un film sur 2012, aurait pu être plus interessant, avec plus de fonds. Là c'était juste un delire pyrotechnique.

A ce titre, faut reconnaître que Le Jour d'Après l'est un peu moins, même si le scénario est dans le parfait style "Emmerichien".

Docky a écrit:
Toujours le même arc : 2/3 premières minutes sur un evenement étrange + 10 minutes de presentation des personnages + Premiere "petite catastrophe" + LA Grosse Catastrophe puis les héros essaient de se réunir puis "survie", et enfin le final qui est la redemption du monde grâce à nos héros face à la catastrophe.

ya de ça

plus des incohérences qui m'ont énervé, je devais tendu du slip :
- si le kérozène gèle dans un hélicoptère, le rotor ne se bloque pas, l'autorotation existe sur les hélicoptères depuis 70 ans
d'aileurs ya plein d'autres choses qui vont arreter de fonctionner dans l'appareil avant que le kérozène ne gel, à commencer par les pilotes qui avaient les vitres ouvertes.
Mais ça fait plus joli à l'écran, c'est sur, un hélico qui se met à tomber en tournant on sait pas pourquoi dans tous les sens.
- le gentil universitaire qui croise le vice président américain à une conférence.
- lorsque le gentil universitaire cherche son fils a new york, il est sur un tas de neige qui recouvre la bibliothèque, mais aucune cheminée fumante n'en dépasse. C'est ballot, ça l'aurait aidé à trouver. Pourtant, son fils est au chaud plus bas auprès d'un feu. Surement mort d'asphyxie, du coup.
- après que le gentil universitaire sauve son fils après avoir fait washignton - new york à pied par -50 °C, ils espéraient traverser l'atlantique à pied? heureusement que les gentils hélicos qui ont dépassé 10 fois leur autonomie les ont trouvé. Bon sur ce point je suis de mauvaise fois, c'est ptete les hélicos qui s'étaient perdu en route, les piétons traversaient surement que la baie de l'hudson  

j'en oublie, mais c'est pas ce qui m'a saoulé.
c'est plutot le coté cliché des scènes.
- un gentil monsieur téléphone dans la rue. d'un coup, un truc bizarre tombe du ciel. un seul truc, comme ça, sans prévenir, isolé. Et quelques secondes plus tard, après que tout le monde ait eu le temps de se rendre compte que c'était bizarre, de lever la tête, ayé, vla la tempête.
c'est rigolo une fois, même si c'est cliché, mais au bout de 4 fois dans le film, ça devient un peu relou.
- raconter une catastrophe autant en montrant cette catastrophe directement qu'en la racontant à travers les chaines d'actualités en continue de la télévision, pour voir la réaction incrédule des badauds. C'est pareil, rigolo une fois si ce n'était pas déjà exploité dans plein de films, mais au bout de 10 fois dans le film on se lasse.
j'en oublie, j'ai plus le temps de continuer, désolé

 

Mais Crouzz, débranche ton cerveau avant d'aller voir ce genre de films !!

Ah tu vois Crouzz, tu emplois théoriquement un argument qui m'enerve ! Le manque de réalisme d'un film.
Cet argument doit être valable pour un film se revendiquant réaliste, ou telle une critique de la société, ou ce que tu veut.

Mais pour un Blockbuster, là juste pour détendre la cervelle, après une journée de boulot, je vois pas pourquoi un film se devrait d'être réaliste.

Vouloir apprendre la météorologie avec Le Jour d'Après, faut être assez atteint ! C'est pas le but du film.

Personne ne se plaint que les Jedis se battent avec des sabres lasers.

Prends les catastrophes des films d'Emmerich, comme des trucs de mutants, tu verras, ça ira mieux !  

Ah ben alors non Doc, pour le coup je ne suis pas d'accord.
Quel que soit le genre du film il faut que le scénario soit en cohérence avec l'univers proposé au départ.

Dans Star Wars, l'univers est bien défini au départ et les mecs ont le droit de se servir d'un sabre laser... mais si Abraham Lincoln débarquait au milieu du film pour donner un coup de main aux Jedis, on se dirait tous "qu'est ce que c'est que ces conneries" ???
Parcequ'au début du film, l'univers dépeint suppose implicitement (mais clairement quand même) qu'Abraham Lincoln n'a rien à foutre là.

De même dans le jour d'après, les billes qu'on nous donne au départ, c’est qu'on est dans notre monde actuel et qu'il y a un refroidissement ultra-rapide qui s'abat sur la planète. A partir de là, il est acceptable de voir la moitié du globe se geler en 2 heures, en revanche, il n'est pas acceptable que les autres lois de la physique ne soient pas respectées.

C'est pas pour rien que les (bons) scénaristes donnent toutes les billes de l'intrigue au début. C'est pour qu'à la fin, on ne se dise pas "Mais ça sort d'où ça ???". Et ce, qu'il s'agisse d'un blockbuster ou non.

(Mais bon, Crouzz va quand même chercher ses incohérences assez loin.  Pour moi, ce qu'il relève n'est pas rédhibitoire pour "croire" à l'histoire)

Marrant le post de Crouzz.

Personnellement je ne suis pas avec assez d'attention un blockbuster pour relever ce genre de problèmes. Et ces films ne me marquent pas assez pour me souvenir des détails dès le lendemain.

Crouzz a écrit:

Docky a écrit:
Toujours le même arc : 2/3 premières minutes sur un evenement étrange + 10 minutes de presentation des personnages + Premiere "petite catastrophe" + LA Grosse Catastrophe puis les héros essaient de se réunir puis "survie", et enfin le final qui est la redemption du monde grâce à nos héros face à la catastrophe.

ya de ça

plus des incohérences qui m'ont énervé, je devais tendu du slip :
- si le kérozène gèle dans un hélicoptère, le rotor ne se bloque pas, l'autorotation existe sur les hélicoptères depuis 70 ans
d'aileurs ya plein d'autres choses qui vont arreter de fonctionner dans l'appareil avant que le kérozène ne gel, à commencer par les pilotes qui avaient les vitres ouvertes.
Mais ça fait plus joli à l'écran, c'est sur, un hélico qui se met à tomber en tournant on sait pas pourquoi dans tous les sens.
- le gentil universitaire qui croise le vice président américain à une conférence.
- lorsque le gentil universitaire cherche son fils a new york, il est sur un tas de neige qui recouvre la bibliothèque, mais aucune cheminée fumante n'en dépasse. C'est ballot, ça l'aurait aidé à trouver. Pourtant, son fils est au chaud plus bas auprès d'un feu. Surement mort d'asphyxie, du coup.
- après que le gentil universitaire sauve son fils après avoir fait washignton - new york à pied par -50 °C, ils espéraient traverser l'atlantique à pied? heureusement que les gentils hélicos qui ont dépassé 10 fois leur autonomie les ont trouvé. Bon sur ce point je suis de mauvaise fois, c'est ptete les hélicos qui s'étaient perdu en route, les piétons traversaient surement que la baie de l'hudson  

j'en oublie, mais c'est pas ce qui m'a saoulé.
c'est plutot le coté cliché des scènes.
- un gentil monsieur téléphone dans la rue. d'un coup, un truc bizarre tombe du ciel. un seul truc, comme ça, sans prévenir, isolé. Et quelques secondes plus tard, après que tout le monde ait eu le temps de se rendre compte que c'était bizarre, de lever la tête, ayé, vla la tempête.
c'est rigolo une fois, même si c'est cliché, mais au bout de 4 fois dans le film, ça devient un peu relou.
- raconter une catastrophe autant en montrant cette catastrophe directement qu'en la racontant à travers les chaines d'actualités en continue de la télévision, pour voir la réaction incrédule des badauds. C'est pareil, rigolo une fois si ce n'était pas déjà exploité dans plein de films, mais au bout de 10 fois dans le film on se lasse.
j'en oublie, j'ai plus le temps de continuer, désolé

Je connais une chaine Youtube qui fait des vidéos sur ce genre de choses si tu veux.  

Je n'suis pas Crouzz mais je veux bien.  

Mikasper a écrit:Je n'suis pas Crouzz mais je veux bien.  

C'est en nanglais par contre

https://www.youtube.com/user/CinemaSins/videos

Flûte. Thank you quand même.  

Gus a écrit:Ah ben alors non Doc, pour le coup je ne suis pas d'accord.
Quel que soit le genre du film il faut que le scénario soit en cohérence avec l'univers proposé au départ.

Dans Star Wars, l'univers est bien défini au départ et les mecs ont le droit de se servir d'un sabre laser... mais si Abraham Lincoln débarquait au milieu du film pour donner un coup de main aux Jedis, on se dirait tous "qu'est ce que c'est que ces conneries" ???
Parcequ'au début du film, l'univers dépeint suppose implicitement (mais clairement quand même) qu'Abraham Lincoln n'a rien à foutre là.

De même dans le jour d'après, les billes qu'on nous donne au départ, c’est qu'on est dans notre monde actuel et qu'il y a un refroidissement ultra-rapide qui s'abat sur la planète. A partir de là, il est acceptable de voir la moitié du globe se geler en 2 heures, en revanche, il n'est pas acceptable que les autres lois de la physique ne soient pas respectées.

C'est pas pour rien que les (bons) scénaristes donnent toutes les billes de l'intrigue au début. C'est pour qu'à la fin, on ne se dise pas "Mais ça sort d'où ça ???". Et ce, qu'il s'agisse d'un blockbuster ou non.

(Mais bon, Crouzz va quand même chercher ses incohérences assez loin.  Pour moi, ce qu'il relève n'est pas rédhibitoire pour "croire" à l'histoire)

Non, mais je suis d'accord pour un film qui se veut ambitieux.
Mais pour un simple divertissement pop corn, comme le Jour d'Après, c'est pas le réalisme qu'on demande...

bah je regarderai plus de blockbuster alors

mais il avait un point fort, ce film : il utilise bien le son 5.1, c'est déja ça  

Ah et puis y a Chimène ...


J'ai rêvé la douceur de certains soiiiiiiiiiiirs
J'ai rêvé surtout qu'il n'était pas trop taaaaaaard  








 
Quoi ?
Comment ça, je viens de casser 10 ans de réputation de mélomane accompli en 2 lignes ?

 

En lisant Crouzz je suis content d'être un littéraire j'ai pas ce souci de réalisme ! J'ai même dû le lire 3 fois pour comprendre 30 %