Ce que vous revez de faire, dans cette vie ou une autre.

petitclem a écrit:quand tu veux faire quelque chose, tu as 2 manières de l'appréhender :
soit tu te dis : c'est genial je le fais le reste suivra (les contraintes).
soit tu te dis : ca va etre compliqué faut regler ca et ca et mais ca peut etre genial !
tu as plus de chances de le faire dans le 1er cas que dans le second.
et le resultat est pourtant le meme.
si tu veux quelque chose, si tu désires le faire, alors aucune chose ne viendra te contraindre a abandonner. et tes amis, ta famille te poussera a le faire.

Tout à fait, mais le 1er cas n'est applicable que quand tu es jeune et plus ou moins sans attache.
Mais il y a les études à terminer avant pour assurer ton avenir. Pour peu que tu fasses des études de bon niveau, tu termines à 24 ans.
En admettant que tu aies les moyens nécessaires de partir à ce moment pendant un an, tu reviens à une vie normale à 25 ans. A ce moment, il te faut trouver un job sans avoir d'expérience ou à peine, pour peu que tu aies réussi à bosser dans ton domaine d'étude pendant ton périple.
Dans la plupart des cas, tu auras fait un chouette truc mais tu n'es nulle part au niveau vie active et petit à petit, l'engrenage se lance dans la recherche vaine d'un job. 2, 3 années s'écoulent et tu approches de la trentaine sans travail et sans expérience et en t'éloignant de ton domaine d'étude au niveau de la mise à jour des connaissances, ce qui ne va pas faciliter une embaûche.
A la trentaine, on va commencer à te dire que tu es trop vieux pour quelqu'un qui n'a jamais bossé et tes chances de rester décroché de la vie active augmente au fur et à mesure que ton avenir noircit.
Ca paraît assez pessimiste comme vision, mais je crois que c'est assez proche de ce que tu risques fort de connaître en ayant choisi cette option.

La deuxième option est plus sûre au niveau de ton avenir, mais dans ce cas, au fur et à mesure que tu avances dans la vie et t'installes, tu poses tes attaches dans une compagne, une maison, des enfants...et tu ne sais plus partir jusqu'à la fin de ta vie professionnelle.

Bref, c'est le genre de rêve que tout le monde aimerait faire, mais que peu réalisent.

ceux qui sont revenus plus tot que moi s'en sortent pas si mal.
et de plus en plus de gens le font. en 2 ans ca a explosé. dans certains pays, c'est meme un passage obligé. Les allemands partent generalement apres bac à 18 ans. en France c'est plus souvent apres les etudes.
dasn certains pays, c'est mal vu de ne pas partir.on voit ca comme une experience obligée.

Partir à 18 ans, faut que papa et maman assument financièrement. J'appelle pas ça partir à l'aventure, mais prendre une année sabbatique.

je ne sais pas je t'avoue mais oui ils ont dû aider un peu
mais tout le monde travaille la bas, je ne suis parti qu'avec 1200€ hors billet d'avion. et j'en ai ramené plus que ca

Plus modestement, déjà, pouvoir passer plus de temps en compagnie de certaines personnes, déjà, ça m'irait bien.

les reves n'ont pas besoin d'avoir un objectif quasi inatteignable.
rever dans un but precis empeche parfois de vivre pleinement sa vie. et souvent on est plus heureux en chemin qu'au bout de celui-ci

Bosser dans la musique (étonnant je sais)

Mes propres rêves en ce sens sont tout ce qu'il y a de plus raisonnables, immédiats et terre-à-terre : trouver un bon emploi le moment venu, au dernier trimestre de cette année, un logement sympa, être heureux d'une façon ou d'une autre avec les gens que j'aime.

J'aimerais être propriétaire d'un bar que je nommerais "Nibar bar"

Gautier a écrit:Mes propres rêves en ce sens sont tout ce qu'il y a de plus raisonnables, immédiats et terre-à-terre : trouver un bon emploi le moment venu, au dernier trimestre de cette année, un logement sympa, être heureux d'une façon ou d'une autre avec les gens que j'aime.

+1
C'est étonnant sans doute mais je ne rêve pas de chose inaccessible voir très difficile d'accès. Car savoir que ça sera impossible enlève tout.

Vivre à Palermo en Sicile, pour le climat, l'ambiance, et la mer. C'est mon objectif pour fin 2011.

Mais d'abord je dois :
- Reussir à vivre en travaillant à domicile (mon domicile peut alors être à l'autre bout du monde je gagnerai le même salaire).
- Ou alors maitriser l'Italien et réussir à trouver un job là-bas.

Mon métier étant DJ-Producteur, je peux me débrouiller pour enregistrer des mixes que je peux vendre à des stations de radios ou trouver un employeur pour devenir DJ-Resident.

J'ai aussi un projet de webradios 100% musicales qui consiste à sonoriser des commerces et boutiques. Dans les deux cas je peux m'en sortir sans connaitre un mot d'Italien (le pire c'est que j'en ai fait 10 ans à l'école sans jamais avoir eu une note au dessus de 10/20).

Les raisons de ce choix :
- Le climat : j'ai 20 kilos à perdre et le froid m'empêche de faire du jogging, je culpabilise de ne promener mon chien tous les jours que 6 mois par an, et surtout j'ai pas beaucoup profité de la vie trop enfermé à bosser et je veux passer ma vie dans un endroit qui permette d'être heureux 12 mois par an au lieu de 6 et 6 à marronner à cause du froid. Il fais pas spécialement chaud en été la bas mais beaucoup plus doux en hiver. Je cherche pas non plus la fournaise.

- L'ambiance : Les grandes villes bien dense, j'adore, l'architecture plutôt moderne avec un relief plutôt plat. Un certain confort avec des centres commerciaux, des parcs et tout ce qu'il faut au niveau sportif pour ne jamais s'ennuyer. Au niveau des habitants aussi, j'adore la mentalité des Italiens, la musique italienne et le côté mélodieuse de la langue (je suis quand même DJ à la base c'est à prendre en considération !), et surtout pour moi les italiennes sont les plus belles femmes du monde.

- La mer : parce que je suis un grand romantique et que j'adore pouvoir me promener sur la plage et avoir la vue sur la mer. Parce que c'est mon lieu de vacances préférées et que mater les gonzesses en bikini voir les gens s'amuser dans l'eau et souriants, ça contribue à améliorer le cadre de vie selon moi. Je n'imagine pas mon futur autrement que dans un cadre de rêve, tout en menant "une vie normale". J'ai été confronté à des hommes de pouvoir et j'ai revu mes ambitions à la baisse. Je ne veux pas vivre dans un cadre de luxe comme miami, ça au contraire c'est tout ce que je déteste. Palermo et est le mélange parfait entre "cadre de vie agréable" et "diversité des classes sociales".

J'ai ce rêve depuis tout petit, je l'ai toujours refoulé au fond de moi. D'abord parce que ma formation et mes ambitions professionnelles ne me permettaient pas d'envisager de quitter la france un jour, et ensuite parce que je suis quelqu'un de très peureux qui a horreur de l'insécurité et de l'imprévu, or tout plaquer pour partir dans un autre pays représentait la connerie numéro un à ne surtout pas faire pour assurer mon avenir.

Mais avec le temps, les épreuves et les soucis, j'ai pris conscience que je m'étais fait une fausse définition de mon propre bonheur. Quand on aime trop son travail et qu'on a pas de vie sociale, on oublie complètement que l'on a fait un énorme sacrifice et on trouve ce mode de vie normal. On se dit qu'on profitera de la vie "après", dans 10 ou 20 ans. Or je n'ai pas envie de me réveiller dans 20 ans en me disant "j'ai oublié de réaliser ce rêve là" ou de me retrouver riche et isolé. Même si j'ai beaucoup d'idées pour gagner ma vie, j'ai adapté mes projets de sorte à ne pas être dépendant d'un emploi qui pourrait me contraindre à sacrifier ma vie privée.

Et parce qu'en réfléchissant j'ai trouvé un compromis qui me permet de gérer très bien la situation en trouvant un bon compris "vie professionnelle/vie privée", je commence à prendre ce rêve de vivre la bas très au sérieux. Sans vouloir fuir, il faut bien prendre conscience du fait que le cadre de vie peut être un élément très important dans la quête du bonheur quand on ne se sent vraiment pas bien et qu'on à du mal à s'intégrer.

C'est vraiment marrant le titre du topic car je me disais toujours la même chose "je ferais ça dans un autre vie"... mais déjà qu'on ne sais même pas combien de temps on va vivre, croire qu'on nous accordera une autre vie pour rattraper tout le temps perdu dans celle-ci, c'est justement ça qui me parait réellement utopiste.

les italiennes sont tres belles mais c'est pas touche
mais ca t'empeche pas de les mater en bikini

Je préfère de loin le trikini

Seb a écrit:biensur super facile de mettre 10k€ pour un voyage.

Tu vis dans une tente, tu manges des racines, tu vas te laver au ruisseau, parfois, avec du bol tu chopes un ragondin et ça te fais la semaine...

a t'écouter petitclem, mettre autant de pognon de coté est d'une simplicité enfantine...


Ce que je rêverais de faire ? des implants pour avoir la même tonsure que Reno Raines !

quand on veut on peut, je l'ai fait , et je touchait le smic, et je payaait mon lmoyer et mes factures.....ok, je ne suis pas parti avc 10000 euros, mais tout est une question de choix, c'est tout.c'etait le mien, et je comprend parfaitement que ce ne soit pas celui de tout le monde.....

il faut arreter de ce tirer dans les pattes systematiquement.certains on des imperatifs familiaux, ou professionels, c'est tout, ou tout simplement d'autres priorites.

j'ai pour ma part une conception de la vie bien speciale, mais chacun fait comme il veut,.

Seb a écrit:

faut avoir 25 ans, pas de femme ni enfant...là effectivement on peut dire que c'est "facile". J'ai parfois l'impression que tu vois le monde tel que tu souhaiterais qu'il soit, facile, sans problèmes, roots quoi, ça en est, parfois agaçant. Ce monde bisounours je l'ai quitté il y a bien longtemps, et on est nombreux à pas y avoir foutu les pieds.

ce monde de bisounours , comme tu l'appelle, existe, ca s'appelle des communautes utopistes, et ca existe, j'en ai cotoyes plus d'unes, en france, et en nouvelle zelande.

vivre sans argent, c'est possible, je n'ai pas dis facile, je n'ai pas dis que c'etait le reve de tout le monde, mais c'est possible, et ca marche dans certains cas. et je veut vivre comme ca.

si tu ne me croit pas, les ressources du net sont a ta portee, et crois mopi, ca n'empeche ni de bouffer correctement, ni d'avoir des gosses.

Apres il faut s'affranchir d'une certaine "securite" pour un peu tout, et pareil, je comprend a 100% les gens que ca ne tente pas tu tout.

chacun son reve.chacun son ideal.

mais ne demolit pas ceux des autres.

Je me rends compte que finalement, mon plus gros rêve de gosse est encore et toujours d'avoir une Mustang Shelby GT500 de 1967. Mais plus on avance dans le temps, plus le rêve s'éloigne à cause de sa rareté et qui fait monter le prix chaque année.

Je finirai peut-être par faire un compromis en prenant la version 2007:



ou



J'ai trouvé une adresse à Bruges pour l'importation

Aeggirsson a écrit:

petitclem a écrit:quand tu veux faire quelque chose, tu as 2 manières de l'appréhender :
soit tu te dis : c'est genial je le fais le reste suivra (les contraintes).
soit tu te dis : ca va etre compliqué faut regler ca et ca et mais ca peut etre genial !
tu as plus de chances de le faire dans le 1er cas que dans le second.
et le resultat est pourtant le meme.
si tu veux quelque chose, si tu désires le faire, alors aucune chose ne viendra te contraindre a abandonner. et tes amis, ta famille te poussera a le faire.

Tout à fait, mais le 1er cas n'est applicable que quand tu es jeune et plus ou moins sans attache.
Mais il y a les études à terminer avant pour assurer ton avenir. Pour peu que tu fasses des études de bon niveau, tu termines à 24 ans.
En admettant que tu aies les moyens nécessaires de partir à ce moment pendant un an, tu reviens à une vie normale à 25 ans. A ce moment, il te faut trouver un job sans avoir d'expérience ou à peine, pour peu que tu aies réussi à bosser dans ton domaine d'étude pendant ton périple.
Dans la plupart des cas, tu auras fait un chouette truc mais tu n'es nulle part au niveau vie active et petit à petit, l'engrenage se lance dans la recherche vaine d'un job. 2, 3 années s'écoulent et tu approches de la trentaine sans travail et sans expérience et en t'éloignant de ton domaine d'étude au niveau de la mise à jour des connaissances, ce qui ne va pas faciliter une embaûche.
A la trentaine, on va commencer à te dire que tu es trop vieux pour quelqu'un qui n'a jamais bossé et tes chances de rester décroché de la vie active augmente au fur et à mesure que ton avenir noircit.
Ca paraît assez pessimiste comme vision, mais je crois que c'est assez proche de ce que tu risques fort de connaître en ayant choisi cette option.

pas forcement vrai en amerique du nord ou l'age ou les diplomes bien souvent ont moins d'importance que les compétences . au canada je trouvai que pas mal de gens ne faisaient pas le meme boulot toute leur vie, reprenait leur etudes a pas d'age, et que en consequence les boites etaient assez habituées a embaucher des newbies de 40 ans , en meme temps elles ont pas forcement le choix vu le manque de main d'œuvre dans pas mal de secteur

redodev a écrit:

pas forcement vrai en amerique du nord ou l'age ou les diplomes bien souvent ont moins d'importance que les compétences . au canada je trouvai que pas mal de gens ne faisaient pas le meme boulot toute leur vie, reprenait leur etudes a pas d'age, et que en consequence les boites etaient assez habituées a embaucher des newbies de 40 ans , en meme temps elles ont pas forcement le choix vu le manque de main d'œuvre dans pas mal de secteur[/quote]

Certes, mais n'exagérons rien non plus : même et surtout aux USA, avoir fait Harvard ou le MIT, ça aide.

FFFF a écrit:

Gautier a écrit:Mes propres rêves en ce sens sont tout ce qu'il y a de plus raisonnables, immédiats et terre-à-terre : trouver un bon emploi le moment venu, au dernier trimestre de cette année, un logement sympa, être heureux d'une façon ou d'une autre avec les gens que j'aime.

+1
C'est étonnant sans doute mais je ne rêve pas de chose inaccessible voir très difficile d'accès. Car savoir que ça sera impossible enlève tout.

ça ne s'appelle pas un reve mais la realité ça . le reve c'est quand meme l'essence de l'âme, puis c'est bien souvent la chose qui nous reste de l'enfance .

Me trouver un bon job ici et demander ma mutation en Inde...

Je réussirai !

Aeggirsson a écrit:Partir à 18 ans, faut que papa et maman assument financièrement. J'appelle pas ça partir à l'aventure, mais prendre une année sabbatique.

moi je suis parti et personne ne m'a aisé, j'ai bossé ici, j'ai croisé pas de gens dans le meme cas que moi, puis j'ai bossé dur là ou j'ai atterri, les autres aussi, apres oui il y en a qui se font aider par les parents, mais pas en totalité .

Gautier a écrit:



Certes, mais n'exagérons rien non plus : même et surtout aux USA, avoir fait Harvard ou le MIT, ça aide.

tout le monde ne sort pas de harvard au usa tu exagere aussi, mais je pensais plus au canada dans le cas present .

albertascari a écrit:Un Tour d'Italie en voiture sans limite de temps
pour visiter, entre autres:
San Remo, Portofino, Rome, la Baie de Naples et le Vésuve, la Catagne, la Sicile, Bari, Pescara, San Marino, Venise, Salsomaggiore Terme, les Lacs de Garde, Côme et Majeur

y'a des témoignages sympa ici. j'avais pas vu le tien. faudrait qu'on y aille ensemble ça pourrait être cool

ce qui est marrant c'est qu'on aime tous les deux l'italie, et on ne trouve même pas les mots-clés "maranello" ou "ferrari" dans nos posts

redodev a écrit:

FFFF a écrit:

Gautier a écrit:Mes propres rêves en ce sens sont tout ce qu'il y a de plus raisonnables, immédiats et terre-à-terre : trouver un bon emploi le moment venu, au dernier trimestre de cette année, un logement sympa, être heureux d'une façon ou d'une autre avec les gens que j'aime.

+1
C'est étonnant sans doute mais je ne rêve pas de chose inaccessible voir très difficile d'accès. Car savoir que ça sera impossible enlève tout.

ça ne s'appelle pas un reve mais la realité ça . le reve c'est quand meme l'essence de l'âme, puis c'est bien souvent la chose qui nous reste de l'enfance .

La définition d'un rêve ce n'est pas un truc inaccessible.

Un rêve c'est un truc qu'on a vraiment envie de faire, qui change, mais il n'y a pas forcément de notion d'impossibilité.

redodev a écrit:

Aeggirsson a écrit:Partir à 18 ans, faut que papa et maman assument financièrement. J'appelle pas ça partir à l'aventure, mais prendre une année sabbatique.

moi je suis parti et personne ne m'a aisé, j'ai bossé ici, j'ai croisé pas de gens dans le meme cas que moi, puis j'ai bossé dur là ou j'ai atterri, les autres aussi, apres oui il y en a qui se font aider par les parents, mais pas en totalité .

Le fait est qu'en Europe, ce type d'aventure est plus rare, ce qui n'en fait pas une impossibilité.

Quand j'ai quitté le domicile familial, j'avais 2.500 € en poche pour m'installer en appart' avec ma future femme, on ne roulait pas sur l'or la première année.
On est resté avec un vieux TV noir et blanc à lampes pendant 18 mois
Ce ne sont pas mes vieux qui auraient pu nous aider, et encore moins ceux de ma copine.

Faut dire qu'on la regardait pas souvent non plus

Sinon, en allant tout à l'heure chez Jaguar, je suis passé devant un garage indépendant qui avait une Mustang 2007 d'occase à vendre pour 26.000 €. Je pensais repasser pour aller jeter un oeil, mais j'ai pas eu le temps. J'y retournerai cette semaine. On ne sait jamais, mon rêve de gosse est peut-être là à m'attendre.

Une blanche avec stripping rouge, superbe.

Remplacez le bleu par du rouge vif pour vous faire une idée: