Les études secondaires et le boulot (pas l'arbre !)

Bravo Zelkin,

Hâte de le trouver à la FNAC (en Suisse) j'espère.

Pour la dedi ben comme le dit Erwee pourquoi pas organiser un truc.

Nini a écrit:Voilà maintenant 3 ans que j'ai rencontré ma chérie qui vivait à 300 km de chez moi...
Voilà maintenant 1 an que l'on a acheté une maison ensemble, que l'on est PACSés et que je fais des aller-retours là-bas tous les week-ends...
Voilà maintenant plus de 6 mois qu'elle vit de plus en plus mal mon absence...  
Et voilà aussi depuis quelques temps, que ma boite est au plus mal, avec des fournisseurs payés au lance-pierre, et des employés in extremis chaque mois...  

Bref, après tout ce temps perdu, je me suis mis un coup de pied au cul pour chercher un nouveau job par là-bas et changer définitivement de région !  

J'en suis encore au tout début et je repars de 0... Avez-vous des tuyaux, conseils, sites sympas pour commencer déjà par faire un beau CV (le mien a 20 ans) et une belle lettre de motivation ?

Voilà maintenant plus d'1 an que j'avais posté ce message et que je n'avais pas fait grand chose de concret...
J'avais évoqué rapidement l'état de santé de ma chérie dans un autre topic et tout ceci était un peu lié.

Bref, cette fois je me suis vraiment lancé avec un nouveau CV et un profil LinkedIn.
Je me suis aussi inscrit sur le site de l'APEC et depuis j'ai reçu quasiment 1 appel / jour de recruteurs pour me proposer des entretiens en visio.

J'ai fait mon 1er hier soir, et j'en ai encore 3 planifiés dans les jours à venir. Ce n'est pas forcément des postes précis pour le moment (cabinets de recrutement ou boite de consultants sans projet encore défini) mais ça permet au moins de se faire la main !

Au passage, ma boite survit toujours, mais c'est l'hécatombe dans le personnel qui se barre de mois en mois... Nous étions dans les 70 il y a encore 2 ans, et maintenant à peine 50. Rien que dans mon service, on est passé de 5 à 3 ce mois-ci (contre 7 au maximum quand on était au top)
Le pire, c'est qu'on a potentiellement du boulot (et moi aussi particulièrement dans mon domaine) mais que la situation financière actuelle ne permet pas de travailler correctement. Donc ça devient un cercle vicieux qui s'empire de plus en plus

Erwee a écrit:

Zelkin a écrit:Oui je rejoins Rye, tu as fait ce que te disait ton instinct et tu as aidé une personne qui en avait besoin, honnêtement bravo à toi c'est très classe

Par contre maintenant, dis-lui ce que tu as sur le cœur s'il y a des choses que tu as envie de clarifier, ça t'aidera surement à avancer... et pense à toi en priorité

Ah, vouloir être quelqu'un de bien est plus exaspérant que ce que je pensais...

Disons que c'est pas évident de provoquer la situation. Comme vais-je caler cela auprès de lui ?
Par le passé, on se voyait tous les jours ouvrables de l'année. C'était plus simple de se trouver la moindre occasion de discuter et d'éviter ainsi les malentendus.

Alors, pour finir avec ma petite histoire...
On a finalement pu se trouver du temps pour se déjeuner ensemble un midi en semaine et je lui ai brièvement partagé mes ressentis par rapport à cette situation.
Finalement, il fallait que ça vienne de moi selon lui... Il a bien remarqué ma prise de recul et attendait à ce que je lui en parle.

Bon, on a remis les choses à plat et on s'est imposé un rituel d'aller se retrouver une fois par semaine à la piscine pour pratiquer la natation et déjeuner ensemble.
Et depuis, tout va mieux.

Erwee a écrit:

Erwee a écrit:

Zelkin a écrit:Oui je rejoins Rye, tu as fait ce que te disait ton instinct et tu as aidé une personne qui en avait besoin, honnêtement bravo à toi c'est très classe

Par contre maintenant, dis-lui ce que tu as sur le cœur s'il y a des choses que tu as envie de clarifier, ça t'aidera surement à avancer... et pense à toi en priorité

Ah, vouloir être quelqu'un de bien est plus exaspérant que ce que je pensais...

Disons que c'est pas évident de provoquer la situation. Comme vais-je caler cela auprès de lui ?
Par le passé, on se voyait tous les jours ouvrables de l'année. C'était plus simple de se trouver la moindre occasion de discuter et d'éviter ainsi les malentendus.

Alors, pour finir avec ma petite histoire...
On a finalement pu se trouver du temps pour se déjeuner ensemble un midi en semaine et je lui ai brièvement partagé mes ressentis par rapport à cette situation.
Finalement, il fallait que ça vienne de moi selon lui... Il a bien remarqué ma prise de recul et attendait à ce que je lui en parle.

Bon, on a remis les choses à plat et on s'est imposé un rituel d'aller se retrouver une fois par semaine à la piscine pour pratiquer la natation et déjeuner ensemble.
Et depuis, tout va mieux.

Je suis content pour toi Erwee

On attend le selfie de vous deux à la piscine ! Dans les vestiaires de la piscine, je voulais dire

C'est cool si ça s'est arrangé je suis contente pour toi erwee

J'en avais pas parlé ici mais j'ai repris mes études cette année en Angleterre. Je fais ma certification à l'université d'Oxford pour être prof de français (j'ai déjà un master en France pour être instit). Je découvre les joies du système scolaire britannique.
Alors étudier à l'université d'Oxford c'est un truc unique mais j'avoue que j'ai hâte d'être en juin et que ça soit derrière moi.

Rye a écrit:J'en avais pas parlé ici mais j'ai repris mes études cette année en Angleterre. Je fais ma certification à l'université d'Oxford pour être prof de français (j'ai déjà un master en France pour être instit). Je découvre les joies du système scolaire britannique.
Alors étudier à l'université d'Oxford c'est un truc unique mais j'avoue que j'ai hâte d'être en juin et que ça soit derrière moi.

Tout ça pour avoir des vacances scolaires et passer plus de temps pour remporter le titre FMWC
Les excuses pour gagner le titre sont de plus en plus farfelues, capillotractées et saugrenues



Félicitations Rye AmouRye SamouRye

Bravo ! Félicitations !

Que de grands diplômés sur ce forum...

Julienk5 a écrit:

Rye a écrit:J'en avais pas parlé ici mais j'ai repris mes études cette année en Angleterre. Je fais ma certification à l'université d'Oxford pour être prof de français (j'ai déjà un master en France pour être instit). Je découvre les joies du système scolaire britannique.
Alors étudier à l'université d'Oxford c'est un truc unique mais j'avoue que j'ai hâte d'être en juin et que ça soit derrière moi.

Tout ça pour avoir des vacances scolaires et passer plus de temps pour remporter le titre FMWC
Les excuses pour gagner le titre sont de plus en plus farfelues, capillotractées et saugrenues



Félicitations Rye AmouRye SamouRye

Mince ! Tu as découvert ma stratégie

Vu que j'ai un diplômé d'ingénieur

Je me demandais si je pouvais candidater à un poste de technicien avec un faux CV et une fausse candidature.
Y aller pour m'amuser et voir si à la fin je suis pris

Julienk5 a écrit:Vu que j'ai un diplômé d'ingénieur

Je me demandais si je pouvais candidater à un poste de technicien avec un faux CV et une fausse candidature.
Y aller pour m'amuser et voir si à la fin je suis pris

ça dépend du boulot je pense.
Un ingénieur n'est pas forcement aussi technique qu'un technicien.
Surtout si ils cherchent quelqu'un qui a un profil de BTS.

Quand j'ai passé la soutenance de mémoire pour mon diplôme d'ingé, la présidente du Jury m'a reproché d'avoir plus présenté un contenu de "super technicien" que du contenu spécifique de ce qu'on attend d'un ingénieur.
Mais bon j'ai quand même eu le diplôme au final.

Il y a en France la même proportion de personnes qui ne dépassent pas l'école primaire aujourd'hui que de personnes qui étaient diplômées du supérieur en 1971.

C'est des trucs que peu de monde doit avoir connu sur ce forum, mais dans ma petite école de campagne plusieurs de mes camarades de CM2 n'étaient même pas allé jusqu'au collège, ils sont passés du CM2 à un institut spécialisé.
Je suis le seul de ma classe de CM2 à avoir eu le bac, et à priori la première personne étant passé par l'école du village à avoir fini ingénieur (au point ou le Maire du village voulais faire un article dans la dépêche du midi).
C'était ça la réalité de l'accès aux études dans les années 70-80, dans les villages isolés des départements pauvres.

Je me suis intéressé un peu à l'épreuve du brevet, parce que j'ai une petite cousine et le neveu de ma chérie qui l'ont passé cette année.
Je vais passer pour le vieux con de service (je l'ai passé il y a tout juste 30 ans), mais je suis resté un peu effaré par le niveau des questions...
J'ai l'impression qu'il n'y a plus besoin d'aucune connaissances, tout juste un peu de réflexion : juste des commentaires de texte et de dessin, ou trouver la réponse dans un texte (niveau cahier de vacances de CM1)
En maths, c'est un remake du "compte est bon" dans "les chiffres et les lettres" : on te donne des nombres, la réponse à la question, et faut trouver la bonne opération (une soustraction ou une multiplication) pour arriver au résultat.

Je pense que le niveau du collège aujourd'hui n'est même pas celui de l'école primaire et du "certif'" de l'époque de mes parents...

Ma Fille a eu son brevet des collèges mention très bien, je ne pense pas qu'elle aurait eu une mention si elle l'avait passé à la fin des années 80, ou éventuellement AB.
Il y a une véritable inflation des notes, c'est assez déroutant.

Hmmmm, il y a trois facteurs distincts à prendre en compte. La nature des individus, la qualité de l'éducation et la qualité de l'évaluation.

Le premier n'a pas changé sur un temps aussi court. Cela se fait au mieux sur des millénaires (et plutôt sur des dizaines ou centaines de millénaires).
La deuxième a changé, en bien globalement, parce que justement avant c'était un écrémage violent à chaque niveau. Il y a moins de laissés pour compte (sauf sur les socles de base, l'illettrisme a ainsi très peu changé en un siècle).
La troisième a changé en mal, parce que les progrès de la deuxième sont insuffisants et inconstants et entraîne collatéralement une baisse du niveau moyen (les 10% de licenciés, c'étaient pas les 10% les plus bêtes (pas nécessairement les 10% plus intelligents non plus, mais bien 8-9% l'étaient)) et à seuil constant, on aurait donc une baisse de niveau.

Cela serait en désaccord avec notre modèle civilisationnel de la performance : il y a une forme de nécessité à ce que les taux de réussite augmentent, sinon chaque année, au moins en suivant largement cette tendance. Et là, y a pas de magie, on ne devient pas des surhommes* et donc pour maintenir un taux en croissance, avec une baisse du niveau moyen (ce qui n'est pas un mal en soi, cela signifie que l'éducation est plus inclusive), on doit dévaluer l'évaluation. Pas explicitement, mais on surnote si nécessaire et on réduit la difficulté progressivement au fil des années. C'est les notes qui sont étalonnées par rapport aux élèves et non l'inverse.

*Au contraire le changement de paradigme technologique a fait de nous des trouveurs plutôt que des savants (Avoir accès en quasi permanence à toute information nécessaire nous rend moins apte à stocker l'information... Un exemple : dans les années 1990, je connaissais de tête les podiums des 600 GP, j'en ai oublié 95% et c'est pire pour les GP depuis 2000, parce qu'il y a internet. Pourquoi savoir ça quand je peux aller voir sur StatsF1 n'importe où ?) Qui parmi nous se souvient des poèmes ou récitations apprises en primaire ou au collège, je veux dire au delà des quatre premiers vers de Demain dès l'aube... Mon grand-père pouvait réciter les poèmes qu'il avait appris sans souci 50 ou 60 ans après.

Par contre il faut pondérer, ce n'était pas mieux avant (Cela se dit chaque génération depuis au moins 2000 ans (Tite Live, de mémoire) et sans doute beaucoup plus), c'était un échantillon plus faible (en nombre), le niveau moyen global est lui plus élevé, et les étudiants qui pousseront loin dans le supérieur auront un enseignement plus complet et de meilleur qualité. Par contre la nature et la qualité de cette éducation universelle et égalitaire est très discutable puisqu'elles sous-entend que les individu sont identiques, ils ne le sont pas, chacun à ses forces et ses faiblesses. Il y a quelques élèves en trop grandes facilités qui décrochent pour cette raison ou du moins qui traversent leur scolarité comme un fantôme sans trouver leur place en ce monde commun. L'éducation publique veut des citoyens aptes, pas des penseurs. Et là encore, rien de nouveau dans cela...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Juliana_Morell
Latin, grec, hébreu à 4 ans...
Thèse en dialectique et éthique à 12...
Docteure en droit à 14...
Entre au couvent à 16 pour fuir les vanités du monde.

Si on a pas une violente attaque d'humilité en lisant cette page wiki... Bon, l'exemple est un peu extrême mais des personnes ainsi, il y en a des tas à chaque génération. Certains deviennent savant ou chercheurs, d'autres nonnes, artistes, alcooliques, d'autres se suicident, etc.

oxythan a écrit:Ma Fille a eu son brevet des collèges mention très bien, je ne pense pas qu'elle aurait eu une mention si elle l'avait passé à la fin des années 80, ou éventuellement AB.
Il y a une véritable inflation des notes, c'est assez déroutant.

J'aimerai bien savoir sur quoi tu te bases pour affirmer ça ?

J'entends et je lis souvent que le bac ce n'est plus que c'est que le certificat d'études ça au moins c'était un vrai diplôme, que la France régresse dans les différents classements et que donc par conséquent les étudiants actuelles sont des gros abrutis sans cervelle.

Quand je regarde des données chiffrées effectivement la France régresse dans de nombreux classement et pourtant il n'y a jamais eu aussi peux de personne ne sachant pas lire , écrire et compter . On est quand même passé de 30 % de jeunes adultes ne sachant pas lire et écrire il y a 70 ans a 9% pour la génération actuelle.

Du coup le problème est ce que ça ne serait pas qu'on compare des choix et des patates ? Moi quand j'ai passé le brevet il n'y avait pas de mention . Est ce que j'en aurais eu une ? Sûrement mais le barème et les matières n'étaient pas les mêmes que maintenant .  Et en plus comme il n'y avait pas de mention et que je suis du genre à faire le minimum utile j'ai toujours visé le brevet au minimum donc la comparaison serait faussée et pas qu'un peu.

Euh. Je ne sais pas d'où tu sors ton 30% il y a 70 ans, mais il me parait vraiment très exagéré. J'ai fait mon master dans une spécialisation lié à l'illettrisme et ce n'est pas du tout les valeurs que j'avais en cours. Où l'on voyait plutôt un taux stagnant depuis la fin du XIXe ou le début du XXe siècle.

Voici une référence, l'évolution de l'illettrisme (issue de la page : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alphab%C3%A9tisation )
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alphab%C3%A9tisation#/media/Fichier:Illettr%C3%A9s_france.png

SRC : Évolution de la proportions d'illettrés en France en fonction de générations de 5 ans, nées de 1720 à 1885. Données extraites de J. Houdailles et A. Blum, "L'alphabétisation au XVIIIe et XIXeme siècle. L'illusion parisienne", Population, n°6, 1985, fondées sur l'enquête INED de 1985 et le recensement de 1901.

Ou encore, une étude liée au taux de signatures au mariage, qui sans être une indication directe, reste malgré tout très corrélé à l'alphabétisation :
https://journals.openedition.org/histoiremesure/816


Ou encore, au moment de la guerre 1914-1918, le taux de conscrits ne sachant ni lire ni écrire était inférieur à 5% (mais je crois que c'était déclaratif). Je ne trouve pas de source directe, mais il y a une discussion là-dessus :
https://www.passion-histoire.net/viewtopic.php?t=24646
Tout n'est pas en accès libre dans le bouquin mentionné, mais je peux trouver cet extrait en recherchant « analphabétisme » :
https://books.google.fr/books?id=FP5mDwAAQBAJ&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false
« DES CENTAINES DE MILLIERS DE LECTEURS POTENTIELS Que 3 à 4 % des conscrits ne sachent pas lire en 1914 paraît être la preuve éclatante de la victoire de l'école de Jules Ferry sur l'analphabétisme »

Un autre exemple un peu antérieur mais qui peut encore aller dans ce sens :
https://doi.org/10.4000/alsace.1502

Enfin, à partir du milieu du siècle, la mesure du niveau d’instruction chez tous les potentiels conscrits offre un éclairage particulier sur l’enseignement primaire. Le conseil de révision distingue quatre niveaux d’instruction chez les conscrits : analphabète, maîtrise de la lecture et de l’écriture en langue française, maîtrise de la lecture et de l’écriture en langue allemande, maîtrise de la lecture seule. A partir de la monarchie de Juillet, le niveau d’alphabétisation ne cesse de diminuer : 10 % de conscrits illettrés dans les années 1830 ; ils sont 18 % au début du Second Empire, ce qui reste cependant bien moindre que la moyenne nationale. En considérant le niveau d’instruction sous l’angle de l’origine géographique, on relève un taux d’illettrisme de 12 % chez les conscrits strasbourgeois, 32 % chez les étrangers, mais seulement de 5 % chez les autres conscrits bas-rhinois et 7 % chez ceux d’autres départements français. Aucune corrélation n’a été mise en évidence dans le cas strasbourgeois entre illettrisme et symptômes de malnutrition, seuls 8 % des conscrits présentant la double caractéristique de l’analphabétisme et de carences alimentaires.

Les données semblent pour le coup assez bien liées au premier graphique partagé. 18% = bien moindre que la moyenne nationale (Qui est autour de 30% pour les adultes au début du second empire, donc nés autour de 1831-1835).

C'est un peu light mais ce 30% que tu sors me paraît pour le coup sortir de nulle part.

J'ajoute encore pour rappel :
https://www.senat.fr/evenement/archives/D42/mars1882.pdf

Qu'un ou parfois deux élèves puissent passer au travers de l'enseignement primaire obligatoire par classe (y compris car ils sont en incapacité, j'ai eu un élève comme ça l'année où j'ai été prof des écoles contractuel) cela ne me semble pas aberrant mais s'ils sont 8 ou 10 sur 25 ou 30, j'avoue que je trouverais ça vraiment très inquiétant.

tigo a écrit:

oxythan a écrit:Ma Fille a eu son brevet des collèges mention très bien, je ne pense pas qu'elle aurait eu une mention si elle l'avait passé à la fin des années 80, ou éventuellement AB.
Il y a une véritable inflation des notes, c'est assez déroutant.

J'aimerai bien savoir sur quoi tu te bases pour affirmer ça ?

C'est très simple. Le poids du contrôle continu "a la tête du client" qui fait que beaucoup on déjà le brevet avant même de passer les épreuves.
Et ensuite pas mal de QCM dans les épreuves elles mêmes.

tigo a écrit:
Quand je regarde des données chiffrées effectivement la France régresse dans de nombreux classement et pourtant il n'y a jamais eu aussi peux de personne ne sachant pas lire , écrire et compter . On est quand même passé de 30 % de jeunes adultes ne sachant pas lire et écrire il y a 70 ans a 9% pour la génération actuelle.

C'est une question différente que celle de l'inflation des notes.

Ma soutenance de thèse aura lieu le 10 novembre à l'Université Paris Dauphine
Elle concluera 8 ans d'études pour devenir docteur en Informatique

Julienk5 a écrit:Ma soutenance de thèse aura lieu le 10 novembre à l'Université Paris Dauphine
Elle concluera 8 ans d'études pour devenir docteur en Informatique

Tu vas soigner les ordinateurs malades ?

Plus sérieusement, félicitations Juju !

Julienk5 a écrit:Ma soutenance de thèse aura lieu le 10 novembre à l'Université Paris Dauphine
Elle concluera 8 ans d'études pour devenir docteur en Informatique

On pensera à toi
Je croyais que tu faisais une thèse de maths appliquées

Zelkin a écrit:

Julienk5 a écrit:Ma soutenance de thèse aura lieu le 10 novembre à l'Université Paris Dauphine
Elle concluera 8 ans d'études pour devenir docteur en Informatique

Tu vas soigner les ordinateurs malades ?

Plus sérieusement, félicitations Juju !

Merci ! Oui, quand les ordinateurs ont un virus comme la COVID, je leur donnerai des ordonnances pour un changement de processeur  

oxythan a écrit:

Julienk5 a écrit:Ma soutenance de thèse aura lieu le 10 novembre à l'Université Paris Dauphine
Elle concluera 8 ans d'études pour devenir docteur en Informatique

On pensera à toi
Je croyais que tu faisais une thèse de maths appliquées

Merci ! Officiellement c'est un doctorat en Informatique qui m'est délivré mais dans les faits c'est entre l'informatique théorique et les mathématiques appliquées à l'informatique, sachant que la frontière entre les deux est plutôt floue et que j'ai touché aux deux pendant ma scolarité. En tout cas, ce ne sont pas des maths pures

Julienk5 a écrit:Ma soutenance de thèse aura lieu le 10 novembre à l'Université Paris Dauphine
Elle concluera 8 ans d'études pour devenir docteur en Informatique

Huit ans !!!

Je rigole, congratulations!!!

Elle porte sur quoi ta thèse ?