[2014] Grand Prix de Singapour === > La course

Après les soupçons de conspiration de certains d'entre vous suite aux maladresses de Nico Rosberg à Monza, la F1 se rend naturellement au pays des merveilles de la conspiration, sur le circuit de Marina Bay à Singapour. Un circuit connu pour son haut niveau d'exigence physique (course très longue, température et humidité loin d'être optimales), chose qui ne manque pas d'augmenter les risques d'accident, un terrain qui pourrait être très dangereux dans la lutte fratricide entre Nico Rosberg et Lewis Hamilton.

L'an dernier, j'avais quelque peu ironisé sur les mille et une amendes pour tout et n'importe quoi qui ont valu à Singapour son surnom de "fine city", surnom qui reste toutefois infiniment plus sympathique que le second en matière de légalisation locale "Disneyland with the Death Penalty" (proportionnellement à sa population, Singapour est le pays qui exécute le plus au monde).

Dans une ville si stricte, le grand prix nocturne sur le circuit de Marina Bay constitue donc une distraction de choix, et l'ambiance festive de la course se retrouve y compris dans le nom des virages, le 10e d'enre eux est nommé Singapore Sling, du nom d'un célèbre cocktail local.

Historique :

Les liens entre le sport automobile et Singapour remontent avant même l'indépendance de la très prospère et stricte ville-état. Depuis sa création par le britannique Sir Stamford Raffles, la ville était sous contrôle britannique, mais pendant la seconde guerre mondiale, la ville passe sous contrôle japonais. La victoire des alliés voit la ville repasser sous domination britannique, mais une importante autonomie lui est accordée, qui culminera à l'attachement de la ville à la Fédération de Malaisie en 1962.

En 1962, Singapour accueille donc le Grand Prix de Malaisie sur le circuit urbain de Thomson Road, ce Grand Prix, disputé sous les règles de la Formule Libre, ne faisait donc pas partie du championnat du monde de F1 et attirait avant tout les pilotes locaux comme Yong Nam Kee, premier vainqueur. Le hongkongais Albert Poon remportera les deux dernières éditions du Grand Prix de Malaisie à Thomson Road en 1963 et 1965.

Les liens entre Singapour et la Fédération de Malaisie se distendent rapidement, le gouvernement fédéral cherchant à imposer à Singapour sa politique de discrimination positive en faveur des malais ethniques alors que le gouvernement local singapourien affiche sa préférence pour une politique d'égalité, sans doute pour préserver sa forte population d'origine chinoise. Les tensions montent vite, au point de provoquer des émeutes raciales en juillet 1964. Perdant le contrôle de la situation, le parlement malais exclut Singapour de la fédération en août 1965. Plutôt que de chercher un autre partenaire, la ville devient une République.

L'indépendance venue, la course de Thomson Road n'est pas annulée mais simplement renommée Grand Prix de Singapour, bien qu'épreuve de second plan au niveau mondial, elle reste fort populaire localement jusqu'aux deux accidents mortels de 1972 et 1973. En 1972, le pilote local Lionel Chan finit sa course dans un fossé après avoir perdu une roue et l'année suivante, le suisse Joe Huber perd la vie en percutant un lampadaire lors d'une course annexe. Devant l'impossibilité de construire un circuit permanent plus sûr (et également moins perturbant pour le trafic), le gouvernement singapourien interdit la course automobile et signe l'arrêt de mort de la première mouture du Grand Prix de Singapour.



Début 2007, les autorités singapouriennes veulent faire revivre leur Grand Prix avec dans leur manche un argument choc, celui de faire du Grand Prix de Singapour la première course de nuit de l'histoire de la Formule 1 pour offrir des horaires plus conventionnels au public européen. Il ne faudra pas longtemps pour convaincre la FOM et la FIA et Singapour obtient le droit d'accueillir sa première course de Formule 1 le 28 septembre 2008. Les principales préoccupations sont alors les potentiels problèmes de visibilité en cas de pluie et le décalage horaire qui pousse tout ce beau monde à se coucher en fin de nuit (certains pilotes en profiteront même pour aller faire un tour en boite de nuit).

Les essais libres se déroulent plutôt bien, malgré un dernier virage quelque peu complexe, la principale sensation est le très haut niveau de performance de la Renault de Fernando Alonso alors plus habitué à lutter en milieu de peloton. En qualifications, le rêve du pilote espagnol semble se briser en début de Q2, le système d'alimentation en essence de sa Renault le trahissant, il se retrouve contraint de partir au 15e rang sur un circuit urbain, enterrant a priori ses espoirs de podium. Dans le même temps, les deux principaux prétendants à la couronne mondiale, Felipe Massa et Lewis Hamilton se partagent sans surprise la première ligne.

Le départ est plutôt calme, Felipe Massa reste en tête devant Lewis Hamilton et Kimi Räikkönen, le meilleur envol est celui de Fernando Alonso qui bondit à la 12e place en avalant les Red Bull et la Honda de Jenson Button, alors que le plus malheureux est Heikki Kovalainen qui tombe de la 5e à la 7e place suite à un duel avec Robert Kubica. Comme prévu, les dépassements sont très difficiles, les seuls recensés dans les 10 premiers tours sont tous sur Jarno Trulli parti très chargé en essence, qui sera piégé par les Williams de Nico Rosberg et Kazuki Nakajima puis par la Renault de Fernando Alonso, très en forme.

Au 12e tour, Fernando Alonso est le premier à s'arrêter, se débarrassant des gommes tendres les moins performantes lors du premier relais et espérant avoir piste libre avant de rattraper les derniers, en réalité cet arrêt marque la première étape d'une conspiration machiavélique impliquant Fabio Briatore, Pat Symonds et Nelson Piquet Junior. En effet, 2 tours plus tard (et après un échauffement lors du tour de formation), le brésilien perd opportunément le contrôle de sa Renault dans le 17e virage forçant l'intervention de la voiture de sécurité.



Conformément au règlement de l'époque, l'intervention de la voiture de sécurité interdit aux pilotes de ravitailler en essence, offrant un coup de pouce inespéré à Fernando Alonso et aux Red Bull, seuls à avoir pu s'arrêter avant l'accident. Nico Rosberg et Robert Kubica sont trop courts en essence et rentrent malgré l'interdit, les autres patientent jusqu'au 17e tour, moment où la Scuderia Ferrari se distingue en donnant prématurément le signal du retour en piste pour Felipe Massa qui embarque le tuyau d'essence. Le brésilien perd tout espoir de podium entre les places perdues suite à cette maladresse incroyable et sa pénalité à venir pour unsafe release. Par la même occasion, son coéquipier Kimi Räikkönen perd également beaucoup de temps et les deux Ferrari figurent aux deux dernières places provisoires.



Lorsque la voiture de sécurité s'efface, Nico Rosberg, qui n'est pas encore sous investigation est en tête devant les bouchons Trulli et Fisichella, sur un arrêt, Robert Kubica est 4e devant Alonso, Webber et Coulthard, les bénéficiaires de cette sortie de piste providentielle. Lewis Hamilton mène le paquet des piégés. Après de longues investigations, les commissaires infligent logiquement un stop and go à Robserg et Kubica, si le polonais se retrouve projeté en fond de classement, l'allemand profite de la piste dégagée devant lui et du bouchon Trulli pour repartir entre Fernando Alonso et David Coulthard, Mark Webber ayant quant à lui abandonné sur un problème de transmission.

La seconde salve de ravitaillements vient, si Fernando Alonso et Nico Rosberg sont confortés aux deux premiers rangs, en revanche David Coulthard voit ses espoirs de podium s'envoler au 42e tour, d'abord dépassé par Lewis Hamilton sur la piste, le pilote écossais perd du temps aux stands sur un incident proche de celui subi par Felipe Massa en début de course. Ce dernier, privé de la tête de la course, n'est d'ailleurs plus que l'ombre de lui-même, et part à la faute dans le 18e virage, il peut repartir, mais Adrian Sutil sort de la piste au même endroit, forçant une autre intervention de la voiture de sécurité.

http://www.wat.tv/video/gp-singapour-2008-massa-tete-z9o3_2fh4r_.html
(pas de vidéo intégrable)

Si la plupart des pilotes rallieront tranquillement l'arrivée de ce premier grand prix nocturne, Kimi Räikkönen, revenu au 5e rang, parachèvera la sale nuit de Ferrari de même que ses espoirs de deuxième titre en partant à la faute en attaquant la Toyota de Timo Glock.



Fernando Alonso l'emporte donc devant Nico Rosberg et Lewis Hamilton, qui réalise la belle opération au championnat en prenant 6 points de plus à Felipe Massa. Un an plus tard, suite à l'éviction de Nelson Piquet Junior par Renault, la vérité éclate, Flavio Briatore et Pat Symonds sont suspendus par la FIA, mais les résultats de la course ne seront pas changés.

(Note de la course : 15.3/20)



C'est sans Flavio Briatore et sans truquage que Fernando Alonso obtient son seul podium de la saison 2009 à Singapour derrière Lewis Hamilton et Timo Glock. La course se sera jouée aux pénalités, Nico Rosberg perdant ses espoirs de victoire après avoir coupé la ligne à la sortie des stands et Sebastian Vettel subissant le même sort pour un excès de vitesse dans la ligne des stands. Mais le fait le plus marquant reste l'abandon de Nick Heidfeld, le premier depuis le Grand Prix des Etats-Unis 2007, percuté par un Adrian Sutil maladroit.

(Note de la course : 9.2/20)

http://vimeo.com/59976133
(pas de vidéo intégrable)

En 2010, Fernando Alonso se distingue encore, sur une Ferrari pourtant jugée inférieure aux Red Bull il est auteur d'un grand chelem fracassant malgré tous les efforts de Sebastian Vettel qui échoue d'abord à 67 millièmes de la pole position puis qui prend un très bon départ, contrarié par une excellente manœuvre défensive du pilote espagnol, le salut ne viendra pas non plus de la stratégie, les deux pilotes rentrant dans le même tour. Dans les derniers tours, la pression de Vettel sera très forte, mais le pilote allemand franchira la ligne d'arrivée 293 millièmes après Fernando Alonso.



Sur cette course, le spectacle ne fut pas que dans la lutte pour la victoire finale, la voiture de sécurité entre deux fois en piste suite aux errements de Liuzzi puis Kobayashi, puis le championnat vit un tournant avec la confrontation entre Webber et Hamilton, le britannique armé de pneus plus frais suite à la stratégie décalée de l'australien, passe à l'attaque, mais entre en contact avec l'australien, Hamilton doit abandonner alors que Webber sauve sa 3e place sur une voiture affaiblie (son pneu avant droit lâchera à l'entrée du parc fermé), la chance du champion, croit on alors.



Sur une note plus positive, la remontée de Robert Kubica de la 13e à la 7e place après une crevaison est un modèle d'attaque sur un circuit où dépasser est particulièrement compliqué. Et comment oublier le numéro du pompier Heikki Kovalainen ?

(Note de la course : 12.2/20)



L'édition 2011 ne fut pas des plus excitantes, mais elle eut le mérite de bien résumer la saison avec le triomphe de Sebastian Vettel, une 2e place pour Jenson Button, particulièrement rapide en fin de course, une lutte entre Mark Webber et Fernando Alonso pour l'ultime marche du podium qui tournera en faveur de l'australien et le rituel accrochage entre Lewis Hamilton et Felipe Massa

(Note de la course : 8.9/20)



2012 suit la tendance de 2011 en ce qui concerne le classicisme, Vettel entame sa fin de saison dorée, Alonso s'accroche encore au podium sans que l'on sache vraiment comment, Hamilton est une nouvelle fois malchanceux. Le changement se fait au niveau des crashs, Maldonado et Grosjean ayant été sages et par ailleurs plutôt mal récompensés sur cette course ce sont Narain Karthikeyan et Michael Schumacher qui prennent la relève occasionnant deux sorties consécutives de la voiture de sécurité.

Ces sorties auront bien sûr des conséquences sur le classement, Massa, dernier après le premier tour, marque son réveil en s'offrant une belle remontée au 8e rang notamment marquée par un superbe dépassement sur Bruno Senna, Glock profitant du désordre arrache une 12e place qui permet à Marussia de devancer Caterham pour la 10e place au classement des constructeurs (jusqu'à Interlagos où Vitaly Petrov profitera de la pluie pour inverser la tendance). Mais aussi des conséquences sur le tracé singapourien, la course dépasse la limite des 2 heures, poussant les organisateurs à rendre le tracé plus rapide dès 2013.

(Note de la course : 10.5/20)



Le cru 2013 fut franchement médiocre, le final fut certes le théâtre de belles remontées grâce aux stratégies pneumatiques, notamment celle de Kimi Räikkönen du 9e au 3e rang, mais la purge intégrale du début de course et le caractère un peu trop facile de certains dépassements a franchement déplu. L’événement le plus marquant au final sera l'auto-stop dangereux de Webber pour rentrer aux stands sur la Ferrari de Fernando Alonso.

(Note de la course : 8.4/20)



Le circuit :



Nombre de tours : 61 (peut-être moins avec la limite des 2 heures)
Longueur du circuit : 5.065 km
Distance totale de la course : 308.828 km
Record du tour :
Configuration actuelle (sans chicane) 1:48.574 - Sebastian Vettel (Red Bull, 2013)
Configuration originale (avec chicane) 1:45.599 - Kimi Räikkönen (Ferrari, 2008)
Note moyenne du circuit au sondage de FFFF : 10.75/20 (Meilleure note : 15.3 en 2008 Plus mauvaise note : 8.4 en 2013)

La météo :

Comme tous les ans, les sites météo annonceront des risques d'orage, et comme tous les ans, il y a peu de chances d'en avoir étant donné que les orages nocturnes sont assez rares.

https://www.meteoblue.com/en/singapore/weather-marina-bay-street-circuit-1659

Les pneus :

Pneus prime : Soft (marquage jaune)
Pneus option : Supersoft (marquage rouge)

Les horaires :

Comme toujours, les horaires sont donnés en heure d'été d'Europe centrale (Belgique, France, Suisse...), pour l'heure locale faire + 6.

F1 :

Essais Libres 1 : Vendredi de 12 h 00 à 13 h 30
Essais Libres 2 : Vendredi de 15 h 30 à 17 h 00
Essais Libres 3 : Samedi de 12 h 00 à 13 h 00
Qualifications : Samedi à partir de 15 h 00
Course : Dimanche à partir de 14 h 00

Pas de GP2 et de GP3

Programme TV :

Formule 1 :

F1 - Essais Libres 1 : Vendredi à 11 h 50 sur C+ Sport
F1 - Essais Libres 2 : Vendredi à 15 h 20 sur C+ Sport
F1 - Essais Libres 3 : Samedi à 11 h 50 sur C+ Sport - Rediffusion dimanche à 4 h 10 sur Canal + (celui qui attend la rediff est un grand malade )
F1 - Qualifications : Samedi à 14 h 45 sur C+ Décalé (ça devient une habitude) - Rediffusion à 22 h 45 sur C+ Sport
WEC - 6 heures d'Austin : Samedi à 23 h 30 sur Motors TV et Dimanche à 0 h 00 sur Eurosport
F1 - Parade des pilotes : Dimanche à 12 h 20 sur C+ Sport
F1 - La grille : Dimanche à 13 h 05 sur Canal +
F1 - Grand Prix de Singapour : Dimanche à 13 h 50 sur Canal + - Rediffusion à 20 h 25 et lundi à 10 h 25 sur C+ Sport
F1 - Formula One : Dimanche à 18 h 10 sur Canal + - Rediffusion à 22 h 10 et lundi à 12 h 10 sur C+ Sport
NASCAR - Sprint Cup - Sylvania 300 -:Dimanche à 20 h 00 sur AB Moteurs
F1 - On Board : Mercredi à 19 h 05 sur C+ Sport - Rediffusion jeudi à 1 h 00 et 23 h 20 sur C+ Sport
F1 - Les spécialistes : Mercredi à 19 h 40 sur C+ Sport - Rediffusion jeudi à 1 h 30, 7 h 25 et 12 h 00 sur C+ Sport

(Comme toujours, si j'oublie quelque chose sur le programme, n'hésitez pas à le signaler et j'éditerai ce message)

Stats à la con :

4. Le pire classement de Fernando Alonso à Singapour depuis l'introduction de cette course au calendrier de la F1 (vainqueur en 2008 et 2010, deuxième en 2013, troisième en 2009 et 2012, quatrième en 2011). De quoi donner un peu d'espoir aux fans de Ferrari ?

3. La série de victoires de Sebastian Vettel à Singapour (qui risque fort de s'interrompre)

0. Le nombre de courses de F1 sans sortie de la voiture de sécurité à Singapour.


(Leur bar donne quand même plus envie que leur aéroport)

Superbe présentation !
Je retiens que la meilleure édition au niveau des notes est la seule a être truqué ! Cela laisse songeur

SchuminatOr57 a écrit:Je retiens que la meilleure édition au niveau des notes est la seule a être truqué ! Cela laisse songeur

Pourvu que Bernie ne t'entende pas, il serait foutu de scénariser certaines courses pour l'audimat

Mehri ou Kobayashi ou un autre?

Belle présentation, comme d'hab !  :resp1:

Et vivement les polémiques d'après GP. On s'ennuie sec là.

bravo gavroche ! :resp2:
sinon, l'aéroport de singapour est le préféré de mon frangin australien, pourtant un grand globe-trotter

L'aéroport en lui-même est très bien d'après ce que j'ai pu comprendre, c'était une petite blague sur ma présentation de l'an dernier (avec la carte d'embarquement où il y a marqué en rouge que la loi locale prévoit la peine de mort pour les trafiquants de drogue).

gavroche a écrit:L'aéroport en lui-même est très bien d'après ce que j'ai pu comprendre, c'était une petite blague sur ma présentation de l'an dernier (avec la carte d'embarquement où il y a marqué en rouge que la loi locale prévoit la peine de mort pour les trafiquants de drogue).

déjà que t'as pas le droit de bouffer un chewing-gum, alors la drogue, t'imagine !!!

superswede a écrit:bravo gavroche ! :resp2:
sinon, l'aéroport de singapour est le préféré de mon frangin australien, pourtant un grand globe-trotter

Je confirme, on en a une vue fantastique du Laguna Golf de Singapour.

Belle présentation, bravo!

Je ne serais pas surpris de voir un podium d'Alonso ce week-end.
Ses statistiques sur ce circuit sont vraiment impressionnantes!
Il a été sur le podium à 5 des 6 grand-prix disputés.

Incluant les FP1, FP2, FP3, Q1, Q2, Q3 et les courses de 2008-2013:
Alonso a terminé devant son coéquipier à 41 occasions sur 42.
Seul Massa a été plus rapide en Q3 l'an dernier, par 44 millièmes, parce qu'Alonso avait merdé son dernier secteur.

Je trouvais la statistique intéressante.

Et tout le monde sait ce que représente 42 bien sûr.

little a écrit:Et tout le monde sait ce que représente 42 bien sûr.

Évidemment mais il reste à déterminer quelle était, précisément, la question.

Adoum a écrit:

little a écrit:Et tout le monde sait ce que représente 42 bien sûr.

Évidemment mais il reste à déterminer quelle était, précisément, la question.

Dans quelle voiture a roulé Montoya en Nascar.

Heureusement pour lui que Tomas Enge ne court plus en F1 .........j'voit d'ici les gros titres......"un pilote f1 condamné a mort a Singapour"

Sinon, j'attend beaucoup de la course, je pressent un gros gros Gp ....

oxythan a écrit:

Adoum a écrit:

little a écrit:Et tout le monde sait ce que représente 42 bien sûr.

Évidemment mais il reste à déterminer quelle était, précisément, la question.

Dans quelle voiture a roulé Montoya en Nascar.

Quel est mon age ?

Quelle est en centimètres la taille de ma ... euh ...

Guitare !!!
Je sais pas, mais t'as un long manche, à première vue !

Ouais. Même qu'à force de l'astiquer, j'en ai des callosités plein les doigts.

Et oui, la musique adoucit les moeurs, mais pas les mains.

Kobayashi conserve son baquet pour Singapour.

Mercedes au top, mais derrière Vettel/RB pourrait créer la surprise ce week-end. Ferrari devrait être 3ème force ici!

Alonso P1 lors de cette première séance. La F14T apporte ici une nouveauté qui donne plus d'appui à la voiture et stabilise l'arrière. ça semble fonctionné pas trop mal. Kimi a du tester d'autre chose car il est à 1.700sec du temps de Alonso.
Sinon Mercedes tranquille comme dab et RB qui semble très à l'aise. Williams parcontre c'est la cata pour l'instant, donc la troisième place est au championnat est prenable ce week-end, si tout se déroule bien et que kimi ne fait pas une contre-performance, car il n'a jamais été très bon à Singapour.

I have a dream a écrit:Williams parcontre c'est la cata pour l'instant

Au contraire de Ferrari, Williams est bien souvent dans le milieu de peloton en EL1. Même s'ils n'arrivent pas au niveau de Spa et Monza, je ne pense pas qu'ils soient si largués que ça.

Walldonado

Faut-il être surpris ?