Topikaflood - Pour ceux qui n'ont rien à dire...

Merci, meilleurs vœux à toi aussi

Giscard ?

Je pense plutôt à un homme qui a gardé un œil sur la politique et sur son parti.

bien "vue" Mika :pirat:

Mikasper a écrit:Je pense plutôt à un homme qui a gardé un œil sur la politique et sur son parti.

mon oncle sans haines ?

Seb a écrit:bien "vue" Mika :pirat:

superswede a écrit:

Mikasper a écrit:Je pense plutôt à un homme qui a gardé un œil sur la politique et sur son parti.

mon oncle sans haines ?

Voilà.

superswede a écrit:

Mikasper a écrit:Je pense plutôt à un homme qui a gardé un œil sur la politique et sur son parti.

mon oncle sans haines ?

J'ai pas compris

Sinon c'est vrai qu'il y a un air

Tu veux ma lunette ?

pas compris non plus, mais je n'osais pas le dire, merci

haine n

mon oncle

Faut tous leur expliquer, à ces jeunes.

ah ok
le niveau a augmenté durant mon absence

Faut-il y voir un lien ?

Ou le tien a baissé.




























Euh ...




















Pardon, il n'a pu qu'augmenter.

J'avais compris le "haines" = n, mais je comprends pas la blague

raymane a écrit:mon oncle

"mon oncle" sans n, ca fait "mo ocle", voila pourquoi je comprenais pas

Zelkin a écrit:J'avais compris le "haines" = n, mais je comprends pas la blague

Moi j'avais pas compris "haine = n" mais j'ai compris maintenant, en fait ça fait : mon oncle = mon ocle = monocle

EDIT :

Zelkin a écrit:

raymane a écrit:mon oncle

"mon oncle" sans n, ca fait "mo ocle", voila pourquoi je comprenais pas

Ah ben oui t'as raison

Oh punaise pffff

Merci Azur

ça vous est déjà arrivé de vous dire : "Et si je le faisais ?"

Je m'explique, ça fait des mois et des mois que je suis attiré par le monde, ce désir de bouger, partir, sans but ... juste pour voir.
J'ai toujours trouvé des excuses pour réprimer cette envie comme le manque de sérieux ou le fait que je peux construire quelque chose ici, m'investir dans des projets.

Mais là, ça fait des semaines que ça revient et c'est vivace.
Si j'écoute mon coeur, je démissionne lundi, je remets l'appart, je revend tout ce que j'ai ou presque et je pars.

Pour aller où ? je ne sais pas... là où me guideront mes pas.


Mais voilà, j'ai cette raison qui me dit : "t'es fou, t'as un job, t'as un avenir dans ce que tu fais puisque c'est un nouveau projet et que tu fais partie de l'équipe qui l'a lancé."

Oui, super avenir ... tout tracé si tout se passe "bien". Mais il n'y a pas de raisons que ça ne se passe pas bien car je suis consciencieux dans mon travail et atteint toujours les objectifs fixés.
ça fait des mois et des mois que je mets de l'argent de côté pour acheter une maison, ça fait des années que tout est réglé comme du papier à musique. Hormis sur ma vie amoureuse, j'ai un contrôle assez grand sur quasi tout.

Mais voilà, je me sens vide et je ne trouve pas l'intérêt à tout ça.
Alors on me sortira la même rengaine qui est de dire que de là où je viens, j'ai fait pas mal de chemin et que je peux viser plus haut. Oui oui, c'est vrai mais je n'y suis plus ... je suis littéralement ailleurs.

J'ai juste conscience d'une chose ... c'est un carrefour ... ou je continue tout droit, là où tout est balisé pour aller vers un point qui a toujours été l'objectif même s'il ne m'emballait pas ou bien, je bifurque et je m'engage dans quelque chose qui n'a rien à voir sans en connaître ni la route ni la destination mais qui, à mon avis, est bien plus vivifiant.

Disons qu'un changement radical de vie est toujours possible, mais je pense tout de même que ça se prépare un minimum... Tu ne peux pas te lâcher des deux mains sans savoir exactement où tu vas atterrir. Il faut que tu t'assure un peu.

Le top c'est de pouvoir se poser quelques temps pour réfléchir, savoir exactement ce qu'on veut faire et comment. A l'occasion de vacances, de congés sans solde si on peut ou carrément d'une année sabbatique.

Après, il ne faut pas non plus que cette phase de préparation et de réflexion te freine. C'est vrai que c'est à ce moment-là que tu vas mesurer l'ampleur de tout ce qu'il faut faire, de ce que tu vas laisser alors que ce que tu vas trouver est assez abstrait.

Je suis plutôt pour qu'on réalise ses rêves, je comprends que "l'allée bordée de rosiers bien taillés" devienne du jour au lendemain insupportable (je l'ai vécu sauf que c'était des lilas) mais il ne faut pas se retrouver à poil non plus...

Tout à fait Myllou !

Mais ça reste le "si je m'écoute" ... y'a une partie de moi bien raisonnable qui va attendre le mois de juillet et les vacances.
ça me permettra aussi de réfléchir à tout ça un petit peu plus calmement... même si ça fait déjà un moment que ça me travaille.

Il y a que ça faisait clairement partie de mes intentions l'an passé mais, on est venu me proposer un super job fin juin.
Job que j'ai accepté car le projet est beau, j'ai un degré de liberté énorme à l'intérieur de celui-ci et j'en suis partie prenante.

C'est con à dire mais ce job a beau être top... d'ailleurs, certains m'ont fait comprendre que j'ai obtenu la place qu'ils convoitaient, il n'est pas en adéquation avec mes envies et besoins du moment.

C'est une situation dans laquelle je n'aurai jamais cru me trouver : j'ai une place que je n'osais pas espérer et je me pose la question de savoir quoi faire.
Si au moins, j'avais une place qui ne me plaisait pas, je ne me casserai pas la tête

Tain c'est marrant, je suis dans une situation plus ou moins similaire, mais plus ou moins inverse... J'hésitais a en parler ici mais j'y viendrai quand t'auras eu plusieurs réponses

En fait je pense qu'il faut que tu te dises "si je plaque tout, je pars à tel endroit".
Personnellement, je me suis toujours dit que si un jour j'en venais a tout plaquer, c'est direction New York ^^ mais tant que t'as pas programmé vaguement l'atterrissage, tu peux pas savoir ce que tu vas laisser sur place, pour combien de temps, a quelle distance etc.

Adoum, si tu ne pars pas à l'aventure, tu auras des regrets, et il ne faut pas vivre avec des regrets. Tu peux très bien partir à l'aventure sans pour autant tout plaqué. J'ai connu un mec qui le fait, il à son compte en tant que MOA, il bosse 6 mois, il part 6 mois, la dernière fois c'était Thaïlande, Viet Nam et Indonésie il me semble. Cela peut concilier ton envie de voir et découvrir, et une vie "de secours" au cas où.

Perso je suis comme Zelk, mon grand rêve serait de m'installer à New York, seulement je suis une quiche en anglais, mais ça peut se régler, mais surtout je ne suis pas une valeur marchande sur le marché du travail US.

J'aime ce grandes remises en question. Il y a deux ans aussi, je me suis posée pas mal de question, mais peut-être pas tout à fait sur le même point, vu que je n'avais ni boulot, ni rien. Mais au niveau de mes études, à la fois ça me plaisait, à la fois, je n'avais pas envie d'entrer dans le moule que je me faisait de l'ingénieur. Ce que je voulais, c'était faire les études mais pouvoir combiner le tout avec un aspect plus humain et "aventurier".
C'est tout ce que j'ai trouvé cette année avec l'armée : mes études, mes camas et ma famille (militaire), des camps pour sortir des sentiers battus. (Après, pour le moment, c'est nous qui sommes mis sous pression par nos supérieurs, ce qu'on ne connait pas dans le civil. Mais c'est dans le but de former notre caractère).

A l'heure actuelle, j'ai trouvé ce que je cherchais. D'une certaines façon, si je continue à suivre cette voie, mon avenir pourrait être tout tracé, vu que emploi assuré. Mais à la fois il y a un tas de trucs à faire. Et le jour où j'en ai marre, retour à la vie civile. C'est l'avantage.
Je ne trouve rien à changer à ma vie en ce moment, et ça, c'est rare .