GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
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GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
calendrier 2010
Barcelona May 8-9
Turkey May 28-30
Valencia June 26-27
Silverstone July 10-11
Hockenheim July 24-25
Budapest July 31-August 1
Spa August 28-29
Monza September 11-12
liste des équipes 2010
Addax Team
ART Grand Prix
Atech CRS Grand Prix
Carlin
Jenzer Motorsport
Manor Racing
Mucke Motorsport
MW Arden
Status Grand Prix
Tech 1 Racing
Barcelona May 8-9
Turkey May 28-30
Valencia June 26-27
Silverstone July 10-11
Hockenheim July 24-25
Budapest July 31-August 1
Spa August 28-29
Monza September 11-12
liste des équipes 2010
Addax Team
ART Grand Prix
Atech CRS Grand Prix
Carlin
Jenzer Motorsport
Manor Racing
Mucke Motorsport
MW Arden
Status Grand Prix
Tech 1 Racing
Dernière édition par SUTIL80 le Dim Juil 10, 2011 8:22 am, édité 42 fois
Invité- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
2 pilotes signés pour l'instant, tous les 2 chez Jenzer : Simon Trummer et Pal Varaugh
Sinon je pense que je serais supporter et suivrait avec interet MW Arden, qui devrait normalement promouvoir des jeunes australiens. Chris Wootton et Scott Pye ont à mon avis leur chance
Sinon je pense que je serais supporter et suivrait avec interet MW Arden, qui devrait normalement promouvoir des jeunes australiens. Chris Wootton et Scott Pye ont à mon avis leur chance
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Intéressant si c'est ça que va faire Arden ! Pendant un temps, j'étais à fond derrière Aaron Caratti, champion F3 australie ... malheureusement la F3 australienne ça mène nul part
Wooton je viens de regarder, c'est pas un foudre de guerre tout de même :/
Par contre, Scott Pye me semble plutôt prometteur Ca serait sympa si Nick Percatt ou Mitchell Evans pouvait courir pour Arden aussi (Evans, à 15 ans, finit second de la Formule Ford Australienne )
un autre très intéressant est James Kovacic, imigré aux USA pour sa première saison de monoplace, après une très belle réussite en kart au pays.
Wooton je viens de regarder, c'est pas un foudre de guerre tout de même :/
Par contre, Scott Pye me semble plutôt prometteur Ca serait sympa si Nick Percatt ou Mitchell Evans pouvait courir pour Arden aussi (Evans, à 15 ans, finit second de la Formule Ford Australienne )
un autre très intéressant est James Kovacic, imigré aux USA pour sa première saison de monoplace, après une très belle réussite en kart au pays.
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Wootton n'a pas un gros palmarès, mais sa relation avec Mark Webber (Webber est son "mentor") peut aider.
Sinon je suis totalement d'accord pour Kovacic, il fait parti des très jeunes que je suis avec attention, tout comme Mitch Evans.
Par contre Percat se dirige plus vers les V8 Supercars à mon avis. Si tu t'interesses comme moi aux jeunes pilotes océaniques, je te conseille aussi de jeter un oeil sur Nick Cassidy. Tom Tweedie et Steel Guiliana peuvent aussi avoir leur chance de percer en Europe.
Bon j'balance beaucoup de noms, mais j'm'enflamme facilement sur le sujet
Sinon je suis totalement d'accord pour Kovacic, il fait parti des très jeunes que je suis avec attention, tout comme Mitch Evans.
Par contre Percat se dirige plus vers les V8 Supercars à mon avis. Si tu t'interesses comme moi aux jeunes pilotes océaniques, je te conseille aussi de jeter un oeil sur Nick Cassidy. Tom Tweedie et Steel Guiliana peuvent aussi avoir leur chance de percer en Europe.
Bon j'balance beaucoup de noms, mais j'm'enflamme facilement sur le sujet
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Ah, en effet pour Wootton, ça va sûrement l'aider.
Percat va faire les V8 lights (enfin le ptit V8, je sais plus son nom ). Cassidy je le suis Les autres connais pas, je vais aller jetter un coup d'oeil (à qd un pilote fidjien ? :o)
Percat va faire les V8 lights (enfin le ptit V8, je sais plus son nom ). Cassidy je le suis Les autres connais pas, je vais aller jetter un coup d'oeil (à qd un pilote fidjien ? :o)
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Ahah Fidjien, doit pas y'en avoir des masses
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Je viens de reregarder Cassidy, vrmt bluffant durant l'hiver, il fait de la Formule Ford en NZ. 5 courses, 3 victoires
Guiliana, pour une première année, c'est pas mal ce qu'il a fait aussi
Et belle perf de Tweedie aussi ! Même si la F3 Australienne, ça n'a jms vrmt mené nul part Je me souviens encore de l'époque avec les bagarres entre Caratti, Macrow, Alajajian, Trimble, Gilmour, ou encore Caruso
Guiliana, pour une première année, c'est pas mal ce qu'il a fait aussi
Et belle perf de Tweedie aussi ! Même si la F3 Australienne, ça n'a jms vrmt mené nul part Je me souviens encore de l'époque avec les bagarres entre Caratti, Macrow, Alajajian, Trimble, Gilmour, ou encore Caruso
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Michael Christensen a signé chez MW Arden.
Big one- Messages : 11131
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Date d'inscription : 26/11/2009
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Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Je conaissais pas, je viens d'aller jetter un oeil sur sa carriere, ça peut être bon
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
4ème de la F.bmw 2009 en ayant été disqualifié 6 courses.
Big one- Messages : 11131
Points : 31421
Date d'inscription : 26/11/2009
Age : 32
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
en effet, un jeune plutôt talentueux
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Face à la disparité des différents championnats F3, la formule monotype GP3 saura s’affirmer comme un outil de détection supplémentaire, et pertinent, des surdoués du volant. Nous l’avons essayée.
Avant même d’enfiler casque et combinaison, une question taraude notre esprit : à quoi bon créer un énième championnat, au risque d’en diluer l’intérêt au sein d’un océan de compétitions déjà existantes ? À cette énigme, le directeur technique du projet GP3 Didier Perrin nous oppose une réponse pragmatique et pertinente : "la F3 étant une monoplace sous-motorisée, son pilotage ne correspond pas à ce que l’on attend ensuite d’un pilote de GP2 ou de F1. Sa conduite interdit de trop la freiner car les remises en vitesse sont handicapantes. Avec la GP3, le pilote s’accommodera des freinages puissants afin de casser sa vitesse, puis devra réaccélérer le plus tôt possible". Cette vision est partagée par certaines écuries renommées (Carlin et Manor notamment) ayant décidé d’abandonner la F3 Euro Series au profit du GP3. Assisterons-nous à la mort prochaine de la F3 ? L’avenir nous le dira.
Il est vrai que sur le papier, cette nouvelle formule monotype possède de nombreux atouts, dont celui d’un format proche du GP2 et de la F1. Outre l’apprentissage des circuits, la gestion des pneumatiques imposera aux apprentis champions une capacité de mise en action immédiate. Pirelli a en effet développé des gommes offrant une dégradation rapide sur deux ou trois tours, réduisant ainsi les tentatives d’une bonne qualification.
Le projet est né en octobre 2008 de l’association de Renault (mécanique), Dallara (châssis), Hewland (transmission) et Pirelli (pneumatiques). Un an plus tard, la GP3 est à maturité et nous dévoile ses charmes à l’abri d’un stand du Paul Ricard. Son développement a été assuré en grande partie par Romain Grosjean avant que celui-ci ne cède sa place, lors de sa promotion chez Renault F1, à Ben Hanley. L’expérience du Français de la F3 et du GP2 fut un critère avantageux au moment de définir le caractère général de l’auto.
Son allure de mini F1 façonnée par Dallara trahit les longues heures passées en soufflerie. Articulée autour d’une monocoque de survie en carbone et aluminium, la GP3 est de l’aveu même de Didier Perrin une "wing car" (voiture aile, ndlr) dont l’appui généré par le fond plat est plus influent que celui créé par les ailerons. Cette solution réduit les turbulences aérodynamiques et doit assurer de jolis mano a mano sur la piste. En termes de sécurité passive, le cahier des charges s’est calqué sur les normes F1 de 2006 concernant les impacts frontaux, latéraux, arrière et de déformation de la colonne de direction. Les roues retenues par câbles devraient également réduire les risques d'accidents dramatiques comme celui ayant entraîné le décès de Henry Surtees en F2 cette année.
Ce parti pris sécuritaire se traduit par une masse totale environ 50 kg plus élevée que celle d’une F3. Par souci d’équité, les monoplaces afficheront un poids similaire grâce à l’utilisation d’un lest de 30 kg maximum. La mécanique employée explique aussi cette surcharge pondérale car à l’inverse de la F3 et de son groupe propulseur léger et onéreux, la GP3 retient un bloc de grande série. Il s’agit en l’occurrence du 2.0 litres turbo de la nouvelle Renault Mégane R.S. qui subit ici quelques ajustements obligés en vue de son passage à la compétition. Les retouches concernent le carter sec, la gestion Magneti Marelli, ainsi que le repositionnement du turbo afin d’optimiser le centre de gravité. La puissance fait un bon de 30 chevaux et s’établit à 280 ch sans que la fiabilité ne soit détériorée. Les tests d’endurance effectués au banc et simulant les contraintes rencontrées à Monza ont validé une durée de vie déjà deux fois supérieure au kilométrage annuel. Dixit Didier Perrin, ces "chevaux pas chers" et le package global de la GP3 lui permettent de tourner, selon les circuits, entre 2 et 4 secondes plus vite qu’une F3. Et le Français de préciser que la carrosserie ici dévoilée est dénuée de tous les appendices initialement imaginés : "nous les avons retirés car malgré leur absence, nous obtenons des valeurs d’appui satisfaisant nos attentes. Autre point non négligeable, la carrosserie est en l’état moins onéreuse à remplacer…".
Harnaché, ligoté, saucissonner dans le cockpit au point d’en éprouver une pointe de claustrophobie, on réalise à quel point la position de conduite est idéale. Le champ de vision dégagé, le maintien du siège et la proximité du pédalier vous font sentir à l’aise. Si la gestion de l’embrayage au volant n’est pas innée, les premiers tours de roues révèlent un caractère étonnamment docile. La mise en confiance ne se fait pas attendre et l’on se surprend à hausser le rythme graduellement, virages après virages. Le niveau de grip très élevé permet de retarder dramatiquement les freinages et d’envisager sans crainte les longues courbes rapides du tracé varois. La direction non assistée ne s’y révèle d’ailleurs pas pénible, si bien que les tours s’enchaînent sans fatigue particulière.
Les relances coupleuses du 4 cylindres turbo sont efficaces à défaut d’être sonores, et il n’est pas nécessaire de brutaliser la mécanique jusqu’au rupteur afin d’en tirer la quintessence. La courbe de courbe chutant après 6000 t./mn le prouve, d’autant que la subtile inertie du turbo demande d’anticiper de quelques millisecondes la poussée. Toute hésitation ou timidité quant à l’écrasement de l’accélérateur saura être proscrite en course si l’on ne voudra s’économiser les occasions manquées de dépasser. Le différentiel autobloquant intégré à la boîte de vitesses Hewland brille par son efficacité et autorise justement des accélérations précoces. Mais aussi docile soit-elle de prime abord, la GP3 imposera à ses pilotes un équilibrisme et un domptage certain des lois de la physique. L’intérêt premier de cette formule n’est pas de dénicher des espoirs, mais bel et bien de départager les bons des très bons pilotes. Difficile mission.
En guise d’épilogue, Didier Perrin précise que des évolutions futures seront introduites au terme de chaque saison afin d’obliger les teams à repenser leur approche de la discipline. La GP3 est, à n’en pas douter, aux balbutiements d’une carrière pleine de promesses.
Webber dans la course
Petite sœur du GP2, la GP3 s’exhibera en lever de rideau de sept GP européens, tandis qu’un huitième meeting reste définir. Cette exposition privilégiée fera de la GP3 l’une des formules monotypes favorites des candidats à l’accession au GP2, puis à la F1. Dix écuries (Addax, ART, Tech 1, Carlin, Hitech, Jenzer, Manor, Mücke, Arden et Status) engageront trois monoplaces lors de week-end articulés autour d’une séance d’essai (30 min) et de qualification (30 min) le vendredi, et d’une course (28 min + 1 tour) le samedi et le dimanche. Lors de ce second round, la grille basée sur les résultats de la veille sera inversée pour les huit premiers pilotes. Notons que si Mark Webber n’a pas participé au développement, il officiera néanmoins en tant que team manager aux côtés de Christian Horner (Red Bull) au sein de l’écurie MW Arden dont la licence sera pour l’occasion… australienne. Enfin, les organisateurs promettent un calendrier 2011 et 2012 à 10 dates.
Calendrier provisoire 2010
Tests de pré saison : 3-4 mars et 31 mars-1er avril au Paul Ricard, 13-14 avril à Barcelone.
1. Espagne, Barcelone : 7-9 mai
2.Portugal,Portimao: 18-19 juin
3. Europe, Valence : 25-27 juin
4. Angleterre, Donington : 9-11 juillet
5. Allemagne, Hockenheim : 23-25 juillet
6. Hongrie, Budapest : 30 juillet – 1er août
7. Belgique, Spa-Francorchamps : 27-29 août
8. Italie, Monza : 10-12 septembre
http://www.autohebdo.fr/monoplaces/essais/article-28-36-2709/181209-essai-gp3-series
Avant même d’enfiler casque et combinaison, une question taraude notre esprit : à quoi bon créer un énième championnat, au risque d’en diluer l’intérêt au sein d’un océan de compétitions déjà existantes ? À cette énigme, le directeur technique du projet GP3 Didier Perrin nous oppose une réponse pragmatique et pertinente : "la F3 étant une monoplace sous-motorisée, son pilotage ne correspond pas à ce que l’on attend ensuite d’un pilote de GP2 ou de F1. Sa conduite interdit de trop la freiner car les remises en vitesse sont handicapantes. Avec la GP3, le pilote s’accommodera des freinages puissants afin de casser sa vitesse, puis devra réaccélérer le plus tôt possible". Cette vision est partagée par certaines écuries renommées (Carlin et Manor notamment) ayant décidé d’abandonner la F3 Euro Series au profit du GP3. Assisterons-nous à la mort prochaine de la F3 ? L’avenir nous le dira.
Il est vrai que sur le papier, cette nouvelle formule monotype possède de nombreux atouts, dont celui d’un format proche du GP2 et de la F1. Outre l’apprentissage des circuits, la gestion des pneumatiques imposera aux apprentis champions une capacité de mise en action immédiate. Pirelli a en effet développé des gommes offrant une dégradation rapide sur deux ou trois tours, réduisant ainsi les tentatives d’une bonne qualification.
Le projet est né en octobre 2008 de l’association de Renault (mécanique), Dallara (châssis), Hewland (transmission) et Pirelli (pneumatiques). Un an plus tard, la GP3 est à maturité et nous dévoile ses charmes à l’abri d’un stand du Paul Ricard. Son développement a été assuré en grande partie par Romain Grosjean avant que celui-ci ne cède sa place, lors de sa promotion chez Renault F1, à Ben Hanley. L’expérience du Français de la F3 et du GP2 fut un critère avantageux au moment de définir le caractère général de l’auto.
Son allure de mini F1 façonnée par Dallara trahit les longues heures passées en soufflerie. Articulée autour d’une monocoque de survie en carbone et aluminium, la GP3 est de l’aveu même de Didier Perrin une "wing car" (voiture aile, ndlr) dont l’appui généré par le fond plat est plus influent que celui créé par les ailerons. Cette solution réduit les turbulences aérodynamiques et doit assurer de jolis mano a mano sur la piste. En termes de sécurité passive, le cahier des charges s’est calqué sur les normes F1 de 2006 concernant les impacts frontaux, latéraux, arrière et de déformation de la colonne de direction. Les roues retenues par câbles devraient également réduire les risques d'accidents dramatiques comme celui ayant entraîné le décès de Henry Surtees en F2 cette année.
Ce parti pris sécuritaire se traduit par une masse totale environ 50 kg plus élevée que celle d’une F3. Par souci d’équité, les monoplaces afficheront un poids similaire grâce à l’utilisation d’un lest de 30 kg maximum. La mécanique employée explique aussi cette surcharge pondérale car à l’inverse de la F3 et de son groupe propulseur léger et onéreux, la GP3 retient un bloc de grande série. Il s’agit en l’occurrence du 2.0 litres turbo de la nouvelle Renault Mégane R.S. qui subit ici quelques ajustements obligés en vue de son passage à la compétition. Les retouches concernent le carter sec, la gestion Magneti Marelli, ainsi que le repositionnement du turbo afin d’optimiser le centre de gravité. La puissance fait un bon de 30 chevaux et s’établit à 280 ch sans que la fiabilité ne soit détériorée. Les tests d’endurance effectués au banc et simulant les contraintes rencontrées à Monza ont validé une durée de vie déjà deux fois supérieure au kilométrage annuel. Dixit Didier Perrin, ces "chevaux pas chers" et le package global de la GP3 lui permettent de tourner, selon les circuits, entre 2 et 4 secondes plus vite qu’une F3. Et le Français de préciser que la carrosserie ici dévoilée est dénuée de tous les appendices initialement imaginés : "nous les avons retirés car malgré leur absence, nous obtenons des valeurs d’appui satisfaisant nos attentes. Autre point non négligeable, la carrosserie est en l’état moins onéreuse à remplacer…".
Harnaché, ligoté, saucissonner dans le cockpit au point d’en éprouver une pointe de claustrophobie, on réalise à quel point la position de conduite est idéale. Le champ de vision dégagé, le maintien du siège et la proximité du pédalier vous font sentir à l’aise. Si la gestion de l’embrayage au volant n’est pas innée, les premiers tours de roues révèlent un caractère étonnamment docile. La mise en confiance ne se fait pas attendre et l’on se surprend à hausser le rythme graduellement, virages après virages. Le niveau de grip très élevé permet de retarder dramatiquement les freinages et d’envisager sans crainte les longues courbes rapides du tracé varois. La direction non assistée ne s’y révèle d’ailleurs pas pénible, si bien que les tours s’enchaînent sans fatigue particulière.
Les relances coupleuses du 4 cylindres turbo sont efficaces à défaut d’être sonores, et il n’est pas nécessaire de brutaliser la mécanique jusqu’au rupteur afin d’en tirer la quintessence. La courbe de courbe chutant après 6000 t./mn le prouve, d’autant que la subtile inertie du turbo demande d’anticiper de quelques millisecondes la poussée. Toute hésitation ou timidité quant à l’écrasement de l’accélérateur saura être proscrite en course si l’on ne voudra s’économiser les occasions manquées de dépasser. Le différentiel autobloquant intégré à la boîte de vitesses Hewland brille par son efficacité et autorise justement des accélérations précoces. Mais aussi docile soit-elle de prime abord, la GP3 imposera à ses pilotes un équilibrisme et un domptage certain des lois de la physique. L’intérêt premier de cette formule n’est pas de dénicher des espoirs, mais bel et bien de départager les bons des très bons pilotes. Difficile mission.
En guise d’épilogue, Didier Perrin précise que des évolutions futures seront introduites au terme de chaque saison afin d’obliger les teams à repenser leur approche de la discipline. La GP3 est, à n’en pas douter, aux balbutiements d’une carrière pleine de promesses.
Webber dans la course
Petite sœur du GP2, la GP3 s’exhibera en lever de rideau de sept GP européens, tandis qu’un huitième meeting reste définir. Cette exposition privilégiée fera de la GP3 l’une des formules monotypes favorites des candidats à l’accession au GP2, puis à la F1. Dix écuries (Addax, ART, Tech 1, Carlin, Hitech, Jenzer, Manor, Mücke, Arden et Status) engageront trois monoplaces lors de week-end articulés autour d’une séance d’essai (30 min) et de qualification (30 min) le vendredi, et d’une course (28 min + 1 tour) le samedi et le dimanche. Lors de ce second round, la grille basée sur les résultats de la veille sera inversée pour les huit premiers pilotes. Notons que si Mark Webber n’a pas participé au développement, il officiera néanmoins en tant que team manager aux côtés de Christian Horner (Red Bull) au sein de l’écurie MW Arden dont la licence sera pour l’occasion… australienne. Enfin, les organisateurs promettent un calendrier 2011 et 2012 à 10 dates.
Calendrier provisoire 2010
Tests de pré saison : 3-4 mars et 31 mars-1er avril au Paul Ricard, 13-14 avril à Barcelone.
1. Espagne, Barcelone : 7-9 mai
2.Portugal,Portimao: 18-19 juin
3. Europe, Valence : 25-27 juin
4. Angleterre, Donington : 9-11 juillet
5. Allemagne, Hockenheim : 23-25 juillet
6. Hongrie, Budapest : 30 juillet – 1er août
7. Belgique, Spa-Francorchamps : 27-29 août
8. Italie, Monza : 10-12 septembre
http://www.autohebdo.fr/monoplaces/essais/article-28-36-2709/181209-essai-gp3-series
Big one- Messages : 11131
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Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
L'équipe de GP3 Mucke a changé de nom:
Ralf Schumacher Mucke Motorsport
Elle a signé deux de ses pilotes.
http://www.motorsport-magazin.com/motors…atz-nutzen.html
Ralf Schumacher Mucke Motorsport
Elle a signé deux de ses pilotes.
http://www.motorsport-magazin.com/motors…atz-nutzen.html
Big one- Messages : 11131
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Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Ralf Schumacher a investi dans Mücke ? Sympa en tout cas de voir les anciens (ou actuels) pilotes s'intéresser aux jeunes
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Le plateau des tops pilotes commence à prendre forme:
Michael Christensen
Pal Varhaug
Dean Smith?
Gutierrez?
Monràs?
SAnchez Lopez?
Tambay?
Tobias Hegwald?
Lucas Foresti?
Rossi?
Cecotto Jr?
Michael Christensen
Pal Varhaug
Dean Smith?
Gutierrez?
Monràs?
SAnchez Lopez?
Tambay?
Tobias Hegwald?
Lucas Foresti?
Rossi?
Cecotto Jr?
Big one- Messages : 11131
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Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Smith me semble aller vers la F2. Cecotto Jr c'est pas le GP2 ?
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Smith a dit qu'il voulait faire du gp3.
Big one- Messages : 11131
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Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Rossi normalement devrait bien être en GP3, par contre t'as des infos sur Gutierrez ? J'aimerais bien en tout cas, je pense qu'il pourrait si il a une bonne auto se battre pour le titre.
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
13 a écrit:Rossi normalement devrait bien être en GP3, par contre t'as des infos sur Gutierrez ? J'aimerais bien en tout cas, je pense qu'il pourrait si il a une bonne auto se battre pour le titre.
IL hésite entre la F3 et le GP3:
http://laaficion.milenio.com/noticias/33693-enero-decisivo-para-esteban
Je pense qu'il choisira le GP3,il a plus trop le choix en F3 ES.
Big one- Messages : 11131
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Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Oui, les meilleures places sont presques toutes prises, ce serait pas un très bon choix de rempiler si il veut se battre pour le titre, je le verrais bien atterir chez Addax
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
13 a écrit:Oui, les meilleures places sont presques toutes prises, ce serait pas un très bon choix de rempiler si il veut se battre pour le titre, je le verrais bien atterir chez Addax
Atterrir chez Addax avec Sanchez Lopez à cause de Telmex.
Big one- Messages : 11131
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Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
13 a écrit:Oui, les meilleures places sont presques toutes prises, ce serait pas un très bon choix de rempiler si il veut se battre pour le titre, je le verrais bien atterir chez Addax
Atterrir chez Addax avec Sanchez Lopez à cause de Telmex.
Big one- Messages : 11131
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Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Oui, et si succès à mon avis l'année suivante GP2 dans la même structure
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Oui enfin Sanchez Lopez, c'est pas un futur grand je pense (bien que je l'ai vu gagner à Misano en F3, et que grâce à ça il mérite une grande carrière ) Enfin je dirais surtout que j'ai du mal à cerner son potentiel. FR en Italie, raté ... puis passage en F3 et Formula Master, et là il perce Il arrive en WSR, il se rate lamentablement (largement dominé par son compatriote Salvador Duran). Il revient en F3, et prouve qu'il est tjrs là (avec Mygale, c'était un défi). Puis il fait un bon test chez Ferrari. Enfin on verra bien, mais j'ai énormément de mal à le cerner
Guest- Invité
Re: GP 3 series : 8 vainqueurs différents (stat treize intéressante)
Pareil, il ne m'a pas impressioné pour l'instant, par contre Gutierrez (et Perez, aussi soutenu par Telmex), je trouve qu'eux ont le potentiel pour réussir.
Guest- Invité
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