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Y'a un problème, je suis le premier à le dire. Remettre les ravitos ne résoudra rien selon moi...

En soit, le probleme n'est pas les "ravitos", mais le fait d'avoir la quantite d'essence pour la course. Oui je sais, ca revient quasi au meme. Mais le fait est qu'il est demande a Pirelli de faire des pneus qui doivent tout de meme tenir des dizaines de tour avec la charge complete d'essence, ce qui se traduit par des pneus quasi infinis lorsque cette charge est diminuee, ou a l'inverse des pilotes qui n'ont d'yeux que sur la tenue des pneus lors du premier relais.

Les pilotes passeraient paradoxalement plus souvent aux stands si la possibilite de depasser une voiture du meme niveau, etait possible.

Perso, j'aimais bien le règlement 2005.
A assouplir : demander à Pirelli de faire des gommes qui tiennent toute la course sans perte de performance et donc sans interdire les arrêts au stand.

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Comme à chaque course un peu moyenne, tout le monde y va de sa solution miracle pour retrouver un passé glorieux imaginaire. On a une saison 2018 formidable, mais les courses moyennes sont inévitables en F1, même avec la meilleure réglementation du monde. La course d'hier avec des ravitaillements autorisés, ça donnerait encore moins de dépassements : pourquoi tenter de dépasser et flinguer ses pneus si on peut tenter un overcut ? Y a pas de solution miracle, il faut admettre que, comme il peut y avoir des 0-0 dégueulasses au foot, il peut y avoir des processions en F1. 

Et ça reste loin d'être la pire course qu'on ait vu : un duel Bottas-Vettel, une belle remontée de Ricciardo, des accrochages, un milieu de peloton assez serré, des stratégies différentes... J'ai mis 9 parce que cette saison 2018 a mis la barre assez haut, mais c'était correct honnêtement. Ca aurait été la course de l'année en 2002  

Amen

Jovial a écrit:Perso, j'aimais bien le règlement 2005.
A assouplir : demander à Pirelli de faire des gommes qui tiennent toute la course sans perte de performance et donc sans interdire les arrêts au stand.

S'ils ne perdent pas de performance, personne ne va faire plus d'un arrêt et va avoir la même stratégie. Les meilleurs partants devant en F1, tu auras une belle procession.

Une idée pour 'forcer' une diversité de stratégie et vitesse en piste serait la suivante:

On abandonne un peu l'idée d'obliger les pilotes à passer deux types de pneus par course, MAIS:

Si on fait 1 seul arrêt, on doit passer les pneus les plus durs au moins 1 tour (par exemple US - Medium).
Si on fait 2 arrêts, on doit passer les pneus moyens au moins un tour (hier, par exemple US-US-Soft).
Si on fait 3 arrêts ou plus, on a aucune restriction (on peut tout faire avec des US par exemple).

SI on a assez d'écart entre les spécifications, ca peut rendre les choses intéressantes. On pourrait aussi avoir des équipes qui tentent des runs plus courts en US. Après le premier arrêt, une équipe révèle sa stratégie (bien qu'elle puisse toujours changer par la suite, mais ce serait sous-optimal)

L'idée est que dernièrement, bien qu'il y ait 3 pneus dispo a chaque course, on voit régulièrement qu'un type de pneu est laissé au placard, car trop dur.

Hangar18 a écrit:Comme à chaque course un peu moyenne, tout le monde y va de sa solution miracle pour retrouver un passé glorieux imaginaire. On a une saison 2018 formidable, mais les courses moyennes sont inévitables en F1, même avec la meilleure réglementation du monde. La course d'hier avec des ravitaillements autorisés, ça donnerait encore moins de dépassements : pourquoi tenter de dépasser et flinguer ses pneus si on peut tenter un overcut ? Y a pas de solution miracle, il faut admettre que, comme il peut y avoir des 0-0 dégueulasses au foot, il peut y avoir des processions en F1. 

Et ça reste loin d'être la pire course qu'on ait vu : un duel Bottas-Vettel, une belle remontée de Ricciardo, des accrochages, un milieu de peloton assez serré, des stratégies différentes... J'ai mis 9 parce que cette saison 2018 a mis la barre assez haut, mais c'était correct honnêtement. Ca aurait été la course de l'année en 2002  

Cette course était surtout frustrante car sur le papier elle aurait dû être bien plus palpitante. Mais oui la saison n’est pas si mal, et des choses doivent arriver pour les prochaines saisons qui devraient aller dans le bon sens, attendons de voir avant de réclamer le retour de solution que plus grand monde ne voulait.

Hangar18 a écrit:Comme à chaque course un peu moyenne, tout le monde y va de sa solution miracle pour retrouver un passé glorieux imaginaire. On a une saison 2018 formidable, mais les courses moyennes sont inévitables en F1, même avec la meilleure réglementation du monde. La course d'hier avec des ravitaillements autorisés, ça donnerait encore moins de dépassements : pourquoi tenter de dépasser et flinguer ses pneus si on peut tenter un overcut ? Y a pas de solution miracle, il faut admettre que, comme il peut y avoir des 0-0 dégueulasses au foot, il peut y avoir des processions en F1. 

Et ça reste loin d'être la pire course qu'on ait vu : un duel Bottas-Vettel, une belle remontée de Ricciardo, des accrochages, un milieu de peloton assez serré, des stratégies différentes... J'ai mis 9 parce que cette saison 2018 a mis la barre assez haut, mais c'était correct honnêtement. Ca aurait été la course de l'année en 2002  

En fait, la bataille de la Division 1 est intéressante cette année. Celle de la Division 2 aussi.
Le seul souci de cette saison, c'est le gap insurmontable entre les deux divisions. Après, c'est pas la première fois que ça arrive. Mais j'avoue que le fait de voir sur 3/4 GP par an, une équipe inattendue qui jouerait le podium, ça apporterait un brin de fraîcheur.

Ça vient du fait aussi qu’ils on presque réussi à caler un calendrier qui évite autant que faire ce peu les conditions climatiques incertaines. Ça complique aussi les imprévus.

Docky a écrit:Mais j'avoue que le fait de voir sur 3/4 GP par an, une équipe inattendue qui jouerait le podium, ça apporterait un brin de fraîcheur.

Depuis 2-3 ans, ce rôle de trublion n'a été joué que par deux équipes en gros : Williams et Force India.
Sauf que cette année... bon voilà, quoi.

cyd61 a écrit:Ça vient du fait aussi qu’ils on presque réussi à caler un calendrier qui évite autant que faire ce peu les conditions climatiques incertaines. Ça complique aussi les imprévus.

Mais la F1 est bien chanceuse aussi !

Au Castellet j'ai littéralement vu le nuage s'approcher à 3 bornes et contourner le circuit. En Allemagne c'est tombé après la course...

Oui je ne pense pas qu'on évite la pluie exprès. Le Canada s'est toujours tenu à la même période, par exemple. On a eu quelques courses pluvieuses (2000, 2011,...) mais pas de chance, pas cette année.
Spa a lieu en septembre ou fin août depuis le retour du nouveau circuit (ou à sa 2ème année) et vous allez voir qu'il ne pleuvra pas (surtout que cette année, il y a une anormale canicule)

Zelkin a écrit:

cyd61 a écrit:Ça vient du fait aussi qu’ils on presque réussi à caler un calendrier qui évite autant que faire ce peu les conditions climatiques incertaines. Ça complique aussi les imprévus.

Mais la F1 est bien chanceuse aussi !

Au Castellet j'ai littéralement vu le nuage s'approcher à 3 bornes et contourner le circuit. En Allemagne c'est tombé après la course...

On est jamais à l’abri c’est sûr avec le temps, mais c’est quand même moins foufou le castellet en juillet que la Malaisie en saison des pluies

Docky a écrit:

Hangar18 a écrit:Comme à chaque course un peu moyenne, tout le monde y va de sa solution miracle pour retrouver un passé glorieux imaginaire. On a une saison 2018 formidable, mais les courses moyennes sont inévitables en F1, même avec la meilleure réglementation du monde. La course d'hier avec des ravitaillements autorisés, ça donnerait encore moins de dépassements : pourquoi tenter de dépasser et flinguer ses pneus si on peut tenter un overcut ? Y a pas de solution miracle, il faut admettre que, comme il peut y avoir des 0-0 dégueulasses au foot, il peut y avoir des processions en F1. 

Et ça reste loin d'être la pire course qu'on ait vu : un duel Bottas-Vettel, une belle remontée de Ricciardo, des accrochages, un milieu de peloton assez serré, des stratégies différentes... J'ai mis 9 parce que cette saison 2018 a mis la barre assez haut, mais c'était correct honnêtement. Ca aurait été la course de l'année en 2002  

En fait, la bataille de la Division 1 est intéressante cette année. Celle de la Division 2 aussi.
Le seul souci de cette saison, c'est le gap insurmontable entre les deux divisions. Après, c'est pas la première fois que ça arrive. Mais j'avoue que le fait de voir sur 3/4 GP par an, une équipe inattendue qui jouerait le podium, ça apporterait un brin de fraîcheur.

C'est vrai que c'est LE problème de cette saison. Pas tant pour l'absence de podium "surprise" (il y a quand même eu Pérez à Bakou), mais pour les remontées trop faciles quand un top 6 part de loin. Avant c'était considéré comme un exploit, maintenant c'est plutôt : faut qu'il soit 6ème en moins de 20 tours s'il veut encore jouer le podium.

Mais cet écart entre le 3ème et le 4ème n'est pas symptomatique à mon avis. C'est plutôt que les 4ème d'hier sont en galère (FI et Williams) et que le 4ème actuel en perf (Haas) n'a pas vraiment de perspective de développement. C'est Renault qui, sur le papier, devrait être en haut de ce groupe et se rapprocher du top 3, mais ça peine à décoller de leur côté...

Oui tout a fait. Il manque reellement une ecurie entre RB et disons FI/Renault.

Le Grand Prix de Hongrie obtient une moyenne de 9,231/20 avec une note médiane de 9/20.
L'an dernier le Hungaroring avait obtenu 8,676/20 et une médiane de 8/20

Cela place cette course à la 142e place sur 203 au général.

Parmi les GP disputés au Hungaroring depuis 2008 cette course est 9ème sur 11
La meilleure est le GP de Hongrie 2014 avec 16,704/20 (9e général)
La pire est le GP de Hongrie 2016 avec 7,050/20 (183e au général)

D'après les statistiques de http://cliptheapex.com/ il y a eu un total de 21 dépassements sur cette course (ils excluent les dépassements sur erreur du pilote, consigne d'équipe ou bris mécanique).

C'est un peu moins que l'an dernier où nous avions eu le droit à 8 dépassements.
Cette course est dans la moyenne de ce qu'il se fait depuis l'interdiction des ravitaillements (plus de dépassements qu'en 2010, 2012, 2016 et 2017, moins qu'en 2011, 2013, 2014 et 2015).

Classement des GP de la saison :

1. GP d'Azerbaïdjan : 16,317/20
2. GP de Grande Bretagne : 15,643/20
3. GP de Chine : 14,723/20
4. GP d'Autriche : 14,615/20
5. GP de Bahreïn : 14,205/20
6. GP d'Allemagne : 11,469/20
7. GP de France : 10,806/20
8. GP de Hongrie : 9,231/20
9. GP d'Australie : 7,980/20
10. GP d'Espagne : 6,976/20
11. GP de Monaco : 5,160/20
12. GP du Canada : 4,977/20