Grand Prix du Mexique de F1 2022

Josc a écrit:

schumi0203 a écrit:Gasly serait a 1 point du race ban. Il a reçu 2 points aujourd'hui

Intéressant ça je me demande si il ne va pas faire exprès de perdre un point au Brésil pour ne pas faire Abu Dhabi (et ça permettrait de faire rouler De Vries en plus) pour avoir 0 point en 2023

Il me semble qu'il est à 2 points du ban plutôt que un. Cependant ça sera difficile, en effet, d'éviter un ban pour lui car il a eu tous ses points cette année tout de même ! Ainsi entre le Brésil 2022 et Imola 2023, ça sera 9 grand prix où il devra absolument se tenir à carreaux.

Josc a écrit:

schumi0203 a écrit:Gasly serait a 1 point du race ban. Il a reçu 2 points aujourd'hui

Intéressant ça je me demande si il ne va pas faire exprès de perdre un point au Brésil pour ne pas faire Abu Dhabi (et ça permettrait de faire rouler De Vries en plus) pour avoir 0 point en 2023

Il ne fait pas une saison super... mais avec cet état d'esprit il n'ira pas loin... sinon c'est que le giron RB il l'a tellement sur la conscience qu'il est aigri... c'est humain (et pourtant je ne l'aime pas..). J'attends de le voir chez Alpine car ce n'est pas un chasseur de papillon

FFFF a écrit:

Josc a écrit:

schumi0203 a écrit:Gasly serait a 1 point du race ban. Il a reçu 2 points aujourd'hui

Intéressant ça je me demande si il ne va pas faire exprès de perdre un point au Brésil pour ne pas faire Abu Dhabi (et ça permettrait de faire rouler De Vries en plus) pour avoir 0 point en 2023

Il me semble qu'il est à 2 points du ban plutôt que un. Cependant ça sera difficile, en effet, d'éviter un ban pour lui car il a eu tous ses points cette année tout de même ! Ainsi entre le Brésil 2022 et Imola 2023, ça sera 9 grand prix où il devra absolument se tenir à carreaux.

Bien vu il a pris qu'un seul point hier donc il est a deux points du ban. Les prochains points a expirer sont en mai 2023.

Stats_Man a écrit:

Bubbleboy a écrit:Vraiment pas top ce GP.
Ce sera mieux au Brésil.
Buenas noche los amigos !

Je vois que tu as une jolie voiture en bandeau : on fêtait les 34 ans du premier titre de CDM de Senna aujourd'hui !! Le 30 octobre 1988... ;-)

Effectivement...
Que le temps passe vite ! J'étais au GP de Belgique 1988, pour la victoire de Senna.
J'ai eu le bonheur de revoir en action la MP4-4 avec laquelle il a gagné ce GP à Spa, 16 ans plus tard, à Goodwood. Que d'émotions !!!
Pour l'anecdote, c'était Davidson qui l'a pilotée ce jour là.

https://motorsport.nextgen-auto.com/fr/formule-1/alonso-peut-etre-qu-alpine-f1-me-donne-les-pires-moteurs,176549.html

Décidement ce pilote ne me surprendra plus.. Il est le même, et n'a pas changé. Par contre, ca ne marchera plus chez Stroll GP.

Il n'est pas de l'intérêt de lui filer les pires moteurs.
Il était d'accord avec la stratégie de pousser à fond les moteurs pour les fiabiliser ensuite. Je pense que c'est ce que fait encore Renault.
A noter que Alonso avait créé un écart significatif avec Occon, mais cela ne se fait pas sans taper un peu + dans le moteur.
Alonso est déjà tourné vers le futur d'où ses frustrations d'aujourd'hui, les progrès de demain d'Alpine ne le concerne plus.

PoincarréCicéron a écrit:Il n'est pas de l'intérêt de lui filer les pires moteurs.
Il était d'accord avec la stratégie de pousser à fond les moteurs pour les fiabiliser ensuite. Je pense que c'est ce que fait encore Renault.
A noter que Alonso avait créé un écart significatif avec Occon, mais cela ne se fait pas sans taper un peu + dans le moteur.
Alonso est déjà tourné vers le futur d'où ses frustrations d'aujourd'hui, les progrès de demain d'Alpine ne le concerne plus.

Disons qu'il aime bien ridiculiser son employeur, surtout quand il est sur le départ. Ca n'a aucun intérêt.
Et son commentaire vers Hamilton laisse ressortir toute son aigreur. A terme je le vois devenir commentateur sur "Canal + Espagne".

A 20 tours de l’arrivée, je perdais un cylindre qui me privait de 20% de la puissance moteur. J’étais alors 20 secondes devant les McLaren et mon coéquipier.

Il doit compter les secondes comme les points perdus, parce que si je regarde sur motorsportstats, il n'a pas 7 secondes d'avance au tour 48 juste avant qu'Ocon se fasse prendre un tour. Bon il reprend 2,5 s ensuite de ce fait, puis 0,5 s, mais ça fait au mieux 10 secondes d'avance à ce moment-là et c'est circonstanciel puisqu'il va devoir lui aussi perdre du temps ensuite en laissant passer le leader. Le seul moment où il a cette avance-là (>20 secondes) c'est quand Ocon et Norris ont changé les pneus mais lui pas encore (Ricciardo non plus, mais il est à 17 secondes à cause de son début de course sans grand relief).

Justement Ocon avait un soucis lui aussi...

Cet Alonso est un personnage assez special... Dans la voiture c'est Rambo, à l'exterieur de la voiture c'est le plus gros enfant-gaté-chouineur-hystérique de l'histoire de la F1.
Sa dernière (énième) sortie sur Hamilton.......... elle est tres révélatrice.
Quand a son Alpine.. par quoi commencer..? D'abord ces problèmes moteurs, on s'y attendait un peu depuis l'hivers et on savait que leur resolution prendrait plus de temps chez Renault que chez les autres - ayant une seule equipe, donc moins de data, un PU plus nouveau que nouveau, et pas autant de bancs d'essais etc. Ca sera comme en 2019-2021 ou le RE19 n'etait pas fiable au debut mais super fiable lors des saisons 2020 et 2021. Et Alonso devrait savoir ce genre de trucs... mais on a droit a des théories du complot, des comparaisons insensées etc...

Bonjour à toutes et à tous,

On a quand même pas mal de choses à dire pour un Grand Prix où il ne s'est passé qu'un minimum de choses...
Ce qui est sûr c'est que ça ne restera pas le GP le plus marquant de l'année mais pour autant il a réservé son lot de surprises (les Ferraris à 1min du podium vous l'aviez vu venir ?!)

Découvrez le Débrief made in Tondeuz et n'hésitez pas à me faire vos retours



Bon visionnage à tous

Excellent
Moins langue de bois que le débriefing de C+

Voilà pourquoi j'aime pas Alonso. Il oublie vite que, quand il arrive chez Renault en 2005, le principal sponsor est Telefonica et qu'il domine, comme par magie Fisichella....

Gambas a écrit:Excellent  
Moins langue de bois que le débriefing de C+

Merci
La langue de bois dans le style politicien qui ne veut froisser personne c'est, selon moi, ce qui conduit à l'acharnement des haters sur les réseaux sociaux !
En même temps je reste "dans les clous" mais je pense qu'on peut tout à fait être respectueux en disant les choses sans tourner autour du pot

loloetalex a écrit:Voilà pourquoi j'aime pas Alonso. Il oublie vite que, quand il arrive chez Renault en 2005, le principal sponsor est Telefonica et qu'il domine, comme par magie Fisichella....

Les pilotes ont vite la mémoire courte en F1
La vraie différence entre Alonso et Hamilton (dans le cas présent) c'est qu'il n'a pas eu le matériel dominant autant d'années d'affilée !
Il a passé une grosse partie de sa carrière avec une voiture un poil moins bonne que celles qu'il chassait...

Il occulte une partie pour se concentrer sur une autre le p'tit solopio

loloetalex a écrit:Voilà pourquoi j'aime pas Alonso. Il oublie vite que, quand il arrive chez Renault en 2005, le principal sponsor est Telefonica et qu'il domine, comme par magie Fisichella....

Le coup du favoritisme pour expliquer qu'Alonso démolisse ses coéquipiers, on le sort à chaque fois pour des raisons différentes. Il a éclaté tous ses coéquipiers, sauf celui qui a construit le plus gros palmarès de l'histoire après leur confrontation. Je pense qu'on peut envisager l'idée qu'il a écrasé Fisico, Massa, Raikko et d'autres à la régulière sans chercher plus loin...

On va me dire "oui mais Button...". Button bat Alonso en 2015, saison où McLaren collectionne 15 abandons sur 38 possibles. En 2016, c'est pas la même affaire...

Hangar18 a écrit:

loloetalex a écrit:Voilà pourquoi j'aime pas Alonso. Il oublie vite que, quand il arrive chez Renault en 2005, le principal sponsor est Telefonica et qu'il domine, comme par magie Fisichella....

Le coup du favoritisme pour expliquer qu'Alonso démolisse ses coéquipiers, on le sort à chaque fois pour des raisons différentes. Il a éclaté tous ses coéquipiers, sauf celui qui a construit le plus gros palmarès de l'histoire après leur confrontation. Je pense qu'on peut envisager l'idée qu'il a écrasé Fisico, Massa, Raikko et d'autres à la régulière sans chercher plus loin...

On va me dire "oui mais Button...". Button bat Alonso en 2015, saison où McLaren collectionne 15 abandons sur 38 possibles. En 2016, c'est pas la même affaire...

Il est très loin d'éclater Ocon. Il a eu pas mal de problème, mais le Français a eu sa dose aussi. D'ailleurs ils sont tous les deux à 6 moteurs utilisés.

Jack_ONeill a écrit:

Hangar18 a écrit:

loloetalex a écrit:Voilà pourquoi j'aime pas Alonso. Il oublie vite que, quand il arrive chez Renault en 2005, le principal sponsor est Telefonica et qu'il domine, comme par magie Fisichella....

Le coup du favoritisme pour expliquer qu'Alonso démolisse ses coéquipiers, on le sort à chaque fois pour des raisons différentes. Il a éclaté tous ses coéquipiers, sauf celui qui a construit le plus gros palmarès de l'histoire après leur confrontation. Je pense qu'on peut envisager l'idée qu'il a écrasé Fisico, Massa, Raikko et d'autres à la régulière sans chercher plus loin...

On va me dire "oui mais Button...". Button bat Alonso en 2015, saison où McLaren collectionne 15 abandons sur 38 possibles. En 2016, c'est pas la même affaire...

Il est très loin d'éclater Ocon. Il a eu pas mal de problème, mais le Français a eu sa dose aussi. D'ailleurs ils sont tous les deux à 6 moteurs utilisés.

5 abandons à 2 quand même... Sans oublier l'abandon lors du sprint en Autriche.
Eclater peut-être pas, mais c'est Alonso le plus performant des deux cette année, c'est plus net que l'année dernière.

Hangar18 a écrit:

Jack_ONeill a écrit:

Hangar18 a écrit:

loloetalex a écrit:Voilà pourquoi j'aime pas Alonso. Il oublie vite que, quand il arrive chez Renault en 2005, le principal sponsor est Telefonica et qu'il domine, comme par magie Fisichella....

Le coup du favoritisme pour expliquer qu'Alonso démolisse ses coéquipiers, on le sort à chaque fois pour des raisons différentes. Il a éclaté tous ses coéquipiers, sauf celui qui a construit le plus gros palmarès de l'histoire après leur confrontation. Je pense qu'on peut envisager l'idée qu'il a écrasé Fisico, Massa, Raikko et d'autres à la régulière sans chercher plus loin...

On va me dire "oui mais Button...". Button bat Alonso en 2015, saison où McLaren collectionne 15 abandons sur 38 possibles. En 2016, c'est pas la même affaire...

Il est très loin d'éclater Ocon. Il a eu pas mal de problème, mais le Français a eu sa dose aussi. D'ailleurs ils sont tous les deux à 6 moteurs utilisés.

5 abandons à 2 quand même... Sans oublier l'abandon lors du sprint en Autriche.
Eclater peut-être pas, mais c'est Alonso le plus performant des deux cette année, c'est plus net que l'année dernière.

Je crois que personne ne conteste que Alonso a l'ascendant par contre les chiffres montrent qu'Ocon est un dur à cuire.

Il aura beau avoir un rythme inférieur il finit par faire rentrer du résultat même lorsque le rythme n'y est pas.

Ce qui doit irriter au plus point Alonso, lui qui n'a jamais eu vraiment à jouer avec ce genre de pilote., sauf peut-être Trulli et encore.

Alonso a eu le double d'abandon sur problème technique en 2018 par rapport à Vandoorne, bizarrement on ne l'a pas entendu se plaindre de soucis exclusivement sur la voiture 14....Mais vu qu'il avait brisé la côte de Vandoorne et que tout tournait autour de lui il s'en foutait sauf qu'en 2022 ben il a un morceau plus compliqué à avaler.

Soit il est tombé sur des champions du monde qui avait de quoi lui causer niveau talent pur soit sur des pilotes qui ont fini par vite rendre les armes ou qui ont fini par se noyer face au talent de l'espagnol.

En somme Ocon c'est un pilote à la Brundle ou Heidfeld . C'est-à-dire un pilote au niveau inférieur mais qui a un niveau planché tellement solide qu'à la moindre emmerde c'est impactant sportivement.

Je pense aussi qu'il est incontestable que Alonso est aujourd'hui encore supérieur à Ocon, mais celui-ci ne démérite effectivement pas et montre un niveau tout à fait acceptable, avec une bonne régularité.

En somme, on se retrouve dans le cas de pilotes où le niveau de l'un se trouve "dans la marge d'erreur" de celui de l'autre c'est à dire où : un des pilotes est clairement supérieur à l'autre, mais ce dernier est suffisamment proche pour pouvoir finir devant au championnat avec un peu de chance. Situation dangereuse car le premier pilote se sachant meilleur, risque d'avoir un sentiment d'injustice si ça arrive.

Pour moi, on a un peu le même genre de situation (avec moins d'enjeux et un niveau sans doute plus bas, certes) que le temps du duel Hamilton-Rosberg : je pense que personne ne contestera sérieusement le fait que Hamilton était supérieur, mais Rosberg était quand même très bon, suffisamment pour être devant par moments, et susceptible de finir devant au championnat pour peu que les conditions soient favorables.
C'est d'ailleurs arrivé en 2016.
Et c'était d'ailleurs très tendu entre eux.

loloetalex a écrit:Voilà pourquoi j'aime pas Alonso. Il oublie vite que, quand il arrive chez Renault en 2005, le principal sponsor est Telefonica et qu'il domine, comme par magie Fisichella....

Pilote d'essai en 2002, pilote titulaire en 2003 avec Trulli comme équipier en 2003/2004

en 2005 il à déjà 3 pôles, 8 podiums et 1 victoire

Gautier a écrit:Je pense aussi qu'il est incontestable que Alonso est aujourd'hui encore supérieur à Ocon, mais celui-ci ne démérite effectivement pas et montre un niveau tout à fait acceptable, avec une bonne régularité.

En somme, on se retrouve dans le cas de pilotes où le niveau de l'un se trouve "dans la marge d'erreur" de celui de l'autre c'est à dire où : un des pilotes est clairement supérieur à l'autre, mais ce dernier est suffisamment proche pour pouvoir finir devant au championnat avec un peu de chance. Situation dangereuse car le premier pilote se sachant meilleur, risque d'avoir un sentiment d'injustice si ça arrive.

Pour moi, on a un peu le même genre de situation (avec moins d'enjeux et un niveau sans doute plus bas, certes) que le temps du duel Hamilton-Rosberg : je pense que personne ne contestera sérieusement le fait que Hamilton était supérieur, mais Rosberg était quand même très bon, suffisamment pour être devant par moments, et susceptible de finir devant au championnat pour peu que les conditions soient favorables.
C'est d'ailleurs arrivé en 2016.
Et c'était d'ailleurs très tendu entre eux.

Ou Sainz-Leclerc l'an passé.

In Vino Veritas a écrit:

Gautier a écrit:Je pense aussi qu'il est incontestable que Alonso est aujourd'hui encore supérieur à Ocon, mais celui-ci ne démérite effectivement pas et montre un niveau tout à fait acceptable, avec une bonne régularité.

En somme, on se retrouve dans le cas de pilotes où le niveau de l'un se trouve "dans la marge d'erreur" de celui de l'autre c'est à dire où : un des pilotes est clairement supérieur à l'autre, mais ce dernier est suffisamment proche pour pouvoir finir devant au championnat avec un peu de chance. Situation dangereuse car le premier pilote se sachant meilleur, risque d'avoir un sentiment d'injustice si ça arrive.

Pour moi, on a un peu le même genre de situation (avec moins d'enjeux et un niveau sans doute plus bas, certes) que le temps du duel Hamilton-Rosberg : je pense que personne ne contestera sérieusement le fait que Hamilton était supérieur, mais Rosberg était quand même très bon, suffisamment pour être devant par moments, et susceptible de finir devant au championnat pour peu que les conditions soient favorables.
C'est d'ailleurs arrivé en 2016.
Et c'était d'ailleurs très tendu entre eux.

Ou Sainz-Leclerc l'an passé.

Je pense qu'on peut citer au moins 50 exemples de ce type dans l'histoire de la F1

Pour que "ça pète" il faut toutefois un enjeu réel ou ressenti : un titre, ou à défaut une place vers une meilleure équipe ou juste une question d'égo.

Sainz-Leclerc l'année dernière ne compte pas vraiment pour moi. Il n'y avait pas assez d'enjeu. De fait, ça n'a pas pété.

Gautier a écrit:Pour que "ça pète" il faut toutefois un enjeu réel ou ressenti : un titre, ou à défaut une place vers une meilleure équipe ou juste une question d'égo.

Sainz-Leclerc l'année dernière ne compte pas vraiment pour moi. Il n'y avait pas assez d'enjeu. De fait, ça n'a pas pété.

Il y avait quand même un titre FBWC par équipe en jeu

Qu'est-ce que j'ai mal joué quand j'y pense Gautier avec du recul

Je me pose deux questions tout de même sur ces problèmes de fiabilité d'Alonso.

D'abord, était-ce le moteur d'Austin et, le cas échéant, a-t-il pu être légèrement "affaibli" par sa cabriole subie en course et favoriser ainsi sa casse au Mexique ? Le genre de truc trop fin pour être détecté par les outils de contrôle embarqués en Amérique du Nord mais qui a néanmoins augmenté la fragilité intrinsèque du bloc.

Ensuite, est-ce que la frustration de Fernando Alonso à cause des points perdus à cause de la fiabilité ne peut pas l'entraîner à tirer un chouïa plus sur la mécanique que son coéquipier pour les compenser dans une espèce de cercle vicieux ? C'est un questionnement, je ne pense pas qu'il soit possible d'y répondre, même avec l'accroissement du nombre de GP, les échantillons restent trop petits et y a rien de choquant dans la répartition des abandons en elle-même.